Morale Provisoire Descartes

coexister avec les autres. Cette coexistence n’est pas évidente, il y a un problème de reconnaissance d’autrui, de la connaissance d’autrui. Autrui n’est-il pas toujours au-delà de moi ? Le problème du rapport à autrui est-il aussi un problème de moral ? Sur quoi alors doivent se fonder les règles ? I) La perception d’autrui : A) Autrui perçu comme objet : C’est une attitude qui n’est ni normale ; ni naturelle mais elle est envisageable. Ce qu’on voit d’abord d’autrui c’est son corps. J’ai

philosophie : Peut-on renoncer à sa liberté ? Communément, on pense que fondamentalement l’indépendance passe pour le plus grand des biens, et que l’être humain a le devoir d’assumer sa responsabilité ainsi que de préserver son autonomie morale. En outre, à première vue, la liberté est une valeur pour laquelle les Hommes n’ont cessé de se battre, au cours de l’histoire. Cependant, avoir continuellement à assumer ses responsabilités et à prendre des décisions

car c’est choisir de ne pas choisir. Ainsi, quoique nous fassions, nous sommes toujours dans le coup, « embarqués », et par là même responsables. 13On ne peut pas, pour Sartre, ne pas être engagé. 14L’engagement est également une obligation morale pour celui qui, refusant le confort de l’attitude contemplative ou de la foi, tire les conséquences éthiques et politiques de son être en situation. C’est particulièrement le cas de l’intellectuel et de l’écrivain, qui parce qu’ils ont le pouvoir

pr y parvenir, on utilise l’induction. Gaston Bachelard : la science est une suite d’erreurs rectifiées. La contingence de l’homme est la condition nécessaire de sa liberté. La connaissance n’est possible que pr un esprit libre. D’ailleurs Descartes élabore sa théorie de la connaissance dans la 2ème med. Il y a une relation organique entre les êtes et les choses. Ainsi ce n’est pas le verre de la bouteille qui détermine son contenu, car dans la bouteille peuvent se faire des transvasements

croyances sont absurdes et donc à nouveau nos préjugés existe. il faut donc une méthode plus radicale pour les vaincre c'est ce que va proposer Descartes qui va mettre en doute toutes les idées qu'il a dans son esprit. Même les plus évidentes. De cette façon si certaines idées résistent au doute elles ne sont pas de simples préjugés mais des idées vraies. Descartes va mettre en doute les deux sources de nos idées : les sens, nous disent qu'il y a des choses autour de nous et comment sont ces choses,

démonstration doit elle-même partir d’un point de départ qui n’est pas démontrable. Ainsi la géométrie d’Euclide repose sur des définitions et des postulats, qui sont posés à titre de préalables, et non pas démontrés. De même, la philosophie de Descartes repose sur une première vérité (le cogito) qui est présentée comme une évidence et non pas démontrée. Les philosophes Pascal et Leibniz ont tous deux insisté sur cette limite de la démonstration. On remarque aussi que bien des discours cohérents

jamais jusqu'au fond de l'âme, jusqu'au fond des pensées, qu’elles marchent côte à côte, enlacées parfois, mais non mêlées, et que l'être moral de chacun de nous reste éternellement seul par la vie". Il n’y a donc bien que le sujet pour se connaître lui-même. 2. La connaissance intérieure L'expérience de la conscience comme intuition C'est Descartes qui invente la notion moderne de conscience. Après avoir mis en doute toutes ses connaissances, il affirme l'évidence de sa propre existence

enseigner. Par ailleurs le voyage qui est une invitation, une initiation à un autre mode de vie, à une autre pensée, est déjà un acte philosophique. Il permet de devenir autre, et donc d'accroître le champs de la connaissance. Il est un abandon provisoire de notre identité au profit de celle des autres. Le périple permet de mieux comprendre ce qui semble abstrait, contribue à une plus grande connaissance de nous même et des autres. Il est un mouvement vers l'avant, vers la découverte, vers la vie

de ces dogmes, les scientifiques des lumières devaient s'affranchir de ceci. La raison était fondamentale. 4 éléments définissent la science La distanciation: Le scientifique est quelqu'un devant se détacher de toute situation normative, la morale, la religion, il doit penser or du cadre d'une philosophie particulière, se détacher de toute population normative. Il doit se cantonner à une chose: s'intéresser aux faits. Il utilise la raison logiquement. Sans idées préconçues. le scientifique

religiosité, mais encore il existe des approches multiples du « fait religieux ». D’un point de vue sociologique, on nomme « religion » l’ensemble des croyances et des pratiques relatives à un domaine sacré séparé du profane, liant en une même communauté morale tous ceux qui y adhèrent, et manifestant sous des formes très diversifiées les rapports des hommes à Dieu, au divin ou au sacré. Quant à la philosophie, elle distingue la « religion intérieure », rapport individuel et direct de l’âme humaine avec