Mémoire Travail Temporaire

Psychologie Cognitive Professeur : Fabien Fenouillet Mémoire et apprentissage Cours introductif : Les deux grandes structures de la mémoire sont : le stockage et l’encodage. Le stockage se fait lorsque les éléments de la mémoire à court terme (qui est limité) passent dans la mémoire à long terme. On n’a donc pas une mémoire mais des mémoires. Encodage : L’encodage repose sur le principe qu’il faut faire attention à l’information. Ce n’est pas parce que l’on voit une image que l’on va s’en souvenir

des troubles de type visuel, tactile et /ou auditif. Or, d'après le cours sur les fonctions cognitives, notamment sur la mémoire, le registre sensoriel constitue une porte d'entrée pour la mémoire à court terme, la mémoire de travail (d'après le modèle d'Atkinson et Schiffin). De plus, les autistes présentent aussi des troubles pour le stockage et l'encodage dans la mise en mémoire notamment à long terme. La classification de l'information (classification par séquence, par catégorie) se fait mal.

entre chacun. Je me corrige ensuite doucement avec ma liste. Je continue à étudier seulement ceux qui me causent des problèmes. 3. J’écris les mots qui sont plus difficiles en gros sur des morceaux de papier que j’affiche au-dessus de ma table de travail. Je les lirai très souvent. Un parent me les demande régulièrement. Je peux enlever les mots que je réussis. Je garde les affiches afin de bien les réviser avant la fin du cycle. 4. Je mêle l’ordre des mots que j’étudie car j’ai tendance à retenir

hypothèse de proportionnalité, uniquement des hypothèses d’ordre. Les études sur la mémoire à court terme sont nombreuses. Nous nous intéresserons plus particulièrement à celles qui font varier la nature de l’information. Ces expérimentations comparent les capacités d’encodage selon deux supports, mais moins souvent selon trois supports. L’intérêt est donc de confronter les trois supports quotidiens et de travail en une expérimentation : les mots écrits, les mots lus et les images. De plus, l’intérêt

forme d’information mémorisée ; Enfin l’activité mentale est un traitement de haut en bas dirigé par les connaissances à la différence de l’activité perceptives qui est un traitement de bas en haut qui apparie le stimuli a ce qui est stocké dans la mémoire. 2) Nature des traitements, informations et processus de traitement des activités mentales Ce qui caractérise l’activité mentale c’est qu’elle construit des représentations et opèrent sur ces dernières. Les représentations sont essentiellement

l’erreur à travers celle du concept d’apprentissage. Apprendre c’est acquérir « naturellement » des connaissances. (Jean Pierre ASTOLFI , L’erreur, un outil pour enseigner, 97) On entend par « naturellement » que les connaissances s’ancrent dans la mémoire sans difficultés apparentes. Ainsi, on donne des cours magistraux comme si voir et faire entraînaient naturellement des acquisitions ; celles-ci pouvant servir de base pour aller plus loin. Cette théorie part de l’idée que si l’enseignant explique

La mémoire est l'une des fonctions les plus importantes et l'une des propriété plus passionnantes du cerveau. Pascal disait d j : "La m moire est n cessaire a toutes les op rations de l'esprit". Il est bien vrai qu'elle r git l'essentiel de nos activit s qu'elles soient scolaires, professionnelles, quotidiennes ou de loisirs. Elle construit aussi bien l'identit , les connaissances, l'intelligence, la motricit et l'affectivit de chacun de nous. Qu'est-ce que la mémoire ? C'est la fonction

correspondent plutôt à des entités fonctionnelles pouvant mobiliser une variété de structures cérébrales distinctes. Par exemple dans la mémoire, avec la distinction entre mémoire de travail et mémoire à long terme. On rencontre aussi différentes mémoires sensorielles, ou encore la distinction entre mémoire sémantique et mémoire épisodique. La psychologie cognitive travaille également avec le concept d'association. D'autres chercheurs s'emploient à décrire les stratégies mises en place par les individus

Lefèvre**, E. Devouche***, J. Serres***, N. Prudhomme***, C. Bourdais*, M.-G. Pêcheux*** RÉSUMÉ La présente recherche concerne l’organisation de l’attention exécutive d’enfants d’âge préscolaire lorsqu’on leur demande de copier, puis de reproduire de mémoire, un modèle complexe. Le modèle utilisé est la figure de Rey B (1959) qui associe 11 éléments simples (cercle, croix, etc.) en fonction de relations d’inclusion ou d’intersection. Les enfants ont de 3 à 6 ans. Un premier article (Lefèvre et al., 2007)

la reformulation. Le rappel est utilisé pour mesurer la prise en compte, dans la lignée des travaux de la psychologie cognitive et notamment du modèle de Baddeley et Hitch (1974), selon lequel l’information prise en compte et gardée dans la mémoire de travail est disponible pour le rappel. Ainsi, lors d’une interaction orale, le locuteur non-natif doit rappeler les phrases après le locuteur natif. Les données ont été recueillies à partir de tâches de communication orale effectuées par 33 apprenants