Morale A Double Sens

des Lumières, même si on est au début du siècle). C'est ce à quoi servent aussi vos cours d'histoire littéraire. Puis vous devez situer l'extrait dans l'oeuvre rapidement. Votre introduction doit durer au maximum 2 minutes, mais vous ne devez absolument pas faire l'impasse là-dessus !! Rappel de l'action (quand on ne se souvient pas de la pièce – à ne pas dire en intégralité!): Démaquée par Arlequin, la Fausse Suivante a raconté à Lélio qu'elle agissait pour le compte de sa maîtresse, riche

Juan/Sganarelle Don Juan et Sganarelle sont omniprésents et toujours ensemble. 8 scènes de duo sur 27 Grande complexité et diversité dans leurs rapports. Le spectateur ne peut pas manquer de s’interroger sur leurs sentiments l’un pour l’autre. A noter : La recherche d’autonomie de Sganarelle annonce le siècle des Lumières. I. Les sentiments de Sganarelle pour son maître Fascination qui se révèle par sa fidélité : il reste avec lui, même s’il critique son mode de vie. Il l’imite en son absence

religion : le défi à Dieu La grande originalité du Dom Juan de Molière par rapport au mythe, c'est l'aspect religieux : Dom Juan, non content de contester par son existence même les valeurs morales aristocratiques, le sacrement du mariage et le respect dû au père, s'attaque au fondement même de la société. C'est un libertin, non seulement au sens moral que le mot prendra au 18ème siècle (Valmont, dans les Liaisons Dangereuses, ou les personnages de Sade sont des "libertins"), mais au sens fort que prend

droit et la morale « Pouvoir juridique, pouvoir moral, ces deux notions sonnent comme des fanfares mais dont l'espérience implique qu'elles ne jouent pas forcément le même air » nous dit Philippe Jestaz. En effet, il est courant d'entendre dire que ces deux systèmes normatifs sont distincts voire même parfois opposés. Cette distinction est a priori justifiée puisque le droit et la morale ont des sources, des objets, des finalités et des senction divergentes. La morale quand à elle, est une

dit faussement contre vous toute sorte de mal à cause de moi » (Matthieu 5/11) » Ces paroles de l'évangile selon Matthieu semblent indiquer que l'on peut critiquer une croyance religieuse et que dans le cas du christianisme, le croyant doit même s'en réjouir. Pourtant, cela induirait que la critique d'une croyance religieuse implique forcément qu'on émette un jugement négatif à son égard. Or, en philosophie, la critique est un examen de la valeur morale ou cognitive de quelque chose. Elle n'implique

désigne soit quelque chose de conforme à sa définition (comme on dit par exemple d’un cercle qu’il est parfait selon les règles géométriques qui le caractérisent) soit ce qui est parfait, c’est-à-dire comblé et réussi un maximum, à quoi on ne peut rien ajouter ni retrancher. Pourtant ce n'est a priori pas le cas de l'homme, du moins lors de sa naissance. Il ne naît pas "complet", "achevé". On ne peut guère plus qualifier l'humanité de finie. (Il y a une double perspective car quand on dit « homme

la scène de la rencontre amoureuse permet-elle à Flaubert de dramatiser la naissance de l’amour chez son héros ? 1) Dramatisation de la scène a- Un cadre spatio temporel propice b- « révélation » et mise en scène c- Erotisation de la rencontre et du portrait 2) Amour idéalisé mais mise en place d’une distance a- Sentiment d’absolu, perfection de Mme Arnoux b- Amour inaccessible c- Mise à distance par narrateur grâce à l’ironie * Texte qui relate un coup de foudre

dans son combat contre l’intolérance et le fanatisme religieux. Cependant, il croit avec ferveur au bonheur possible et au progrès matériel et moral de l’homme. Voltaire s’essais à tous les genres littéraires, le théâtre tragique (Œdipe, 1718), les écrits historiques (le siècle de Louis XIV, 1751) la poésie (« poèmes sur le désastre de Lisbonne » 1756). A la fin de sa vie, installée en suisse, il est en correspondance avec toute l’Europe éclairée et jouit de son vivant d’une notoriété immense. Dans

autres et sur nous-mêmes le voyage permet-il ? Humanisme : L’étude des textes et de la civilisation antiques  Le culte de l’homme  L’éloge de la connaissance : l’homme est conçu en parfaite harmonie avec la Nature, car il est fait à son image. On aspire donc à une connaissance encyclopédique qui combat les superstitions. La connaissance de soi devient également un objectif fondamental.   L’éloge des voyages  La curiosité linguistique : les humanistes analysent les langues et leur rapport historique

Poésies et d’Une saison en enfer de Rimbaud vous sont proposés ci-dessous. À partir de l’analyse que vous en ferez, vous exposerez, dans un développement rédigé et composé, les modalités de leur exploitation à l’intention d’une classe de première. Vous pourrez par exemple vous intéresser à la tension entre volonté de rupture et « énergie visionnaire » (R. Char) « Il faut être absolument moderne », affirme Rimbaud à la fin d’Une Saison en enfer, signifiant là son rejet du passé et la nécessité