Morphine

donc interdits dans tous les sports. Les narcotiques : Les narcotiques sont des analgésiques puissants qui vont avoir une action sur le système nerveux du sportif. Exemple de produits appartenant à la classe des narcotiques : l’héroïne et la morphine Effets positifs pour la performance du sportif : Les narcotiques auront pour effet de calmer la douleur et auront un effet euphorisant sur le sportif Effets indésirables pour le sportif : La prise de produits narcotiques peut entraîner des sautes

qui est un suc végétal extrait du pavot. On retrouve dans cette catégorie l’héroïne , qu’on décrit comme une poudre blanche ou légèrement colorée (brune) et qui est connu pour entrainer une accoutumance immédiate suivi d’une forte dépendance. La morphine est un produit similaire mais qui a des effets moins destructeurs à court (au niveau des nausées , des vomissements , de l’agressivité ) et long terme (troubles nerveux , dépendance) que l’héroïne , la vente en est facilitée du fait qu’ il est relativement

LSD Enivrants : alcool, cannabis Opiacés et dérivés : morphine, héroïne Excitants : cocaïne, amphétamines Somnifères et tranquillisants : barbituriques, benzodiazépines Tolérance Diminution des effets obtenus avec une même dose au fur et à mesure de l’administration chronique d’une substance conséquence : augmentation des doses à chaque prise et/ou rapprochement des prises Les médicaments : Dérivés morphiniques : morphine dépendance physique et psychique Tranquillisants : Benzodiazépines

elles-mêmes être falsifiées, détournées de leur usage thérapeutique. I. Quelles sont les conséquences de la dépendance aux opiacés ? Toxicomanie aux opiacés : Les produits rencontrés sont l'héroïne (en intra-veineux ou en "snif"), la méthadone, la morphine, la buprénorphine ( Subutex®) Tous les opioïdes ( la méthadone étant le plus étudiée) franchissent le placenta librement. Après administration IV à la mère, on retrouve 60 % du taux maternel dans le sang du cordon. Nous prendrons comme exemple

forte¹ | forte | très forte | forte | | | très faible | | Dangerosité sociale | très forte | forte | nulle | très forte | | | très faible | | 1: nulle pour méthadone et morphine en usage thérapeutique | 1) le trafic de stupéfiants A. Son lien avec la mondialisation Le trafic de stupéfiant existe essentiellement pour une raison économiques, plus que politiques . Le libéralisme, dans sa brutalité, s’accommode

(antalvic, avafortan, codoliprane, efferalgan, codéiné, dafalgan codéiné, propofan, acupan). *Douleur modérée à sévère (palier III) : utilisation d’antalgiques centraux morphiniques associés ou non à des antalgiques non opiacés et/ou adjuvants (morphine chloridrate inj.skenan, palfium, rubain, dolosal, temgésic). Chaque palier ne sera atteint que lorsque les médicaments du palier précédant, utilisés à dose optimale, se révèlent insuffisant ou inefficaces. Pour conclure, devant ces trois cas

toute l’équipe est un peu agacée par cette dame, qu’il ne fallait pas être trop dans l’empathie pour cette dame qui allait sinon devenir de plus en plus exigeante envers l'équipe soignante, que son traitement est adapté (parce que ne supporte pas la morphine et que le dernier oxynorm a été pris à 15 h 00, c'est à dire il y a de 2 h 00). Que sa fille la conforte dans ses plaintes ce qui amplifient ses angoisses et donc ses souffrances. Cette situation m'a interpellé, d'une part, parce que dès mon entrée

sodium, chlorure de potassium, gluconate de calcium Produit d'apport glucidique, apport volémique, garde veine 1 000ml/12h dernier à 2h État de déshydratation et équilibration hydro- électrolytique Bilan entrée- sortie, Morphine 50mg Ampoule injectable IV Morphine sulfate Antalgique palier 3 (opioïde) 1mg / bolus Douleurs intenses post- opératoire Somnolence, confusion, nausée, vomissements Fréquence respiratoire (action dépressive), transit (constipation) Kétamine 50mg Solution

réanimation. |3 | |LES DROGUES OPIACÉES | Ces sont des dérivés de l'opium du pavot, qui renferme plus de vingt molécules de la famille des alcaloïdes. L'héroïne, la morphine et la codéine sont les opiacés les plus utilisés. L’héroïne est trois fois plus puissante que la morphine. La quinine, extraite de l’écorce du quinquina, est parfois utilisée comme une drogue. Le principal effet des drogues opiacées est une diminution importante des sensations douloureuses, un certain

utilisaient également l’opium pour le plaisir à le faire connaître dans tous l’ancien monde, notamment en Inde après les conquêtes musulmanes. Aujourd’hui, la plus grande partie de l’opium issu des cultures illicites de pavot, est destiné à en extraire la morphine.