Moraliste

Derrière cette satire de la société et cette volonté comique se cache une volonté moraliste qui apparaît en filigrane au fil du texte. En effet, ce texte semble explicitement revendiquer cet aspect moraliste. Les moralistes, et en particulier La Bruyère, connaissent la querelle des Anciens et des Modernes et ils semblent plutôt se rapprocher des Anciens. Ainsi, La Bruyère revendique cette volonté moraliste dans ce portrait en s'attachant à citer des références aux Anciens tels qu'Epidaure

exactement le projet de Trivelin? - Qu’est-ce qui fait évoluer Arlequin au cours de la pièce? -Pourquoi la fin de la pièce relève-t-elle de la comédie larmoyante? -Que doit cette pièce à la commedia dell’arte? -Pourquoi dit-on que Marivaux est un moraliste? -A quels autres textes la scène dite des "portraits" faitièce "L’île des Esclaves" est-il bien choisi selon vous? -Dans quelle mesure cette pièce est-elle subversive? -Dans quelle mesure témoigne-t-elle d’un idéal des Lumières?- -Comment se

donnez-leur du moins le temps de respirer » (VIII, 19, l. 113-116) ou dans un dialogue fictif avec le moraliste: « je vous entends, on va pour vous au- devant de la sollicitation, vous avez du credit, vous etes connu du ministre, vous etes bien avec les puissances; desiriez-vous que je susse autre chose?» (IX, 37, l. 288-290). EX : LE BERGER*THEATRUM MUNDI* De plus, une métaphore apparaît dans l'œuvre du moraliste, celle du theatrum muni une idée très répandue qui se développe dans les textes et dans les arts

critique qu’adopte l’écrivain. Présentation du texte, p. 98-99. GT, p. 129-131. Étudier le texte de Montaigne. Répondre à la question 2. p. 131. 3    5. (3h) Lecture analytique 2 « Cliton » Voir comment le moraliste peint la passion du caractère pour la nourriture. Montrer en quoi Cliton constitue un caractère de l’excès. Étudier les procédés d’emphase. Remarque 122, p. 57. Rédaction collective d’une analyse détaillée sous forme d’explication

que Montaigne assigne à son projet dans toute une série de questions finales. I) a) Montaigne se distingue des moralistes trditionnels regroupés autour de l'expression des autres qui (…) un adjectif substantivé les (…) . Pour Montaigne, former l'homme dans un but édificatoire(instruire et donner une leçon morale) n'est pas réciter ou raconter. Pourquoi cette position ? Parce que le moraliste traditionnel se fonde sur une image inaltérable, unique, définitive de la nature humaine pour former en lui donnant

qu'il « n'appréhende que la sienne, qu'il rachèterait volontiers de l'extinction du genre humain « : hyperbole faisant écho au début qui déjà niait l'existence des autres, « comme s'ils n'étaient point ». III. Un portrait charge 1. Une caricature -moraliste est absent de son texte: prend jamais directement la parole en son nom : utilise parfois le pr pers indéfini « on » Cependant, sa critique de Gnathon n'en reste pas moins une satire acerbe. Souvent le portrait tombe dans la caricature. -Accumulations

par roi/noblesse/clergé. Critique des moralistes: auteurs dont les œuvres traitent de la morale (réflexion sur mœurs/nature). Majuscule: évocation indirecte des auteurs comme Pascal, La Bruyère, La Rochefoucauld.. Pour eux, le luxe est la porte ouverte aux relâchements des mœurs, c'est un danger. Antithèse: morosité/lumière. Mots connotés négativement. « déclamations »: appui sur le discours emphatique des moralistes. => Manque d'intelligence des moralistes. Critique des politiques: Seul l'aspect

refuser le pouvoir s’il est trop autoritaire. Il ne faut cependant pas confondre Lumière et éclairé qui sont deux termes différents, à l’issue du siècle des Lumières, l’obscurantisme est encore présent. III/ Les moralistes On assiste, au 17-18ème siècle à l’essor d’œuvres moralistes. Les moralistes étudient les caractères humains, les mœurs et sont des précurseurs de la psychanalyse. Deux écrivains emblématiques sont La Bruyère, avec Les Caractères, et La Rochefoucauld avec Les Maximes. On observe par

comme Esope mais bien d’interpréter le fonctionnement de l’apologue : c’est ici un art poétique. La morale porte non seulement sur le caractère des hommes mais aussi sur l’attitude que les moralistes doivent adopter puisque l’injonction du vers 70 « il le faut encore amuser comme un enfant » s’adresse aux moralistes et à tous ceux qui parlent aux hommes. L’éloge de la fable porte sur la comparaison entre la fable et l’éloquence. 3. L’apologue face à l’éloquence. Le terme « éloquence » apparaît

moraux : si Théodecte se met en scène, c'est qu'il est un fat ; s'il cherche à s'imposer à tous, c'est par égocentrisme forcené. La suite du texte développe ce que la première phrase contient déjà. Théodecte est un histrion que les pointes du moraliste dégonflent comme une baudruche. Qualifié de « redoutable » par ironie, c'est-à-dire non point dangereux mais insupportable, il est incapable de proférer des propos intelligents ou même intelligibles : il « éclate » en « tonnerre » ou « fracas