Munitionettes

l'attaque de Pearl Harbor ayant lancé le géant américains dans une guerre ouverte sur deux fronts. Ces derniers ont pu profiter de l’expérience professionnelle des femmes dans les usines de confection de munitions. Elles étaient appelées les « munitionettes » lors de la première guerre mondiale. Elles ont été un atout majeur pour les USA, leur conférant une main d’œuvre disponible encore plus importante que celle de l’Allemagne nazie ou que l'empire japonais. b) les femmes dans la lutte

C’est donc bien un génocide Définition : Génocide : l’extermination volontaire et systématique de tout un peuple Pourquoi la 1ere Guerre mondiale est-elle une guerre totale ? Il y a la mobilisation militaire (70 millions de soldats), des femmes (munitionettes), des industries (Armes fabriqués par Renault), des finances (emprunts nationaux), des médias (propagande, bourrage de crâne). Les civils sont aussi victimes (Arméniens, Belges…) Les révolutions Russes de 1917 : -La révolution de février 1917,

430 000 femmes pendant la guerre. D’autre part 497 000 soldats ont été affectés dans les usines. Les usines ont aussi eu recours aux ouvriers civils, aux mineurs, aux étrangers et aux mutilés. Seulement les femmes n’ont pas seulement servie de « munitionettes », elles ont aussi soigné les blessés de guerre, envoyer des courriers aux soldats pour leur faire garder le moral. D’autre part elles faisaient aussi le deuil des soldats morts aux combats. En 1918 arrive la victoire de la France et avec elle

travaillaient déjà auparavant mais cette guerre leur procure alors d’autres occupations que celles de leur « métier féminin ». Elles vont travailler dans les champs, dans les usines d’armement (ce dernier lieu leur a d’ailleurs donné le nom de « munitionettes »). Elles peuvent occuper désormais des postes à responsabilité qui leur étaient interdits avant la guerre : certaines sont devenues cadres d’entreprises.

joué un rôles très important, comme les hommes, elles étaient devenues engagées et responsables. Près de 400 000 femmes travaillaient dans les usines d'armements, certaines contrôlent les pièces fabriquées, on les appelle les cartouchières ou les munitionettes. Entre moissons, foins, champs, légumes, cochons, traites, labours, elles remplacent même les hommes ou parfois elles reprennent le travail de leur mari. Il n'y a plus de différence, une femmes peut travailler comme employés de banque pendant

la recherche, la main d’œuvre, les capitaux et l’industrie sont consacrés à la guerre. Les femmes pallient le manque de main d’œuvre engendré par le départ des hommes au front, les femmes travaillant dans les usines de munitions sont appelées munitionettes par exemple. Pour maximiser l’efficacité de cette politique, le président du conseil Raymond Poincaré appelle à l’union nationale : pour la défense de la patrie les différences de religion et d’opinion politique sont mises de côtés. De plus l’état

prisonniers de guerre ou des immigrés pour les travaux les plus lourds. Dès 1915, pour pallier à la pénurie de travailleurs masculins, la femme devient ouvrière d’usine, en particulier dans l’industrie d’armement ce qui lui vaut le sobriquet de « munitionette ». Elles construisent alors, obus et autres armes. Dans le même temps, les ouvriers qualifiés qui étaient mobilisés sur le front vont être réaffectés à l’arrière dans les usines d’armement (certaines usines d’automobiles se convertissent dans l’armement

fin de compte ce n’était pas vraiment ce que l’on pouvait appeler un travail, elle travaillait en fait dans une usine de voiture reconvertit en usine de fabrication d’obus pour les soldats du front. Dans cette usine elle effectuait le rôle de « munitionette ». Ses journées étaient toute aussi éprouvantes les unes que les autres mais comme disait Raoul Follereau, «  tout travail est noblesse que l’on accroche à une étoile. » Les jours passaient comme cela aussi vite qu’il était chargé et chaque soir

malmenées par ce régime qui leurs en demande trop. Toutes les forces productives et industrielles de la nation sont dédiées à la guerre. Les hommes sont sur le front, les femmes sont à l'arrières en train de fabriquer des obus, on les appellera munitionettes, elles sont alors sous payées et exploitées. On constate des différences d'économies de guerre entre les puissances de l'Axe et les Alliés : les Alliés achètent des armes au États-Unis, ce qui devient le Victory Program, alors que l'Axe base

(métallurgie, industrie, mécanique). Le nombre de femmes employées dans l’industrie allemande passe de 1.4millions en 1914 à 2.1millions en 1918 ; en France, elles forment également un quart environ de la main-d’œuvre industrielle : c’est le temps des « munitionette ». Financer l’effort de guerre devient difficile et est d’autant plus cruciale que la guerre s’allonge et coute de plus en plus cher. L’état recours donc à l’emprunt intérieur ou extérieure, à la fiscalité et à ’’ la planche à billet ‘’. Les Etats