Morphème

aussi une connaissance précise de l'orthographe des mots écrits ou une sensibilité précoce à la morphologie. Cette connaissance permet, par exemple, par décomposition d'un mot en morphèmes, de faire apparaître des graphèmes ne traduisant pas un son mais un sens. Par exemple, « chatons » se décomposent en trois morphèmes : « chat », « on » et « s », « s » étant un graphème ayant un sens mais pas de son. Les jeunes lecteurs paraissent avoir de grandes difficultés de lecture par manque de connaissance

presse-citron, râpe à fromage / vs / misogyne, fratricide) . III-COMMENT S’OPERE L’ANALYSE SYNCHRONIQUE DU MOT La description synchronique se fait selon deux directions: - la première cherche à segmenter les mots en unités minimales de sens (morphèmes ou éléments). L’unité d’analyse ici est l’élément. - la deuxième cherche à dégager des types morphologiques généraux qui structurent le lexique. L’unité d’analyse ici est le mot. A - L’analyse des mots en éléments. Pour ce faire, il faut au

relation au signifié (au sens). Le principe de découpage des unités lexicales reposant sur la liaison entre les deux faces du signe lexical. Cette démarche analyse le signe lexical en termes de morphèmes c’est-à-dire en unités de signification minimales. La morphologie lexicale inventorie les classes de morphèmes impliqués dans la forme des mots et les règles qui déterminent leurs combinaisons. A.2. L’arbitraire et la motivation relative L’étude de la formation des mots en français nécessite la

appelle la situation de communication. Ça veut dire que le distributionnalisme va mener une réflexion sur le signe, et il va privilégier la synchronie(étude de la langue à un moment précis). Et il va privilégier l’analyse en morphèmes(unités significatives ex : parlons deux morphèmes 1.parl- le radical 2. –ons la terminaison). 3. Le distributionnalisme se méfie du sens, il met en avance les critères de formes et relègue le sens en seconde place. Il s’agit de décrire la langue de manière qui soit la

différences de prononciation qui correspondent à des différences de sens, ce qu'on appelle des oppositions distinctives. La morphologie : La morphologie s'occupe des plus petites unités de forme et de sens, qu'on appelle les morphèmes. À un moment donné, il existe un nombre fini de morphèmes dans une langue, qui constituent en quelque sorte les briques qu'on utilise pour faire les phrases. Les critères les plus utilisés sont le sens, la forme et la distribution. La lexicologie : Après la phonétique et la

faisant plus référence au discours mais à tout ce qu’il y a autour : univers énonciatif, contexte, sentiments partagés, symboles. Ici la figure établit des relations fortes entre des éléments présents dans le discours (mot, groupe de mots, phonèmes, morphèmes) et des éléments absents de celui-ci. Le récepteur doit donc se représenter cette référence manquante, qui lui demande de mettre en œuvre son univers mental et des connaissances partagées. Cet axe décrit des figures dites in abstentia, virtuelles

(désinence) 3 morphèmes élémentaires qui contribuent à la signification du verbe Morphème : constituant d’un signe linguistique à la fois minimal et porteur d’une signification Exemple de Saussure : Dix-neuf = 10+9 -> motivation relative //Dix « 10 » arbitraire neuf « 9 » arbitraire // la combinaison des 2 n’est pas du tout arbitraire. Repère, requin… sont arbitraires, notons que tous les signifiants qui commence par « re » ne sont pas tous formés par motivation relative, le morphème « re » n’est

langue mais alors elle n’a pas le même objet d’étude que la linguistique : elle étudie les mécanismes de production de sens et non pas la langue comme système. Sémiotique # Sémantique : La sémantique s’intéresse au sens des éléments de langue (morphèmes, mots, phrases, textes). La sémiotique s’intéresse à la langue : elle s’intéresse à ses liens avec d’autres univers. Sémiotique # Sémiologie : Là il s’agit plus d’une question de choix de mots. Le mot sémantique vient de Peirce, le mot sémiologie

formateurs, en ses "morphèmes" de manière à faire correspondre chacun de ces morphèmes à un élément de l'énoncé. Le langage humain se caractérise justement par là. Chaque énoncé se ramène à des éléments qui se laissent combiner selon des règles définies, de sorte qu'un nombre assez réduit de morphèmes permet un nombre considérable de combinaisons, d'où naît la variété du langage humain qui est capacité de tout dire. Une analyse plus approfondie du langage montre que ces morphèmes se décomposent à leur

en ses «morphèmes », de manière à faire correspondre chacun de ces « morphèmes » à un élément de l'énoncé. Le langage humain se caractérise justement par là. Chaque énoncé se ramène à des éléments qui se laissent combiner librement selon les règles définies, de sorte qu'un nombre assez réduit de morphèmes permet un nombre considérable de combinaisons, d'où nait la variété du langage humain, qui est capacité à tout dire. Une analyse plus approfondie du langage montre que ces morphèmes, éléments