Mélancholia Conclusion

 • Il existe depuis le XVIe siècle une tradition poétique de la révolte, dont l’origine n’est pas la contemplation mais l’indignation, la colère, la défense d’une cause. Intitulé précisément « Les lutteset les rêves », le livre III des Contemplations en est un exemple. « Melancholia » est un réquisitoire contre la misère, contre toutes les formes de misère : celles de la veuve sans travail mais non sans enfants à nourrir ; du vieillard, contraint de travailler « pour manger le matin et pour jeûner le soir » ; et des enfant

horribles, différentes de ce que les gens connaissent et de ce à quoi ils sont habitués. Dans un premier temps, le poète, à travers la poésie engagée, décide de se servir de son pouvoir d'expression pour desservir une cause qui le touche. Dans Mélancholia, Victor Hugo dénonce l'injustice du travail chez les jeunes gens. Ici il s'agit d'une jeune orpheline de dix-sept ans seulement, qui doit se battre seule pour se nourrir elle ainsi que ses enfants, alors que son mari « est au cabaret pendant qu'elle

compléter Conclusion : Ainsi, pour résumer ce texte, nous pourrions dire : faisons aux enfants le cadeau, le présent de leur présent. N’hypothéquons pas leur présent pour préparer un futur, dont nous ne savons rien. De nombreux écrivains et philosophes ont exposé leur conception de l’éducation ( Montaigne, Locke), d’autres ont pris la défense d’une enfance exploitée au profit d’un capitalisme cruel. C’est le cas de Victor Hugo avec un poème célèbre des Contemplations «  Mélancholia » commençant

narration exemplaire, le récit, tiré de sa vie personnelle, de l'expérience de son père, partisan de la peine de mort avant d'avoir assisté à une exécution, mais totalement bouleversé après. Le dégoût profond qui en résulte permet à Camus de tirer une conclusion générale sur la nécessité de l'abolition. Moins que des vérités éternelles c'est d'un homme exemplaire, archétypal, qu'il tire la force de son argumentation. La démarche d'Hugo s'éloigne des précédentes en ce qu'elle va chercher dans la fiction

la lecture d’un poème, le poète s’approche de la beauté. Pour ce faire, le poète est obligé de faire appel à l’intime afin de transmettre les mêmes émotions au lecteur. Par exemple, Verlaine dans le recueil des Poèmes Saturniens, dans la partie Melancholia, utilise, dans le poème Après trois ans, de nombreuses incitations des sens qui font comprendre au lecteur l’intimité et la beauté du jardin. Le poète, ayant ainsi placé le lecteur dans un contexte intime, lui parle de son amour passé, ainsi, l’auteur

l'intitule Poèmes Saturniens, il se place consciemment sous le signe de la fatalité, de la tristesse et de la mélancolie. Dans le poème qui s’intitule « Mon rêve familier », qui se trouve dans la première section du recueil (qui a pour titre « Melancholia »), le poète pleure un passé imaginé et reconstruit, où il vivait en parfaite harmonie avec une femme singulière, à la fois muse, mère et amante. Ce passé révolu, davantage rêvé que vécu, devient, ici, un véritable chant élégiaque. Nous allons

Français que tous aujourd’hui nous connaissons. Lui, a joué un nombre incalculable de rôle aussi bien dans la poésie que dans le roman. Qu’il est difficile de choisir un texte parmi tous ses écrits ! J’ai choisi ici un extrait engagé du fameux « Melancholia » pour montrer que le poète a aussi pour rôle de défendre et d’argumenter. Rentrent dans cette catégorie La Fontaine bien sûr mais aussi Zola plus tard et les nombreux écrivains engagés contre la guerre au XXème siècle … Ici, bien que l’extrait

est d'emblée central car le titre du recueil Poèmes saturniens fait référence à Saturne, le dieu du temps, un temps destructeur qui conduit tout au néant. - L’angoisse : Ce sonnet intitulé « L’Angoisse » est le huitième et dernier de la section Mélancholia du recueil. Au contraire de Baudelaire qui se dit victime des tourments de son âme, Verlaine s’y revendique marginal et solitaire. L’angoisse est la peur de quelque chose d'abstrait, qui n’existe pas concrètement. Différent de « peur ». Cela

d’engagement capable de convaincre les hommes d’adhérer à une cause par les émotions qu‘elle transmet. Notamment grâce à la poésie engagée qui permet de lutter et d‘inciter le lecteur à l‘action, afin de changer la société. Ainsi, Victor Hugo dans Mélancholia, dénonce l'exploitation des enfants. Ainsi, la dénonciation poétique renforce la puissance de l'argumentation, permet de susciter colère et pitié chez le lecteur qui augmente les chance de le convaincre par rapport à une autre forme poétique. La

Il est ton médecin, ton guide, ton gardien ». Conclusion. Plus qu’un éloge du livre ou qu’un réquisitoire contre les brûleurs de livres, ce que dénonce le poète est l’analphabétisme des couches sociales les moins privilégiées. C’est un véritable appel au changement qu’il lance et plus particulièrement à l’éducation du peuple. Il retrouve ainsi l’un des thèmes favoris de ses Contemplations (1856) et notamment dans le poème intitulé Mélancholia : « Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne