Moraliste

cette fable, La Fontaine reste-t-il fidèle à une tradition tout en renouvelant le genre et en s’imposant comme un artiste de son temps ? Plan retenu : I. La Fontaine : un conteur et un moraliste entre renouvellement et tradition II. La Fontaine : un peintre de son temps La Fontaine : conteur et moraliste entre renouvellement et tradition 1. L’art du récit a) L’art de camper une situation initiale (v. 1 à 4) ● La S.I. forme un tout homogène : une seule phrase qui s’étend

complexes, certains auteurs ont compris que le lecteur, en lisant, en voyageant par l'imagination, peut réfléchir Voltaire : « Un livre n'est excusable qu'autant qu'il apprend quelque chose ». A- Le théâtre • Au xviie siècle, Molière => moraliste dans l'âme. Ainsi, il ne va pas écrire ses pièces uniquement pour faire rire. Il voulait faire « rire les honnêtes gens » mais par ses comédies, il dénonce le ridicule d'une société. Il écrivait ses comédies afin de faire prendre conscience au spectateur

En effet La Fontaine reprend une fable d'Esope mais il approfondit l'objectif initial en le rendant plus fin. Ainsi, au lieu de seulement condamner l'enfance de l'homme, il propose ici un art poétique et fait en même temps, en plus du travail de moraliste sur le caractère humain, un éloge de la fable. Cet éloge est triple : éloge de l'argumentation indirecte de la fable face à l'argumentation directe qu'es l'éloquence, éloge de la valeur politique de la fable et enfin l'éloge de la sagesse humaine

discours est égoïste ; //t, perte de valeurs humaines et aussi de l'imp du langage; tout cela à travers un regard ironique du moraliste. Plan du passage : Comment, à quelles occasions Basilide crée nouvelles (diff situation) Problématique : A travers le portrait aux tonalités comiques d'un hâbleur, on peut dégager une leçon politique discrète faîte par La Bruyère moraliste au Roi. Mais = conjonction coordination qui montre bien opposition des deux figures + différence position avec gauche

d'honnêtes hommes permettent à LB de les attaquer. EX : Arrias (V, 9) qui étale un savoir encyclopédique inutile gonflé jusqu'à l'excès ou Cléante (V, 43) défini très ironiquement comme « un très honnête homme », mais finalement démasqué par le moraliste : « il y a sans mentir de certains mérites qui ne sont point faits pour être ensemble, de certaines vertus qui sont incompatibles. » La séparation de Cléante et de sa femme s'explique en fait par l'absence de vertus et de mérite personnel

existence plutôt malhonnête et téméraire. Étant donné les valeurs conservatrices du début du XXe siècle en France, le roman de Radiguet est manifestement une ode à la rébellion. En effet, la profonde ironie de l’auteur, visible dans le style faussement moraliste et dans la structuration de l’intrigue, ainsi que les différentes formes d’autorités successivement bafouées par le narrateur, notamment l’autorité des parents et de la communauté, montrent que, dans ce roman, la rébellion est présentée de manière

● les malheureux qui se complaisent dans le malheur avec gradation + un rythme ternaire ● les moralistes : « les moralistes qui disent aux hommes» (L2) Elle utilise leur thèse pour la réfuter ● les hommes en générale en quête du bonheur Axe 2: un texte des lumières A- la critique des la religion et des moralistes ● critique sous-jacente du raisonnement moraliste des chrétiens ● critique du raisonnement des stoïciens B- l'émancipation des esprits

dresse fixe pour longtemps ses défauts et les relations des hommes entre eux. Grâce à ces portraits qui fixent les défauts, le philosophe peut les observer et échapper au présent qui file car les rapports des hommes filent eux aussi. Pour le moraliste, les comportements des hommes doivent être figés par le portrait. La Bruyère fait partie de nos écrivains capables de lire en filigrane, de deviner les ressorts moraux qui font agir les hommes et d’observer toutes les formes de l’incivisme. La

Travail préparatoire à l’étude des Caractères de Jean de la Bruyère (livres V à X, 1688) Edition de référence  : Classicolycée, Belin Gallimard, cf bibliographie p. 250-251. Vous pouvez écouter sur France Culture les quatre épisodes des « Chemins de la philosophie » consacrés aux Caractères  : https://www.franceculture.fr/emissions/series/la-bruyere-quel-caractere Vous

En effet La Fontaine reprend une fable d'Esope mais il approfondit l'objectif initial en le rendant plus fin. Ainsi, au lieu de seulement condamner l'enfance de l'homme, il propose ici un art poétique et fait en même temps, en plus du travail de moraliste sur le caractère humain, un éloge de la fable. Cet éloge est triple : éloge de l'argumentation indirecte de la fable face à l'argumentation directe qu'es l'éloquence, éloge de la valeur politique de la fable et enfin l'éloge de la sagesse humaine