Mystères joyeux

les marais surtout où palpite toute l’existence inconnue des bêtes aquatiques. Le marais, c’est un monde entier sur la terre, monde différent, qui a sa vie propre, ses habitants sédentaires, et ses voyageurs de passage, ses voix, ses bruits et son mystère surtout. Rien n’est plus troublant, plus inquiétant, plus effrayant, parfois qu’un marécage. Pourquoi cette peur qui plane sur ces plaines basse couvertes d’eau ? Sont-ce les vagues rumeurs des roseaux, les étranges feux follets, le silence profond

leur mère Tout près, quelques amis causant au coin du feu ! J’appelais cette vie être content de peu ! Et dire qu’elle est morte ! hélas ! que Dieu m’assiste ! Je n’étais jamais gai quand je la sentais triste ; J’étais morne au milieu du bal le plus joyeux Si j’avais, en partant, vu quelque ombre en ses yeux. Novembre 1846, jour des morts. – 20 – VI. Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d’autrefois, Où l’eau court, où le buisson tremble, Dans la maison qui touche aux bois, Elle

d’azur frissonnant, d’eau qui luit, Et de petits oiseaux qui se cherchent querelle. Qu’a donc le papillon ? qu’a donc la sauterelle ? La sauterelle a l’herbe, et le papillon l’air ; Et tous deux ont avril, qui rit dans le ciel clair. Un refrain joyeux sort de la nature entière ; Chanson qui doucement monte et devient prière. Le poussin court, l’enfant joue et danse, l’agneau Saute, et, laissant tomber goutte à goutte son eau, Le vieux antre, attendri, pleure comme un visage ; Le vent lit à

verts, d’azur frissonnant, d’eau qui luit, Et de petits oiseaux qui se cherchent querelle. Qu’a donc le papillon ? qu’a donc la sauterelle ? La sauterelle a l’herbe, et le papillon l’air ; Et tous deux ont avril, qui rit dans le ciel clair. Un refrain joyeux sort de la nature entière ; Chanson qui doucement monte et devient prière. Le poussin court, l’enfant joue et danse, l’agneau Saute, et, laissant tomber goutte à goutte son eau, Le vieux antre, attendri, pleure comme un visage ; Le vent lit à quelqu’un

épis, puis voir sur son sol les gras sillons se charger d lourds épis que l'on lierait en gerbes. C'est en ce lieu que la Déesse descendit des hauteurs de l'éther inlassable : elles furent heureuses de se voir l'une l'autre, et leur cœur en était joyeux. Alors Rhéa au bandeau brillant parla ainsi à sa fille : « Viens, mon enfant! Zeus, dont la vaste voix gronde sourdement, t'invite à rejoindre la race des Dieux, et il a promis de te donner les privilèges qu'il te plaira de choisir parmi ceux des

et Carmen de Prosper Mérimée. -Le mystère et le fantastique : Goût du rêve et de l’imaginaire. La Vénus d’Ille de Mérimée lance le genre de la Nouvelle fantastique suivi par Sylvie de Nerval. -Le goût du morbide : La mort est un voyage vers l’inconnu plus qu’une fin redoutée. Le héros de René de Chateaubriand exprime sans retenue son impatience de mourir. Aspect le plus romantique de Baudelaire dans ses poèmes « La charogne » et « Le mort joyeux » des Fleurs du Mal. -Le renouveau

Philosophie | par Cécile article déposé le 27/10/2001 lu 61598 fois | | Jostein Gaarder mène en Norvège la double vie de professeur de philosophie à Bergen et celle d'écrivain à succès. C'est en 1990 que le public norvégien le découvre avec "Le mystère de la Patience", un roman absolument MAGNIFIQUE qui mériterait sans doute possible un article très élogieux ici-même!    Mais le monde entier le connait pour le fameux et désormais célèbre "Monde de Sophie". Tout le monde en a entendu parler mais

insiste aussi sur la population naïve qui n’est jamais au courant de rien, on peut lui faire croire pleins de choses ; elle peut facilement se faire manipuler. VII. Les thèmes: Dans ce récit, différents thèmes sont mentionnés ; la peur, le mystère, l’amour et la métamorphose. VIII. Les personnages principaux: (3 à 5 lignes par chaque personnage important: portrait physique et caractéristiques morales, intellectuelles, évolution de la personnalité, etc...) >>> Comte Dracula : comte des Carpates

SylvieI — Nuit perdue. Le narrateur est amoureux d’une actrice qu’il va voir jouer tous les soirs au théâtre. Il passe le reste de ses soirées en compagnie d’un cercle d’amis joyeux. Un soir, il apprend que l’actrice en question fréquente l’un de ses amis. II — Adrienne. De retour chez lui, le narrateur se rappelle sa jeunesse dans la campagne du Valois. Il revoit alors les rondes qu’il faisait avec les jeunes filles. L’une des filles, jolie brune, Sylvie, lui plaisait beaucoup. Pourtant, un

faut se laisser porter par le vent des mots, et laisser place à nos émotions… Emotion ; un mot important dans une lecture d’œuvres littéraires. On se surprend à aimer, à s’attacher à ces personnages (principaux ou pas), ils nous rendent triste ou joyeux, on suit leur émotions, on les vit en même temps qu’eux. Dans tous les cas, lire revient à fabriquer du sens en associant les données nouvelles apportées par le texte à celles dont nous disposons déjà. Il n'y aura donc jamais deux lectures identiques