Multinationalisation Des Firmes

influence les stratégies utilisées par les acteurs – selon Michael PORTER (les 2P, les 2M et2 R) : Pouvoir de négociation des Fournisseurs Pouvoir de négociation des Clients Menaces des nouveaux entrants Menaces de produits substituts Rivalité entre les firmes dans le secteur Rôle des pouvoirs publics La concurrence – pour son diagnostic, il faut analyser finement les orientations et les potentiels de développement de nos concurrents et leurs réactions, ces dernières étant les plus importantes. Il faut

......63 2.3 2.4 2.5 PROCESSUS D’INTERNATIONALISATION DES PME DE SERVICES ........................................65 DEGRE DE CONTROLE DES METHODES DE PENETRATION DES MARCHES ETRANGERS ........69 CONFIGURATION GEOGRAPHIQUE DES ACTIVITES DES FIRMES PRESTATAIRES DE SERVICES ......................................................................................................................................71 2.6 2.6.1 REFLEXIONS STRATEGIQUES INTERNATIONALES SUR LE MARKETING-MIX DES SERVICES

ultérieurement à sa création comme la Conférence des Nations-Unies pour le Commerce et le Développement, (CNUCED) qui, comme nous le verrons plus loin, joue un rôle important dans la connaissance des investissements internationaux et de l’activité des firmes multinationales, du Programme des Nations-Unis pour le Développement (PNUD), du Programme des Nations-Unies pour l’Environnement (PNUE). Le Centre du Commerce International (CCI) qui est rattaché à la fois à la CNUCED et à l’OMC. • • • B - Le

nombre de réglementations. Elle doit non seulement respecter les lois bancaires de son pays d’origine, mais elle a aussi l’obligation de se conformer à celles des pays dans lesquels elle est implantée. En dehors de la réglementation, la multinationalisation des banques, à l’instar de celle de toutes les entreprises repose sur des impératifs économiques et financiers, et 4 l’exploitation au mieux des opportunités présentes sur un marché étranger dépend de la façon dont l’établissement

et Singapour, elle s’avère très hétérogène par la taille des Etats, leur structure politique et économique. Les relations entre les différents pays ne sont pas gérés par des accords d’ensemble, mais par des traités bilatéraux et des accords entre firmes. Seule l’Association des Nations d’Asie du Sud-Est (ASEAN ou ANSEA) coordonne les activités mais elle ne regroupe qu’une partie des pays de l’aire de puissance. Cet espace a pourtant des caractères communs avec d’importantes densités démographiques

sans que la répartition des parts de marché ait varié pour autant. Ce n’est évidemment pas l’objectif recherché par les firmes. Elles vont donc privilégier d’autres formes de la concurrence pour préserver leurs parts du marché mondial et pour améliorer leurs résultats, pour créer de la valeur : l’innovation technique et/ou l’absorption des concurrents et/ou la multinationalisation ”18. L'observation du marché africain des télécommunications confirme cette analyse. Sur le terrain tarifaire, les opérateurs

protectionnisme sont moins visibles et leur objectif consiste à complexifier l’entrée de produit étrangers. Les barrières administratives limitent l’accès au marché national parce qu’elles génèrent des coûts d’information et des coûts d’adaptation que les firmes étrangères doivent supporter.  Les marchés publics : les méthodes d’attribution des marchés publics sont un moyen de limiter la concurrence des entreprises étrangères parce qu’elles favorisent toujours les entreprises nationales. Les subventions :

aujourd’hui 3% (867 ent.) C- L’internationalisation du système productif On note une tendance des firmes à participer au commerce international favorisé par l’OMC. Dans tout les pays on note la participation au commerce international. Pour la France l’import-export est de l’ordre de 20%. Ceci à conduit à la multinationalisation des entreprises. Effectivement on arrive à l’heure actuelle où on a des firmes qui ont des dimensions énormes. En 2006, on trouve au niveau mondial 1) Exon (CA 273 525 000

défensif de certaines IDE * Beaucoup de firmes s’implantent à l’étranger simplement pour empêcher leur concurrent de gagner un avantage comparatif et les distancer durablement * Les entreprises adoptent un comportement d’imitation * Position sur le marché prime sur la recherche de rentabilité Conclusion * Carte IDH dans le monde * 2 tendances pour les FMN * Multinationalisation n’est plus le monopole des grandes firmes : de plus en plus de PME s’implantent à l’international

MOTS CLES - Balance commerciale, des capitaux, des paiements - Balance des transactions courantes - FAB, CAF - CNUCED - Coefficient d’ouverture sur l’extérieur, coefficient de dépendance - Compétitivité - Effets prix, effets volume - Firmes Multinationales - FMI - GATT - Investissements directs, investissements de portefeuille - List F. - NPI - Paradoxe de Leontieff - Pôles de compétitivité - OMC - Position Monétaire Extérieure - Solde commercial - Taux de couverture