Morphème

 la  double  articulation  le  système  linguistique   écrit  ou  oral  repose  donc  sur  1  double  articulation.     -­‐théories  impérialistes  :  double  articulation     morphèmes  :  unité  minimale  significative  -­‐>  mot,     graphème  unité  minimal  distinctive  -­‐>  lettre     -­‐intimement  lié(sinon  pas  de  signe)  mais  n'ont  rien  à

sons s’il y a une « rentabilité » des sons. ¤ Double articulation du langage : courant qui envisage les langues comme des structures. On met en évidence, des unités de lvl différents (morphèmes divisé en phonème) Ex : Jardin/et Lexic/ diminutif (grammatical qui modifie la valeur d’emploi) 2 morphèmes (unités porteuses de sens) Phonèmes (plus petite unité, avec des «  // ») [R], [r], [...] Les deux sons n’ont pas forcément de rentabilité l’un par l’autre. MaRie-> MaLie Phonologue :

Il pleut. PI  Il pleut ? Dans ce cas on conserve la même syntaxe que celle de l’assertive avec addition de l’intonation. L’intonation pour A. MARTINET est un fait suprasegmental. Elle échappe à l’analyse monématique et phonématique. b- Le morphème est-ce que. Il signifie cela est-il vrai que ? PI Est-ce qu’il pleut ? L’ordre des constituants est conforme à l’ordre canonique, c’est-à-dire à celui de la phrase déclarative. La phrase commence par « est-ce que » qui annonce l’interrogation

fonctionnent pas au même niveau on parle de double articulation du langage. Un signe linguistique peut être complexe ou simple. Morphème : plus petite unité porteuse de sens : on parle d’unité de sens = 1ère articulation. Plus petite unité décomposable Si signe complexe : décomposable/analysable en signe plus petit = Morphème. Phonème : plus petite unité phonétique. Morphème et phonème : naturellement manipulé. Distribution : se situe dans le domaine de l’opposition. L’ensemble des contextes à l’intérieur

dépendant b- Parmi les monèmes, Martinet distingue : les lexèmes et les morphèmes. b-1-les lexèmes ( ou monèmes lexicaux) : ils constituent des mots à contenu sémantique. leur classe est ouverte : inventaire illimité on peut, sans déstabiliser le système, y introduire de nouveaux mots : ce sont les noms, les verbes, les adjectifs qualificatifs et les adverbes. Mais aussi : un radical, un affixe (préfixe, suffixe). b-2-Les morphèmes (ou monèmes grammaticaux ou grammèmes) Ils ne véhiculent pas un contenu

réalisation de la langue Double articulation (phonèmes et morphèmes) de la langue (cf. Ferdinand De Saussure fin XIX début XX). La langue est composée d’unités : - Signifié, la chose désignée, différent de référent (c'est-àdire l’objet réel) - Signifiant, le mot qui la représente. Ainsi c’est le référent chien qui aboie, pas le signifié, pas le mot proprement dit. Les phonèmes sont des unités distinctives et successives composant les morphèmes [il] = [i] +[l] Nombre déterminé dans chaque langue

mémoire syntaxique. II- Morphème, lexème et affixation 22 L'information morphologique concerne la composition du mot: est-il composé d'1 seul morphème-unité minimale de signification- ou non? Prenons par exemple le mot incompétent. Il est décomposable en compétent -le morphème racine ou lexème- et le préfixe in qui traduit la négation- ou morphème le préfixe ré qui indique une reprise d'activité. grammatical. Le verbe réécrire contient lui aussi 2 morphèmes : le morphème écrire et À partir

qu’il vaut mieux débaptiser puisque très souvent elle est composée de lettres qui ne servent pas à transcrire des syllabes orales comme les finales, les marques grammaticales, qui ne correspondent donc pas à la prononciation. VII. Les morphèmes Les morphèmes, (les marques grammaticales) sont également différents à l’oral et à l’écrit. Prenons le cas des verbes au présent de l’indicatif. - A l’oral : ils ne sont pas marqués ou bien seulement lors de liaisons, de changements vocaliques

suivant, chanteur, danseur, la forme en « -eur » donne sons sens aux radicaux « chante » et « danse ». Le sens qui en est la personne qui fait donc l’action de chanter et de danser. L’association minimale d’une forme et d’un sens est appelée morphème. Le morphème est donc décrit comme étant le plus petit segment porteur de sens. Résumé. Dans cet extrait de l’ouvrage Cours de linguistique générale, les auteurs traitent de la nature du signe linguistique. Ils expliquent qu’il y a certaines personnes

OSV(0,2 %) → 96% des langues placent le sujet avant le verbe Magali Ravel pour le CASNAV de Paris Les langues isolantes • Langue constituée de lexèmes invariables, sans système de marques, de conjugaisons donc sans morphologie. Un mot = un morphème qui peut se prononcer avec des tonalités différentes, dans divers registres mélodiques. L’actualisation du sens est rendue par la syntaxe, par un jeu de particules, par le contexte ou suivant le ton choisi. • ex : le vietnamien, le chinois, le birman