Munitionettes

de l'obus, des canons des mitrailleurs etc, les soldats disposaient d'armements destructeurs et n'ont sans doute pas réalisé la gravité des conséquences que ces nouvelles choses pouvaient occasionnées. Ceux restaient à l'arrière (notamment les munitionettes) qui fabriquaient ces armements ne savaient sans doute pas que ces mêmes armes tueraient très certainement leur mari, frère ou fils. La Première Guerre mondiale est synonyme d'ignorance face a ces nouvelles armes, les soldats ne savent pas ce qu'ils

l'horreur du front. Paradoxe né : femme concidéré comme profiteuse des circonstances de la guerre , séduction, prostitution... Femme à l'Usine:  Embauchées dans les entreprises de différents secteurs , fabrication d’armements elle est surnommée « munitionette », distribution du courrier etc. Représente un quart de la main d'oeuvre . Cependant , même en occupant les nouveaux postes a l'arrière de la guerre , elle doivent toujours s'occuper de leur familles mais dans des conditions difficils. Elle

ou des profession comme celle d’institutrice pour les femme, la première guerre mondiale est donc un période historique importante, leur permettent de faire leurs preuves dans des emplois considérés jusqu’ici comme « masculins » comme les « munitionettes » employées dans les usines d’armements. Afin de réussir a nourrir les millions de soldats qui se battent, on a recours au rationnement, d’autant que la production agricole s’écroule partout en raison du départ de millions de paysans pour le

maîtresses des exploitations agricoles. Elles assurent les récoltes et labourent les terres lorsque les bêtes ont été réquisitionnées. Dès 1915 la femme devient ouvrière d’usine, en particulier dans l’industrie d’armement ce qui lui vaut le nom de « munitionettes » les femmes vont donc faires le travail des hommes (même si leur droit a l’égalité ne sera toujours pas reconnu directement après la guerre en France). Les enfants vont travailler dans les usines de plus en plus jeunes pour aider leur patrie.

et dans les champs pour le ravitaillement. On fait appel aux colonies (indo-chinois, maghrébiens) et aux femmes qui représentent par exemple 20% de la main d'oeuvre allemande en 1914 mais 35% en 1918. En France, elles sont même surnommées les munitionettes. Cela abouti à une augmentation de la production, celle d'obus 75/155 est multipliée par 25 000 en 5 ans entre 1913 et 1918. Sans oublier la fabrication de camion, multipliée par 10. C'est également ue mobilisation des esprits à la fois idéologique

prisonniers de guerre ou des immigrés pour les travaux les plus lourds. Dès 1915, pour pallier à la pénurie de travailleurs masculins, la femme devient ouvrière d’usine, en particulier dans l’industrie d’armement ce qui lui vaut le sobriquet de « munitionette ». Dans le même temps, les ouvriers qualifiés qui étaient mobilisés sur le front vont être réaffectés à l’arrière dans les usines d’armement car on ne peut pas les remplacer du fait de leur spécialisation. Cependant, les « affectés spéciaux » restent

telle des prisonniers de guerre ou des immigrés pour les travaux les plus lourds. Dès 1915, pour pallier à la pénurie de travailleurs masculins, la femme devient ouvrière d’usine, en particulier dans l’industrie d’armement d’où le surnom de « munitionettes ». Dans le même temps, les ouvriers qualifiés mobilisés sur le front vont être réaffectés à l’arrière dans les usines d’armement car on ne peut pas les remplacer du fait de leur spécialisation. Cependant, les « affectés spéciaux » restent soumis

un pantalon mais aussi bien que dans sa vie privée ce qui va davantage populariser le port de pantalon. C:\Users\GABRIEL\Pictures\img170.jpgC:\Users\GABRIEL\Pictures\muntionnettes-canadiennes-1917.jpg Marlène Dietrich portant un pantalon. Munitionettes canadiennes. P.10 C) Une fausse liberté Dans l'absolu, on est libre de suivre la mode ou pas, mais avons-nous vraiment la liberté de choisir ? Les habitudes familiales, la pression sociale, les pratiques culturelles, la pub, les médias

encore l'industrie mécanique. Le nombre de femmes employées dans l'industrie allemande passe de 1,4 million de 1914 à 2,1 millions en 1918. En France, elles forment également environ un quart de la main d’œuvre industrielle. C'est le temps des «munitionettes» . Elles remplacent également les hommes dans les champs, sur le front en tant qu'infirmière, dans les hôpitaux ou encore, les marraines de guerre écrivent aux soldats sans famille et envoient des colis. Ainsi, très vite, les femmes accèdent aux

moments où la population prend réellement conscience de ce qui se passe au front, c’est lorsque des corps sont rapatriés. L’économie tourne à plein régime car les femmes travaillent à l’usine, elles font le travail des hommes, on les appelle : les munitionettes. Il y a une évolution sociale ce qui entraîne une émancipation féminine. 2) La mobilisation de l’économie : l’industrie Certains pays qui sont restés neutres, commercialise des armes, ces pays sont : les USA, l’Amérique latine et l’Afrique