Mémoire Sur La Titrisation

des institutions financières a dû faire face à d’importantes pertes du fait de la grande dépréciation de la valeur des actifs titrisés. Face à cette conjoncture économique, l’entreprise Natixis, que nous avons pour objet d’étude dans ce mémoire, s’est vue confrontée à une multitude de difficultés (la valeur des titres et passée de 19,55 € à moins de 2 €) entrainant d’importantes pertes qui l’ont conduit à sa recapitalisation. Cela représente une augmentation du capital d’une société qui

financières après la libéralisation financière des années 80 surtout les crises bancaires1, cela ne veut pas dire que c’est un phénomène récent. L’histoire du capitalisme regorge de crises qui s’accentuent dans certaines périodes. Le fait qu’on ait une mémoire courte fait qu’on tombe presque toujours dans les mêmes erreurs. Ce qui est certain c’est que moins de règles pour structurer les marchés financiers et les banques et la libre circulation des flux de capitaux sont des facteurs qui peuvent faciliter

de risques inconsidérées des intermédiaires financiers américains, recherchant des rendements déraisonnables dans un contexte de déréglementation et d’innovations financières à risque. Cette crise est aussi une crise de la finance globale. La titrisation(2) des risques s’est très vite étendue au système financier international, nombre d’investisseurs, en Asie, en Europe, au Moyen-Orient, ayant massivement acquis tout un ensemble de produits structurés ou de dérivés de crédits qui offraient des

5.10 Evolutions majeures et uniformisation des systèmes financiers * L’organisation de l’intermédiation financière * Economie d’endettement et économie de marché financier * L’automatisation des ordres * L’émergence de la titrisation 5.11 Des disparités nationales et par type d’agent * Profondeur financière et place de l’intermédiation * Le cas de la France 5.12 La régulation nationale et internationale des systèmes financiers * Objectifs et formes

COOKE par Francesco De Musso Mémoire soutenu en vue de l’obtention du DESS « Banques et Finances » Directeur de Mémoire : M. Yves BURGER Directeur Secteur Bancaire Standard & Poor’s Année Universitaire : 2000/2001 RESUME ET MOTS CLES RESUME Ce mémoire a pour objectif de déterminer les implications, ainsi que, les rôles des agences de notation

subprime. Un subprime est un crédit à risque que les banques offrent à des emprunteurs qui ne présentent pas les garanties suffisantes. En effet, il est considéré comme l'un des principaux risques bancaire. De ce fait, nous nous proposons, dans ce mémoire d'étudier le risque de crédit qui est à l'origine de crise des subprimes. D'après Joel Bessis (1995) dans son ouvrage « gestion de risque et gestion actif-passif des banques », le risque de crédit est : «  le risque de perte consécutive au défaut

hausse dangereuse du taux d’endettement des ménages dans ces mêmes pays, et à un effet de levier très élevé des banques d’investissement, des entreprises en LBO et des hedge funds notamment. Une crise de liquidité, enfin, des marchés de produits de titrisation et du refinancement interbancaire. L’un des plus grands historiens de la finance est l’économiste américain Charles Kindleberger qui dresse l’inventaire des crises financières depuis le 17e siècle dans “Une histoire de la finance”. Selon cet auteur

aux risques. Elle est définit selon « internationale Financial risk Instute » comme « l’application de l’analyse financière et de divers instruments financiers au contrôle et à la réduction des types de risque sélectionnée Tout au long de ce mémoire, nous analyserons la gestion des risques au sein d’une banque et les risques de contamination par le biais financier cela nous mènera à répondre aux questions suivants : ← Quelles sont les risques aux quels doivent faire face les banques 

Aussi, le ratio était caractérisé par: * Une prise en compte limitée des sûretés adossées aux engagements tels les garanties ou les hypothèques, * une insensibilité remarquable aux nouvelles techniques liées aux dérivés de crédit tels la titrisation, convention de netting bilanciel...), aucune prise en compte de la diversification du portefeuille des crédits. Enfin, malgré l'amendement de 1996 sur les produits dérivés, le développement explosif de ceux-ci dans les années quatre vingt dix a

le risque de crédit, le risque de marché et les risques opérationnels. Suite au développement récent des marchés de produits dérivés, on observe que les banques ont plus souvent tendance à vendre leurs risques de crédit. C'est ce que l'on appelle la titrisation. Risque difficilement assurable Dans le domaine actuariel, il est difficile d'obtenir une protection financière contre le risque systémique, tout simplement parce qu'il est difficile de trouver une contre-partie désireuse d'accepter ce risque