Mouette

« La mort n’est rien disais comme eux « la mer est verte ; ce point blanc, là-haut, c’est une pour nous ». Maintenant habitue-toi à la pensée que la mort n’est rien pour mouette », mais je ne sentais pas que ça existait, que la mouette était une nous, puisqu’il n’y a de bien et de mal que dans la sensation et la mort est « mouette-existante » ; à l’ordinaire l’existence se cache. […] absence de sensation. Par conséquent, si l’on considère avec justesse que la Et puis voilà : tout d’un coup, c’était

gros petit garçon têtu. Le livre vole, le pliant tombe… - Qu’est-ce que tu dis, petit malheureux ? ta sœur est noyée ? - Oui. Elle était là, tout à l’heure, elle n’y est plus. Alors je pense qu’elle s’est noyée. La jeune maman tourbillonne comme une mouette et va crier… quand elle aperçoit la « noyée » au fond d’une cuve de sable, où elle fouit1 comme un ratier… - Jojo ! tu n’as pas honte d’inventer des histoires pareilles pour m’empêcher de lire ? Tu n’auras pas de chou à la crème à quatre heures !

petits personnages. ..Etc. Les trois dames ont pris chacune un sac, ont choisi des objets et un thème couleur, Madame Dorina a choisi le jaune, les autres le bleu.  Elles ont découpés des sujets sur les serviettes, l’une a choisi un coquillage et une mouette, l’autre a choisi un phare. Elles ont d’abord disposé les objets, ont demandé comment les faire tenir, je leur ai présenté les différentes façons, elles ont choisi le scratch et les épingles à nourrice. Pour ce qui est des perles, je leur ai collé

paysan russe. 4 Feldvebel : adjudant dans l’armée allemande. 5 Elucider : rendre clair, expliquer ce qui était complexe, confus, obscur. 6 Tchékov ou Tchekhov : écrivain russe (1860-1904), auteur de contes, de nouvelles et de pièces de théâtre (La Mouette). 7 Soviet : conseil d’ouvriers, de paysans, de soldats, dans la Russie tsariste, qui prit le pouvoir dans une organisation locale (une usine, une ville, une province...) à partir de 1905. 5 10 15 5caserne, où elle avait « dit des poèmes » devant

par exemple : « Je ne suis pas pêcheur, ma petite dame. Je travaille (sic) avec le photographe pour les cartes postales. Je suis 'type local' ». Et ce gros petit garçon qui annonce à sa mère : " Jeannine est noyée... La mère tourbillonne comme une mouette et va crier... quand elle aperçoit la 'noyée' au fond d'une cuve de sable où elle fouit comme un ratier" Mais avant tout, devenue auteure par la (dis)grâce du mariage, Colette sera la sociologue du couple. L'homme a rarement le beau rôle pour elle:

» (P.80) Comparaison : « ses yeux de bête malade se dissimulaient sans méfiance derrière des cils aussi longs que ceux qui ourlent la paupière des mules » (P.80) Comparaison : « reprit aussitôt sa station contemplative et gémissante, comme une mouette au bord d'un quai » (P.80) Français 7 décembre 2011 Comparaison : « il avança imperceptiblement la main, avec le mouvement craintif du chien qui effleure de sa patte le genou de son maître, pour qu'on n'oublie pas de lui donner à manger

lumineux, serait-ce la chance ou une illusion ?... Non, la grosse perle était là ! « la grosse perle, parfaite comme une lune. Elle accrochait la lumière, la purifiait et la renvoyait dans une incandescence argentée. Elle était aussi grosse qu’un œuf de mouette. C’était la plus grosse perle du monde ». La perle de tous ses rêves impossibles, de tous ses désirs délirants et de toutes ses espérances enfouies, était là. La chanson de l’amour devient intense, vibrante, battante, exaltante, majestueuse et triomphante

  De   Août   à   Octobre   1892,   le   choléra   décime   la   population.     Mais   son   état   de   santé   continue  de  s’aggraver.     En  1895,  il  écrit  La  mouette.   Cette  année  là,  il  rend  visite  au  Comte  Tolstoï  (qui  avait  donné  la  liberté  à  ses  serfs).   Les  idées  de  Tolstoï  le  marquent  et  l’inspirent  pour

retrace le cheminement. II. Le désir d’évasion Pour le poète emprisonné dans sa cellule et dans sa mélancolie, la liberté est un rêve. A. L’analogie poète/oiseau Tout le poème est construit sur une analogie entre le poète et une mouette v.7, oiseau marin, suscitée par la métaphore des v.2 et 3 : « mon esprit… vole … d’une aile inquiète. ». Métaphore filée dans tout le poème par la répétition de l’aile comme attribut du poète aux v.5 et 21(attribut malheureux : « aile d’effroi »

j'ai eu l'air de choisir encore et j'ai changé de route, j'ai pris sur ma droite une autre rue, mieux éclairée, « Broadway1» qu'elle s'appelait. Le nom je l'ai lu sur une plaque. Bien au-dessus des derniers étages, en haut, restait du jour avec des mouettes et des morceaux du ciel. Nous, on avançait dans la lueur d'en bas, malade comme celle de la forêt et si grise que la rue en était pleine comme un gros mélange de coton sale.   C'était comme une plaie triste la rue qui n'en finissait plus, avec nous