Morale Roméo Et Juliette

de malheur que la cause de curiosité, ambivalence d’un désir de savoir suscité par l’inconnu. Cette notion de l’interdit provient de la substantivation de l’adjectif qui désigne alors la sphère de l’interdit. On peut le décliner selon trois axes : moral, religieux et politique. L’interdit provient du latin « inter dico » qui signifie dire entre, donne le verbe « interrompre » et transmet une idée de rupture ainsi que la conception d’un passage oral de cette règle afin de l’institutionnaliser ou qui

notion de plaisir, et le « surmoi » les interdits moraux intériorisés par le sujet. L’homme n’est donc pas libre de lui-même, il ne peut pas lutter, son destin est donc lié à la fatalité. Cependant l’inconscient ne serait-il que fatalité ? N’aurait-il pas un rôle à jouer dans la vie de l’homme ? En effet l’inconscient peut permettre le développement de la personnalité lors de la petite enfance en mettant en place ce que l’on appelle la conscience morale, c’est-à-dire la capacité à formuler un jugement

et lui faire vivre des sensations. Le roman romantique correspond à ce genre de roman car il cherche à refléter les moeurs, les idées, les sentiments et les aspirations et il croit en l'homme parfait ce qui peut faire rever. Dans le livre de Romeo et Juliette de William Shakespeare par exemple, l'auteur montre l'existance d'un amour vrai sans faille et fait de fidélité malgrès les épreuves qu'il doivent passer pour donner libre cour à leur amour. Ces romans continuent aujourd'hui à alimenter les

(rimes, assonances, allitérations…) - rythme : lent (ponctuation, tirade) Registre : -tragique -épique -lyrique (élégiaque) -pathétique (=pitié) langage soutenu Drame Romantique Il a été crée au 16ème siècle par Shakespeare avec Roméo et Juliette. Puis, il a été repris par Victor Hugo en France au 19ème siècle. Le manifeste du Drame Romantique est indéniablement la Préface de Cromwell écrite par Victor Hugo. Il permet une certaine liberté d’écriture, les règles de vraisemblances

nécessairement toujours son but. Le théâtre peut avoir comme but faire sentir des émotions chez le public, le faire rire, pleurer, penser,... comme le théâtre symboliste dont le but est plus de suggérer que de montrer. Mais il peut également avoir un rôle de morale pour le spectateur/lecteur. Incomplétude du théâtre par rapport aux autres genres littéraires Le texte théâtral est le seul a exigé une mise en scène, sa particularité est d’être incomplet à la lecture mais complet à sa mise en scène (qui peu

douloureuse - seconde cristallisation, nouveaux charmes. Il faut retenir la notion de cristallisation amoureuse car on voit toute l’opposition entre l’amour de Stendhal et l’amour courtois où les amants seraient promis l’un pour l’autre pour la vie (Roméo et Juliette, Tristan et Iseult). Mais quand on introduit le doute, le fait que l’imagination fabrique l’autre, tel qu’il se l’imagine, la légitimité de l’amour se trouve questionnée et c’est l’intérêt de la vision stendhalienne des choses. Le traité de

Cet article est incomplet dans son développement ou dans l’expression des concepts et des idées. Son contenu est donc à considérer avec précaution. Améliorez l’article ou discutez-en. Le couple emblématique Roméo et Juliette, tableau de Frank Dicksee (1884). L'amour désigne un sentiment d'affection et d'attachement envers un être, un animal ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, spirituelle ou même imaginaire avec l'objet

sensations, en abolissant les règles strictes de la littérature classique et en jouant sur les contrastes. * Il préconise la liberté et le naturel en art. * Il s’exerce sur tous les genres : roman, poésie, théâtre (Les valeurs esthétiques et morales du romantisme sont présentes dans la littérature, la peinture, et la musique). * Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. « Le classicisme, c’est la santé, le romantisme, c’est

l’insouciante jeunesse et de son père empereur, ou le sévère choix ne devait pas être fait entre le bonheur que lui apporte l’amour de Bérénice, et l’honneur de ne pas bafouer la loi Romaine, ceci permettant de préserver sa dignité et sa conscience morale (Acte II, scène 4, vers 600 : « Plût au ciel que mon père, hélas ! vécût encore ! Que je vivais heureux ! »). Bérénice, elle, se perd dans son amour passionné pour Titus, se voyant déjà impératrice de Rome aux côtés de son amant qu’elle estime invincible

mélange des genres et des registres, du sublime et du grotesque ; changement dans la conception des personnages (le peuple est représenté) -Savoir définir le sublime (sublimis « élevé dans les airs »): situé très haut dans la hiérarchie des valeurs morales et esthétiques ; et le grotesque : qui est risible, ridicule ; qui fait rire de son extravagance. - Etudiez la composition de la scène (progression), les didascalies, la versification, la répartition de la parole entre les personnages . -Faites