Morphine

ou mentales. Les stimulants qui réduisent la sensation de fatigue physique : amphétamines, cocaïne, caféine... Les narcotiques, naturels ou synthétiques qui diminuent la sensation de douleur : dextromoramide, diamorphine (héroïne), méthadone, morphine, pentazocine, péthidine et substances apparentées. Les agents anabolisants qui entraînent une augmentation de la force et de la puissance des muscles et qui sont divisés en 2 classes : - les stéroïdes anabolisants androgènes (SAA) : testostérone

fatigue (comme les amphétamines, cocaïne, caféine …).Les risques de l'utilisation de ces substances sont l'agressivité, l'insomnie, l'excitation, les troubles cardiovasculaires et la dépendance. - Les narcotiques, diminuant la sensation de douleur (morphine, héroïne …)Les effets secondaires sont la dépendance aux produits, la baisse du rythme cardiaque, la dépression respiratoire, la diminution de la capacité de concentration et de coordination ou encore des troubles du comportement. - Les agents anabolisants

| |VRAI. | |Vrai ou faux. La cocaïne engendre facilement et |Vrai ou faux. L’effet stimulant de la cocaïne augmente|Vrai ou faux. La morphine est un opiacé utilisé en | |rapidement une forte dépendance physique. |la confiance en lui-même de l’individu, de même que la|médecine pour apaiser les fortes douleurs. | |

tendons, déchirures musculaires, infections locales et générales. Les symptômes vont de la simple fatigue chronique avec une chute des performances, à une défaillance cardiovasculaire pouvant conduire au décès.  4) Les narcotiques Produits : morphine, héroïne, ou méthadone Effets : Assouplissement et engourdissement de la sensibilité. Elles suppriment ou atténuent la sensibilité à la douleur. Effets secondaires : risque de dépression respiratoire, d'accoutumance et de dépendance physique, diminution

au cours d’une soirée, environnement bruyant et agité, ou chez soi, seul, en couple ou avec des amis. - Les dépresseurs : Alcool, Médicaments tranquillisants et somnifères (Barbituriques, Benzodiazépines...), Opiacés (Héroïne, Méthadone, Codéine, Morphine, etc.). Ces produits entraînent une sensation de détente, de bien-être et de rêve ainsi parfois qu'une perte d'inhibition. - Les stimulants : Tabac, Cocaïne, Crack, Amphétamines, Médicaments stimulants et dopants, Ecstasy, GHB. Ces produits favorisent

générales. Les symptômes vont de la simple fatigue chronique avec une chute des performances, à une défaillance cardiovasculaire pouvant conduire au décès. Les corticostéroïdes peuvent entraîner une dépendance physique. Les narcotiques Les opiacés, la morphine, la marijuana, la cocaïne sont des narcotiques. Elles agissent sur le système nerveux. Les narcotiques sont en fait assez peu utilisés dans le dopage sportif, le principal intérêt est de faire face au stress, comme avec le cannabis chez de nombreuses

liées à la chimiothérapie du cancer ainsi que d’autres nausées sévères - Le secours aux personnes anorexiques et aux personnes dépressives - Le traitement des spasmes du dos, la marijuana étant le meilleur relaxant des muscles, si on exclut la morphine - L’aide aux personnes atteintes du sida en soulageant leur détresse et déprime, en réduisant leur douleur, en éliminant la nausée et en stimulant l’appétit - L’aide en cas de déprime et autres troubles de l’humeur, en s’adjoignant parfois

chimique de l’opium, qui provient du pavot, une plante qui ressemble au coquelicot. L’héroïne est une poudre de couleur brune qui peut être sniffée, inhalée, fumée ou injectée par voie intraveineuse après dilution. On la connait aussi sous le nom de morphine dans le milieu de la médecine. Les effets directs ressentis (et recherchés) par le consommateur: Euphorie Extase Baisse de l’angoisse Sensation d’évasion Augmentation de la température du corps contraction des pupilles Ralentissement des

restent minimes pour des concentrations entre 50 et 100 ng/l mais qu’ils apparaissent au-delà de 200 ng/l. Il semble donc que le taux analgésique efficace est assez proche du taux induisant des effets indésirables. La Kétamine, comme l’association Morphine et Benzodiazépine, risque donc de compliquer la détection d’un éventuel passage intravasculaire d’anesthésiques locaux. Quand sédater ? La sédation per ou préopératoire n’est donc pas sans risque au cours de l’ALR. On peut se poser la question de

officiels d’échange de seringues voient le jour en 1989, à Montréal et Vancouver. L’introduction du traitement à la méthadone Selon le petit Larousse, la méthadone est une substance morphinique de synthèse, utilisée comme succédané de la morphine dans certaines cures de désintoxication de toxicomanes. Sans trop entrée dans les détails, on peut ajouter que la méthadone est un analgésique opioïde d’origine synthétique, développé en Allemagne au cours de la seconde guerre mondiale qui permet