Multinationalisation Des Firmes

bancaire, BNP paribas. Phénomène d’internationalisation des grands groupes, diversification des activités, certains groupes ont une tendance conglomérale (mais pas au sens US du terme). Les groupes ont tendance à intégrer tout un ensemble de petites firmes à travers le phénomène de sous-traitance. Une polarisation se fait entre quelques grands groupes par secteurs qui ont une nuée de sous-traitants, l’Etat qui possède des banques, des entreprises… Ca entretien des relations avec les dirigeants des grands

socioculturels provoqués par le contact direct et prolongé entre des sociétés de cultures différentes. • Mondialisation : Processus d'intégration des économies du monde, amorcé par le développement des échanges internationaux et amplifié par la multinationalisation des firmes et la libre circulation des capitaux. • Impérialisme : Domination qu'un Etat exerce sur un autre état grâce à la prépondérance de ses techniques, de ses produits et de ses capitaux. • Américanisation : Donner ou adopter un caractère

développement : lien de causalité ou simple corrélation ? Le libre-échange en question : des tendances vers un retour du protectionnisme Chapitre 2 > Les stratégies internationales des entreprises A ................ 206 Le développement des firmes multinationales FMN et investissements directs à l’étranger (IDE) Pourquoi l’explosion des IDE ? 184 Séquence 7-SE01 © Cned – Académie en ligne B Les objectifs stratégiques des FMN Les quatre grandes étapes de l’évolution stratégique

par préférer ce type de progiciels bénéficiant d'une expertise et d'un support mondial de leurs éditeurs, quitte à abandonner la souplesse d'une application propriétaire. A l'heure actuelle les ERP sont devenus un des moyens de renforcer la multinationalisation des entreprises avec une structure mondiale de partage de l'information. Les ERP sont donc des logiciels paramétrables, modulaires, intégrés et qui ont pour objectif de mettre en réseau, par une base de données unique, l’ensemble des données

d’entreprises sont amenées à opérer non seulement sur leur marché local, mais également au-delà de leurs frontières nationales. Cette vision a été pendant longtemps qualifiée d’internationalisation par les observateurs et les firmes elles-mêmes, puis de multinationalisation des marchés et des activités voire même de mondialisation. Cette dernière appellation tend de plus en plus à s’éclipser au profit du terme « globalisation ». La globalisation se présente comme une forme particulière de la mondialisation

La lib€ralisation compl‚te de la cr€ation de soci€t€s par actions n'est achev€e qu'en 1856 au Royaume-Uni. Avant m„me la r€volution Russe, c'est aux ˆtats-Unis que se manifestent les premi‚res oppositions entre le pouvoir politique et les grandes firmes capitalistes. Le capitalisme sous la forme du lib€ralisme €conomique apparaŽt et pr‰ne la concurrence par une nouvelle organisation du march€ comme gage d'efficacit€, tandis que les pr€c€dentes formes de capitalisme avaient une tendance ƒ la concentration

réalisées à partir des années 1960 par des universitaires américains s’intéressant au développement des filiales communes, ces études ont approché le sujet à travers deux problématiques distinctes : ➢ La première, porte sur le processus de multinationalisation des grandes entreprises et étudie les joint ventures d’expansion internationale qui sont des filiales crées dans des pays cibles par des multinationales qui cherchent à pénétrer dans une nouvelle zone géographique. Les travaux les plus

des firmes selon trois axes : Leurs comportements en matière de production et de vente ; Les interactions qu’elles entretiennent entre elles et avec leur environnement ; Les conséquences de ces comportements interactifs sur la structure des marchés ; B) Ses méthodes : deux approches (non exclusives) : Une approche descriptive (après la crise des années 1930) = analyse globale des marchés selon la séquence SCP (Structure, Comportement, Performance) : Structure des marchés Conduite des firmes Performance

savoir le mode optimal d’internationalisation des firmes. Il s’agit plutôt de mettre en perspective les facteurs d’attractivité des pays. Cette évolution, en passant de la mesure des avantages compétitifs des entreprises à celle des avantages comparatifs des territoires (PORTER, 1993), témoigne d’une 480 Zouhour KARRAY, Sofiane TOUMI mutation des mentalités (FERRARA et HENRIOT, 2004). Dans cette perspective, l’internationalisation des firmes n’est plus perçue comme un danger. Au contraire, elle

1 CIVILISER LES ETATS-UNIS *** Première partie – La dérive économique du monde (Analyse économico-politique du capitalisme planétaire) (1) - Un capitalisme hétéroclite. (2) - La prépondérance des firmes multinationales (3) - Les fronts et les frontières du marché (4) - Les Etats perdent prise sur le marché (5) - Des pouvoirs internationaux sans grande prise sur le marché (6) - Le développement inégal, mais de quoi ? (7) – La dérive économique du monde Deuxième partie – Un monde en désarroi (Analyse