Musique africaine

durant la période de l'esclavage : cette musique tire ses origines dans la perpétuation de la musique africaine par les esclaves des anciennes plantations. On peut ainsi le comparer à d'autres musiques caribéennes : le bèlè martiniquais, la rumba cubaine, la musique rasin haïtienne. Pour les esclaves, malgré les interdits du Code Noir1, la musique était un moyen de fuite, d'évasion et de communication au même titre que la langue guadeloupéenne. Cette musique, mal vue pendant longtemps dans la société

culture hip-hop cumule un aspect festif, hédoniste et un aspect contestataire. Les thèmes abordés varient selon les genres et ont évolué selon les époques. Comme la soul et le funk dont ils s'inspirent, les textes traitent des sujets communs à toute la musique populaire occidentale c’est-à-dire la vie quotidienne, l'amour ou le sexe. De nombreux groupes de rap ont également des textes à vocation contestataire ou politique qui les rapprochent du punk et de la poésie de la beat generation. On peut citer

des derrières qui s’amusent ». Georges Clémenceau, opposé au tango  « le tango va dans mes oreilles, est filtré par mon cœur, et ressort par mes pieds. » Dany « el flaco » Garcia. « Sa musique est déplorable et favorise des réactions destructrices chez les jeunes ». Franck Sinatra, indigné devant la musique d’Elvis Presley « De même que l’on reconnait que le chewing-gum est un truc génial, on ne va pas renier la force du rock ». Aretha Franklin qui défend le rock  Cependant, personne ne s’est

même un opéra rock réalisé par Alan Parker en 1982. Il intervient pendant la période de la guerre froide, construction du mur de Berlin en 1961 ainsi que les années Thatcher. A noter que cette chanson fut reprise comme hymne par les étudiants sud-africains pour protester contre le système scolaire mis en place dans le cadre de l’Apartheid. Description : Cette œuvre est un opéra rock avec une alternance de séquence filmés et de séquence animés (dessin animé) dans lequel le héros a vécu énormément

doit-il faire œuvre utile ou rester un art gratuit ? Lorsque l’art fut créé sa plus belle interprétation était probablement la musique, cette façon de dire les mots au travers des cordes d’un violon ou par le simple faite de glisser ses mains sur un piano pour ainsi nous bouleverse au plus profond de nous, comme dirait Platon : « La musique donne une âme à nos cœurs et des ailes à la pensée »... Mais est-ce que cet art n’est qu’utilité dans la vie ou reste-t-il un art gratuit ?

Ce document fait dans le cadre d'un exposé universitaire a obtenu la note de 15/20 LES MUSIQUES CONTESTATAIRES DES ETATS-UNIS Problématique : Dans quelles mesures le Jazz puis le Rock aux États-Unis, ont-ils constitué de nouveaux moyens d'expression et de contestation? Introduction : Depuis la colonisation de l'Amérique par les européens, les inégalités sociales font rage et une société élitiste puritaine dominée par les blancs s’impose. Dans un premier temps, ils voulurent épurer les

liminaire) est une ode (chant lyrique) aux Tirailleurs sénégalais, soldats de l’Armée coloniale française depuis 1857. Bien que le recrutement ne se soit pas limité au Sénégal, c’est dans ce pays que s’est formé le premier régiment de tirailleurs africains qui combattent sous le drapeau français. Lors du premier conflit mondial, 200000 tirailleurs sont mobilisés. Pendant la Seconde guerre mondiale, Senghor est lui-même mobilisé et fait prisonnier en France. Il écrit dès 1940 des poèmes qui exaltent

Depuis, le rock a évolué et il est maintenant devenu un style de musique puissant et très varié. Quant au reggae, il a émergé en Jamaïque à la fin des années 1960 et a immédiatement connu un vaste succès, devenu international dès la fin des années 1970. Notamment grâce à Bob Marley qui était la première star internationale issue du tiers-monde, et Jimmy Cliff. Ils ont définitivement imposé le reggae dans le monde entier. Ces deux musiques ont été popularisées grâce aux médias, à la télévision, à la

En lattes Les instruments de musique sont plus que de simples objets. Ils sont le fruit du travail de générations de musiciens et d’artisans, qui ont sélectionné des matériaux et développé des techniques complexes pour créer le son qui leur ressemble. Dans l’atelier "KSoné", Gérard confectionne avec soin des instruments de musiques guadeloupéens. Il m'accueille dans cette maison ouverte aux quatre vents, où il fait naître

personnifient, explosent! Accompagné de visuels-chocs et armé d’une sélection musicale hors pair, ce spectacle de danses afro-urbaines dépasse ses propres limites pour proposer un véritable tour du monde, tant dans la diversité des danses et musiques que dans le choix des actualités internationales illustrant chaque tableau. SHAKE THAT SIN, nouveau spectacle de la chorégraphe Maïmouna Coulibaly, explore avec humour et sensualité les problématiques posées par le quotidien actuel et donne