Mémoire Homosexualité

L’adoption homoparentale I- Définition II- La loi en France III- Exemple du Québec, Canada IV- Arguments pour V- Arguments contre I- Définition L’adoption homoparentale est l’adoption d’un enfant par une personne ou un couple de personnes homosexuelles. L'adoption dite « homoparentale » peut consister en : • l'adoption par un couple de même sexe d'un enfant extérieur au couple. • l'adoption par une personne de l'enfant de son compagnon de même sexe

e suis pour le mariage homosexuel, car d’après moi deux personnes qui s’aiment ont le droit de concrétiser leur amour par le mariage. Ce sont des êtres vivants, qu’ils soient de même sexe ou de sexe différents, ils doivent avoir ce droit. De plus , dans ce projet de loi, seul le mariage civil est concerné, et non le mariage religieux.Or nous sommes dans une société laïque, et non religieuse. Le mariage doit être une question d’égalité des droits. Les homosexuels ont les mêmes devoirs que les hétérosexuels

SYNTHESE Document 1 - Texte de Mathias ROUX – Socrate en crampons - 2010 Vocabulaire : de façon endogène : de lui-même exogène : produit par une cause externe Document 2 – Xavier MONNIER – Quand homosexualité et football ne tournent pas rond – 2008 JDD : Journal du dimanche, hebdomadaire Coming out :  annonce volontaire et officielle de son orientation sexuelle. Leitmotiv : refrain ASNL : association sportive Nancy-Lorraine (nom du club de foot de Nancy) Saillies : traits d'humour

Plan comment le pacs est-il progessivement imposé dans la société ? origines du pacs, pourquoi ? Pour qui ? Défenseurs et opposants a) le pacs, c'est quoi ? Le pacs (Pacte Civil de Solidarité) a été instauré en 1999. A l'origine, il a été conçu pour pouvoir unir les couples gays. Il est en quelques sortes l'équivalent du mariage pour hétérosexuels, mais contient moins de démarches administratives, mais a une reconnaissance juridique d'une union entre deux personnes, que ce

de femme en femme, c’est qu’il ne trouve pas ce qu’il cherche, parce qu’il ne sait même pas qu’il le cherche » (p. 64). Don Juan répond : « Je ne cherche rien, je prends, je cueille les pommes sur l’arbre et je les croque » (p. 68). (Cela rappelle une citation d’un auteur fort donjuanesque, Alfred de Musset, dans André del Sarto : « il n’y a d’heureux que les enfants qui cueillent un fruit et le portent à leurs lèvres sans penser à autre chose, sinon qu’ils l’aiment et qu’il est à portée de leurs

Cette affirmation de Simone de Beauvoir a peut-être contribué à faire naître aux Etats-Unis la « théorie du genre » appelée en anglais Queer, ce qui est déjà étrange puisque queer signifie étrange. Notons toutefois que si, d’après Simone de Beauvoir on devient femme peu à peu c’est parce qu’il faut d’abord s’affranchir des idées toutes faites qui déterminent ce qu’une femme peut et doit être. Elle n’a jamais nié que biologiquement on appartienne à un sexe déterminé. Ce n’est pas exactement le thème

DU EXPERTISE - TD N°2 Mots clés : instable impulsif toxicomane Tr cptmt, PAA répétés, surtout si perte de reconnaissance, absence de cadre Marginalisé, climat violent, désocialisation S’inscrit dans la perte et la rupture Fuite et Dépendance aux toxiques Structure névrotique, Caractère oral Peu affirmé, position d’homme très mal identifiée, Tr sexualité intelligence limite auto critique et remise en question quasi nulle ; minimisation des faits a pu s’adapter

Synthèse du débat sur le mariage homosexuel Après avoir rendu notre dossier de presse sur les différents avis à propos du mariage entre personne de même sexe, un débat a été organisé afin de mettre en avant les idées des articles de journaux trouvés ainsi que leurs arguments, et leurs points de vue. Madame X a été choisie pour présider le débat, elle nous a proposé comme problématique «Quel est l’avis de la société sur le mariage pour tous? ». L‘égalité de tous les citoyens a été le premier

Mhyte d'aristophane Au départ, suite à la déchirure de l'être en deux moitiés, celles ci cherchent désespérément leur moitié perdue. Lorsque l'être trouvait sa seconde moitié il cherchait à s'unir à nouveau avec elle pour retrouver cette unité qu'il formait auparavant. Cependant les membres seuls, c'est-à-dire les bras ne permettaient pas le retour de ce bien-être. Ainsi n'étant pas réuni de nouveau, et ne voulant rien accomplir l'un sans l'autre, cette liaison voire fusion obsédante presque mystique

maladie sous les traits de son protagoniste et réalisateur, Cyril Collard. Ce témoignage, véritable autofiction cinématographique va rapidement devenir le « film officiel » sur le sida dans la mesure où il est le premier à aborder frontalement homosexualité et séropositivité. Ce silence des films français sur le sujet contraste avec ce que connaissent les Etats-Unis où se développe un véritable cinéma fait par les homosexuels pour les homosexuels (peut être parce que la maladie y a une longueur d’avance