Munitionettes

opposés. Les femmes, elles sont placés exclusivement a l’arrière car elles doivent remplacer les hommes qui sont partis au front. Elles les remplacent notamment dans les champs, les usines ainsi que les usines d’armement ou elles sont appellées les “munitionettes”. Une certaine confiance leur ai transmise car elles travaillent dans les hopitaux avec le surnom de “anges blancs” et exercent un travail monstrueux en soignant le nombre incalculable de blessés au cours de cette guerre. Pour finir, les hommes

ravitaillement et du personnel médical. A l’arrière : l’ensemble des civils (tous les hommes qui ne sont pas au front), qui travaillent en usine ou dans l’agriculture et se fait rejoindre par les femmes surtout pour la fabrication d’armes (les « munitionettes »). Pendant le 2nde guerre mondiale, les allemands installent le STO (Service du Travail Obligatoire). Les conditions de vies des civils sont difficiles à cause des cartes de ravitaillement. Des emprunts sont faits auprès des civils pour participer

président du Conseil René Viviani en tant qu’ouvrières en particulier dans les usines d’armement en ville et dans les champs. Les femmes sont contraintes de tenir cette position faute d’insuffisance de revenu. Nous pourrons noter prés de 430 000 munitionettes travaillent dans l’industrie d’armement. Le terme munitionnette désigne une ouvrière des usines de fabrication d’armes. Mis à part les usines d’armement occupés plus de 10 heures par jour, les femmes remplacent les hommes dans d’autres secteurs

l’arrière ne restait majoritairement que les femmes. L’économie du pays en guerre devait continuer à fonctionner et les ménages devaient percevoir au moins un salaire. Les femmes se sont donc mises à travailler en plus grand nombre (exemple des munitionettes). Avec ce travail, la femme a gagné en autonomie puis qu’elles ne restaient plus chez elles à s’occuper du foyer. Ces changements ont touché une grande partie de la population française car il n’y avait que les femmes les plus riches qui avaient

premier exemple, mais surgit à ce moment-là une conscience plus aigüe de la situation sociale de la femme. Mais c’est surtout au XXème siècle que les voix de femmes se font réellement entendre grâce au courant féministe. Ainsi les suffragettes, les munitionettes, Colette, Simone de Beauvoir etc. revendiquent la différence de la femme dans un monde dominé et organisé par les hommes. « Si l’on dit que les hommes oppriment les femmes, le mari s’indigne, mais le fait est que c’est le code masculin, c’est

doute, l'embauche des femmes dans les usines d'armements.On nomma cette nouvelle main d'oeuvre; "les munitionnettes". -[Les munitionnettes]Début 1918, les femmes forment un quart de la main-d’œuvre dans l’industrie de guerre, soit 403 000 munitionettes Ces femmes venant d'horizons multiples (couturières, femmes aux foyers...) sont attirées par un salaire, qui bien que 2 fois moins conséquent que celui des hommes dans cet même branche d'activité au début de la guerre, est supérieur à tous les

ceux qui sont sur le champ de bataille”. -Donc c’est l’engagement de toute la société, des enfants, des femmes et des plus âgés. Un des gros problèmes est la moisson de 1914. C’est un appel aux femmes. -Les femmes se retrouvent aussi en usine: munitionettes (25% de la main d’oeuvre des industries d’armement sont des femme: on passe de 3% en 1914 à 31% en 1918 chez Renault). C’est une condition du travail pénible: réaménagement du travail; aménagement du poste de travail. -On remplace également les

Soutenait l’effort de guerre car propagande. Seules les femmes dont les maris, les enfants, les pères étaient partis au front et rentrés en permission ont pu prendre connaissance de la réalité. 1- Participer à l’effort de guerre. - Femmes = munitionettes - Emprunts à la Défense nationale. - Possible grâce au sentiment patriotique, à l’amour pour le proche qui est au front et à la propagande = la guerre est inoffensive. Culture de guerre. 2- Souffrances physiques et psychologiques : -Territoires

ce qu’ils faisaient. Ils ont appris qu’il y avait des mutineries sur le front russe et qu’il y a une révolution en Russie (sans vouloir pourtant faire la même chose en France). Au même moment, l’armée allemande est paralysée par des grèves des munitionettes, ce qui ne les laissaient pas profiter de la situation. Nivelle est « limogé » et c’est le général Pétain, une des figures de la bataille de Verdun, l’Homme qui a épargné ses hommes et qui a l’autorité nécessaire pour être obéi. Son mot d’ordre

Ersatz : copie d'un produit manquant ; sa qualité est souvent moins bonne. Génocide : destruction physique, intentionnelle, systématique et programmée d'un groupe ou d'une partie d'un groupe en raison de ses origines ethniques ou religieuses. Munitionettes : expression française désignant les femmes produisant des munitions dans les usines durant la Première Guerre mondiale