Multiculturalisme Argentine

TABLEAU 5 : Position concurrentielle du Canada, part des arrivées de touristes internationaux Classement 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 1950 Pays États-Unis Canada Italie France Suisse Irlande Autriche Espagne Allemagne Royaume-Uni Norvège Argentine Mexique Pays-Bas Danemark Autres Source : OMT. 1970 Part Pays Italie Canada France Espagne États-Unis Autriche Allemagne 97 % Suisse Yougoslavie Royaume-Uni Hongrie Tchécoslovaquie Belgique Bulgarie Roumanie 3% Autres 25 % 75 % Part 1990 Pays

cependant également valable pour certains de ses managers : la Fonction Publique européenne en est un bon exemple. Le langage quotidien y est un mélange d’anglais, de français et dans une moindre mesure, d’allemand et d’espagnol. 2.1.b Le multiculturalisme En second lieu, si le management interculturel est à la mode et fait l’objet de nombreux ouvrages, il représente néanmoins certainement une compétence clé pour les managers d’aujourd’hui et de demain. Le management interculturel vise à

étayées par de nouvelles recherches. COMMENT APPREND-ON ? LA RECHERCHE AU SERVICE DE LA PRATIQUE – © OECD 2010 242 – 10. LA COMMUNAUTÉ : UNE RESSOURCE POUR L’APPRENTISSAGE La montée en puissance de l’apprentissage par le service communautaire En Argentine occidentale, un groupe d’élèves de douze ans étudient l’histoire de leur région dans le cadre du programme scolaire. Les terres où ils vivent sont arides et stériles. Les habitants, pour la plupart des Indiens huarpes, sont pauvres et manquent de

commerçante (plus conservatrice). * Nouvelle " bourgeoisie ", ou " overclass " (Michaël LIND, politologue américain) : classe supérieure distincte de l’aristocratie et des grosses fortunes ; s’affirme comme une classe internationale, affiche son " multiculturalisme " ; est née du salariat (management, finance, informatique, médias). * Nombreuses sous-cultures, revendications particulières : évolution vers de multiples catégories plutôt que vers des nouvelles classes. * Société de l’information : classes

sphère publique, et que revendiquent même parfois certains responsables politiques. Cette évolution intervient dans un contexte de remise en cause des modèles nationaux d’intégration et de déclarations catégoriques sur le prétendu échec du multiculturalisme. Ce volume se propose de mieux comprendre les logiques sociales de racialisation et leur rapport au politique, dans une perspective comparative et en recourant à différentes disciplines. Il pratique une forme d’« histoire du présent », à la

langage humain deviendrait impossible et le mystère de la « première langue » ne serait jamais percé. Par ailleurs, avec la mort de chaque langue, un volet de l’histoire de l’humanité se referme. Le plurilinguisme est le reflet le plus fidèle du multiculturalisme. La disparition du premier entraînera inévitablement la perte du second. Imposer une langue à des populations dont la culture et le mode de vie ne s’y identifient pas, c’est étouffer l’expression de leur génie collectif. Les langues ne sont pas

très récemment, encore qu'exceptionnellement. Le multiculturalisme, réalité de toutes les sociétés y compris les sociétés modernes, implique de la part des système d'éducation une démarche qui rompt avec l'ethnocentrisme culturel, leur choix pour une démocratisation culturelle permettant de reformuler les objectifs pédagogiques et culturels dans le sens d'une plus grande adéquation avec les besoins des apprenants. En outre, le multiculturalisme, en allant à la rencontre de l'universalité des structures

l’humanité, des lieux privilégiés de transmission des croyances, des formes traditionnelles ou nouvelles de manifestations identitaires. D’une part, l’importance de ce que l’on appelle couramment le « retour du religieux » et, d’autre part, le multiculturalisme dans les sociétés contemporaines font de l’étude historique et critique du fait religieux et des religions une nécessité plus que jamais actuelle. Parce que le religieux trouble et inquiète, attire et fascine, il convient d’en prendre la mesure

connaissait encore la valeur du travail bien fait. Les deux seuls étrangers – à l’époque, c’était la règle limitative qui prévalait dans tous les clubs européens –, le Yougoslave Ivan Curkovic dans les buts et le magnifique arrière central argentin Oswaldo Piazza, partageaient la même morale ancestrale. Les années 1970 étaient celles du déclin industriel de l’ancienne citadelle ouvrière, la fin du charbon et la chute de la maison Manufrance. Saint-Étienne avait toujours été la banlieue

démocratie. Nous ne parvenons pas à évoluer. Et pourtant, tout espoir n’est pas perdu. Les jeunes d’aujourd’hui sont la première génération d’Européens nés dans le grand melting-pot d’une Europe qui n’est plus uniquement peuplée par des Européens. Le multiculturalisme pourrait fort bien être notre salut. C’est peut-être lui qui nous libérera des chaînes de notre histoire et projettera le Vieux Continent dans un environnement où d’autres peuples, moins développés que nous mais moins cyniques et plus positifs