Moraliste

question Problématique : Quelle image de la nature humaine le moraliste compose-t-il ? 1°. La réfutation de LB : l’homme n’est pas un animal raisonnable. 2°. La dénonciation de l’attitude belliqueuse des hommes. 3°. Un appel à une prise de conscience. Les Caractères de la Bruyère se proposent de définir l’homme dans tous les aspects de sa vie. Cet extrait présente l’homme comme présomptueux et bien peu raisonnable. Ainsi, le moraliste compose-t-il une image saisissante de la nature humaine

période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque,

des portraits physique et moraux, les mœurs de son époque, fidèle aux gouts de ses contemporains. Les caractères sont de petits textes qui présentent l’homme du 17eme siècle. Le chapitre intitulé « De l’homme » est une nouvelle occasion pour le moraliste de soulever les problèmes de la misère de l’inégalité et de l’injustice sociale. Gnathon est un portrait chargé, stéréotype du privilégié sans gênes égoïste et glouton. De quelle manière l’auteur esquisse-t-il à travers ce portrait une satire d’un

Lionne en 1885, Zola publie son clbre roman Germinal et, la toute fin du XIXe sicle, Jarry renouvelle la comdie en composant la pice de thtre Ubu roi. Les auteurs utilisent des registres diffrents pour transmettre leur critique. La Fontaine est un moraliste qui dnonce les relations hypocrites ( paratre ) et la place de la flatterie. Cest un flatteur qui dnonce le cerf et cest en flattant que lanimal chappe la condamnation mort. Mais Les obsques de la Lionne est principalement une critique de la

→ 1694 -Moraliste qui cherche à corriger les défauts des hommes, et certains travers de la société de son temps : il a pu les observer grâce à sa position privilégiée dans les salons d'époque, ayant pour mécènes de grands personnages d’État (comme de surintendant Nicolas Fouquet, l'aristocrate Mme de La Sablière...) -Il s'inspire des anciens : Esope → fabuliste Grec et Phèdre → philosophe et auteur Grec Introduction: Les fables de LF s'inscrivent dans le courant moraliste qui trouve

La Princesse de Clèves – étude générale de l’œuvre La Princesse de Clèves est un roman publié anonymement par Madame de La Fayette en 1678. Le roman se situe au croisement de plusieurs courants de pensées : - le mouvement précieux ; - les moralistes ; - la sensibilité janséniste Univers précieux : * Au XVIIe siècle, l’aristocratie féodale française subit une centralisation du pouvoir de plus en plus affirmée. Cette élite cultivée se réunit dans des « salons », c’est-à-dire le plus souvent

la thèse du gazetier. Justement, parlons de la vigueur dont fait preuve Baudelaire pour défendre son point de vue. Pour défendre son point de vue, il fait part de son savoir à propos de grands auteurs comme La Bruyère moraliste français ou encore Blaise Pascal lui aussi moraliste français mais aussi philosophe. Deux arguments d’autorités sont donc employés par Baudelaire comme « Ce grand malheur de ne pouvoir être seul !... » dit par La Bruyère ainsi que « Presque tous nos malheurs nous viennent

«Pour critiquer les gens, il faut les connaître, et pour les connaître, il faut les aimer.» C'est une phrase de moraliste. Et les moralistes sont éternels. Chez Coluche, l'outrance dévoilait une dialectique. L'absurde accouchait d'une logique imparable. Et sous l'insulte couvait la compassion. Il se gaussait des beaufs tout en les aimant. Son humour les considérait, les rédimait. C'était lui-même un beauf transcendantal. Il sanibroyait les hommes politiques mais il croyait à la politique. Sa candidature

comique, Marivaux invite à réfléchir sur les rapports« maître/esclave ». Aussi, la fonction de la comédie sociale vise à distraire tout en traitant le sujet sérieux. MARIVAUX (1688-1763) : Romancier, moraliste et auteur comique francaisné à Paris. Dans l’Ile des Esclaves, Marivaux a un regard de moraliste sur l’Homme pour faire réfléchir les spectateurs sur la situation sociale maitre-valet au moyen de l’utopie et donc de mieux faire accepter la critique aux maitres. C’était également un journaliste

Révolution, il devra attendre la fin du XIXème siècle pour recevoir enfin l'intérêt dans lequel il avait placé de l’espoir. MONTESQUIEU - Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu était est un moraliste et surtout un penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des Lumières. Il a publié anonymement Lettres persanes, roman épistolaire, où il fait la satire de la société française. Il a voyagé en Europe et principalement