Mémoire Conseil Conjugal

cognitiviste ……………………………………………………………...…9 Bibliographie……………………………………………………………………………..11 Introduction Plusieurs problématiques ont fait l’objet de nombreuses théories ainsi que de nombreuses recherches, que ce soit la dépression, la violence conjugale, etc. La dépendance aux drogues et/ou alcool est l’une de ses problématiques. Cette analyse aura pour objectif d’approfondir les connaissances sur la dépendance aux drogues et/ou alcool à l’aide des différentes approches en psychologie. Grâce à ces

Univ., Psychothèque, 1975, pp. 68-73. Collectif Strasbourgeois, Actes de la rencontre de la Mouvance Rogérienne. 7-8 octobre 1995, Mouvance Rogérienne, 1996, n° 6, pp. 1540. Commas, C., Etude d'attitudes thérapeutiques de C. Rogers et B. Bettelheim, Mémoire présenté en vue de l'obtention du grade de Lic. en Psycho., sldr. Demaret G., UCL., Fac. de Psycho., 1980, inédit., 181 p. Cornaton, M., Analyse critique de la non-directivité : les malheurs de narcisse, Toulouse, "Eppsos", Privat, 1975, 176 p. Cornaton

personnage principal du roman est le parfait symbole de la sincérité et de la vertu. Sa mère l'a élevée selon de rigoureuses règles morales. La Princesse est très proche de sa mère, qu'elle admire et qu'elle craint à la fois. Elle va lui demander conseil concernant sa passion et suivra ses recommandations , conformes à la morale et aux bienséances. Elle prouvera sa sincérité en avouant à son mari la passion qu'elle éprouve pour le duc de Nemours. Passion destructrice puisqu'elle causera la mort de

jeunes poètes (parmi eux Mallarmé) sont scandalisés par la violence et l'attitude grossière de Rimbaud. Verlaine est écartelé entre sa vie de famille et son amour pour Rimbaud. Indécis, il boit de plus en plus.  En janvier 1872, victime de violences conjugales, Mathilde s'enfuit avec son fils Georges, né le 30 octobre. Elle se réfugie à Périgueux. Verlaine vit jusqu'à la mi-mars à Paris avec Rimbaud, pour qui il écrit "Ariettes oubliées". Puis ayant promis à sa femme de rompre avec Arthur rentré à Charleville

parents, c’est l’autre qui donne seul l’autorisation à condition que le décès ou l’ignorance de l’adresse de l’autre parent soit attesté sous serment. Si les deux sont décédés, c’est l’autorisation des ascendants qui est requise et à défaut, c’est le conseil de famille. S’il s’agit d’un enfant adoptif, l’autorisation doit toujours être donnée par le ou les adoptants. Dans tous les cas, le consentement à mariage est spéciale, elle est valable seulement pour le mariage avec une personne déterminée. L’autorisation

volontairement[19]. L’article 146 du Code civil précise qu’ « il n’y a pas de mariage lorsqu’il n’y a point de consentement »[20] et l’article 1er stipule que « Le mariage est un contrat légal par lequel un homme et une femme s’unissent en vue d’une vie conjugale commune et durable. Il a pour but la vie dans la fidélité, la pureté et le désir de procréation par fécondation, sur les bases stables et sous la direction du mari, d’un foyer permettant aux époux de faire face à leurs obligations réciproques dans

notamment ses articles 26 et 58, A DECIDE CE QUI SUIT : Est promulguée et sera publiée au Bulletin officiel, à la suite du présent Dahir, la loi n°70.03 portant code de la famille, telle qu’adoptée par la chambre des représentants et la chambre des conseillers. Fait à Rabat, le 12 hijja 1424 (3 février 2004) Pour contreseing : Le Premier Ministre, DRISS JETTOU -7- PREAMBULE Sa Majesté le Roi Mohammed VI, commandeur des croyants, que Dieu le glorifie, a placé, depuis son accession au trône de ses

de mener sa famille et cela amène à une « double morale sociale » comme l’explique I. Théry. Les familles recomposées sont en effet davantage issues d’une classe défavorisée. Et les enfants, dans tout cela ? Ils sont souvent otages des conflits conjugaux ou sont submergés de ressentis tels la rancœur, la jalousie et se retrouvent souvent dans l’entre-deux, obligés de choisir entre le père ou la mère. Ils servent souvent « d’éponges », recevant de toute part les émotions déchirantes d’une séparation

.............................................................................................. 23 § 1. Conception des droits de la femme en général.................................................................. 23 I. La femme au sein du foyer conjugal……………………………………………………..23 II. La femme dans la famille élagie: le lignage …………………………………………….29 III. La femme dans la société………………………………………………………………..32 §2. Les obstacles à l'épanouissement de la femme …………………………………………35 I. Obstacles naturels………………………………………………………………………

l’usage des gamètes d’un donneur ou de la mère porteuse viole l’intégrité de l’union conjugale et les droits de l’enfant à naître dans sa propre famille naturelle. Au lieu de recourir à ces méthodes, l’éthique orthodoxe propose l’adoption comme alternative permettant de contourner la stérilité. Dans la même perspective, cette éthique n’encourage pas la « conception post mortem » pour la raison que l’acte conjugal doit être accompli à deux et que l’enfant à venir a droit à ses deux parents pour son