Morphème

pour les langues oralesL’unité de la langue amazighe est une évidence, attestée sous diverses variétés, et le niveau morphosyntaxique est celui où elle est plus manifeste.Il y a une richesse au niveau des outils grammaticaux, par exemple, plusieurs morphèmes peuvent exprimer la même notion (négation, interrogation, mise en relief…)Exemple : is idda, ma iddaExemples : ================> ================> ================>

le mot qui paraît être l'unité de base idéale. En fait, c'est une unité difficile à définir précisément. La dérivation : On travaille avec une unité plus cernée, le morphème (=unité minimale de signification). Exemple: jardin: un morphème ; Jardinier: deux morphèmes (jardin- + -ier) Méthode pour identifier les morphèmes: On procède par commutation, on cherche à repérer le plus petit segment porteur de signification et l'élément invariant. D'après l'exemple, on peut proposer les commutations

signification d’un « film », constitue la projection de l’anglais : production. Les emprunts « artificiels » Ils sont composés des morphèmes étrangers. On peut distinguer : le groupe dans lequel les morphèmes proviennent d’une seule langue : telefon « le téléphone » – (el. têle – « loin ») et (el. phônê – « voix ») ; les « hybrides » - le groupe dans lequel les morphèmes proviennent des langues différentes : ciucholand « le magasin des vêtements bon marchés » – (pl. ciuch « le chiffon ») et (en. land

est belle, la logique) Si l’on a affaire à un présentatif, commutation possible avec un autre présentatif (voici, voilà, il y a) a) Le présentatif employé seul Le présentatif « c’est » fonctionne dans une perspective synchronique comme un morphème unique. Il résulte du figement d’un ancien syntagme verbal. On ne peut donc décomposer « c’ est » en une structure du type « c’ » pronom sujet + « est » (verbe). Il varie en nombre

nécessité est dictée par des critères de généralités et de simplicité des règles. La phonologie générative ne construit pas seulement le système phonologique d’une langue, mais elle donne aussi une structure aux morphèmes de cette langue et fournit les règles phonologiques qui s’appliquent à ces morphèmes : cette théorie phonologique a donc un caractère tant morphologique que phonétique. 11 3 3.1 Description phonologique Le travail du phonologue Son travail est un travail d’interprétation : il

constitueront les données pour l’étude des morphèmes, les morphèmes constitueront les données pour la syntaxe. La méthode structuraliste consiste donc à partir d’un corpus sur lequel on travaille par segmentation (découper en unités) et classification des unités. Les plus petites unités repérées constituent les sous-unités d’unités plus grandes, qui, ainsi repérées, sont classées et ainsi de suite. Exemple : Pour repérer les groupements de phonèmes en morphèmes dans la séquence /hizklevə/= (he’s clever)

a) Langue isolante Il est admis de considérer une langue comme isolante lorsque les mots sont ou tendent à être invariables. En fait, une langue est isolante lorsque chacun des morphèmes est identifié à des mots graphiques isolables. Cela signifie que les marques du genre et du nombre, par exemple, constituent des morphèmes distincts et séparés du lexème, parce que chacun des mots correspond à un radical unique. Les langues isolantes les plus connues sont le chinois, le cantonais, le vietnamien, le

unitds de premidre et de seconde alticulation se combinent entre elles, les premidres pour former le signifiant des morphEmes, et les secondes pour former les phrases acceptables de cette langue. Il faut ne pas oublier que les morphEmes sont des unit6s )r deux faces et que, pour 6tre compldte, la description morphdmatique ne doit pas s'intdresser qu'au signifiant desdits morphEmes : elle doit aussi s'occuper de leur signifid. ll convient donc de compl6ter l'analyse phonologique, I'analyse morphdmatique

suivante, que les paragraphes qui suivent ont pour objectif de préciser et de contraindre : 8 Définition (provisoire) d'une allomorphie Une allomorphie est une variation de nature phonologique, non explicable phonologiquement, qui a f fec te un morphème apparte- nant à une catégorie lexicale majeure ou affixale lors d'une opération dérivationnelle ou dans un contexte phonologique. Les exemples ci-dessous illustrent quelques aspects de ce phénomè- ne : Brought to you by | Cambridge University

suffixe S1- fonction centrale 2- fonction secondaire III-1-2- Le suffixe « passif » TTw-, M- et nIII-1-2-1- Morphologie de la base du dérivé III- 1- 2-2- réalisation phonique du morphème ttwIII- 1- 2- analyse fonctionnelle du suffixe ttwIII- 1- 3- les suffixe de « réciproques » III- 1- 3-1- réalisation du morphème M- et sa fonction a)- ses fonctions b)- ses réalisations III- 1- 3-2-Morphologie de la base du dérivé III- 1- 3-3- comportement syntaxique et fonction III- 1- 3-4- Morphologie