Méthode Socratiques

rhéteur Lysias, en effet phèdre cherche à retenir les moindres détails du discours, Socrate préfère l'apprentissage par le dialogue -Socrate parle du jeu de séduction entre les deux personnages. On retrouve dans ce jeu de séduction la maïeutique socratique -phèdre accepte de lui faire part des idées de Lysias, il avait caché le discours écrit. 4) "quittons [...] si tu avançais" -marche des deux interlocuteurs vers un lieu propice à la lecture -allusion au sens "fraicheur de l'eau", "air frais"

l'homme, on ne peut rien affirmer avec certitude, mais qu'on doit au contraire douter de tout. Chez Descartes, on retrouve le même doute radical que chez les sceptiques, mais, avec un mélange du doute socratique : le doute radical sert à ne pas être dupe des opinions ou des faux savoirs; c'est une méthode qui sert à nous purger de nos illusions, et à atteindre la vérité, sans se précipiter. En tout cas, se demander si "on peut" douter de tout, c'est sous-entendre que douter de tout est quelque chose

 Cet art nécessite de la part de Socrate de feindre l'ignorance, d'user d'ironie pour que l'interlocuteur fasse par lui-même, dans un jeu de questions-réponses, un parcours dialectique vers la connaissance. Epictète résume de cette manière la méthode socratique : «Comment faisait Socrate ? Il forçait son interlocuteur à témoigner pour lui, et il ne lui fallait point d’autre témoin. Ainsi pouvait-il dire : Je laisse les autres de côté et, comme témoin, je me contente de celui qui discute ; j’en appelle

a-t-il une transparence de soi-même à soi-même nous permettant d’être maîtres de nos paroles ? A - La méthode cartésienne : « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, - Et les mots pour le dire arrivent aisément. » (de Boileau, lecteur de Descartes). Partant de la citation de Boileau, on voit qu’il faut avoir une conception claire et nos paroles seront une expression maîtrisée. La méthode de Descartes vise à une conception claire de nos pensées, elle peut s’adapter à l’expression de nos idées

a-t-il une transparence de soi-même à soi-même nous permettant d’être maîtres de nos paroles ? A - La méthode cartésienne : « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, - Et les mots pour le dire arrivent aisément. » (de Boileau, lecteur de Descartes). Partant de la citation de Boileau, on voit qu’il faut avoir une conception claire et nos paroles seront une expression maîtrisée. La méthode de Descartes vise à une conception claire de nos pensées, elle peut s’adapter à l’expression de nos idées

questionnement de Socrate est embarrassant, il consiste à conduire ses interlocuteurs à découvrir les contradictions contenus dans leurs réponses et à s’apercevoir qu’il ne savant rien, révélés à eux mêmes dans leurs ignorances par les effets de l’ironie socratique. Dans le cas de Menon, Socrate ne cherche aucunement à transmettre un savoir parce que son objectif est de trouver dans les réponses avancées par Menon, une matière  de réflexion sur le savoir qu’il a pu acquérir sur la notion de vertu. Socrate

conclusion). – Montaigne : «Que sais-je ?» ⇒ nécessité de définir des concepts. Le language doit être l’instrument du vrai. Maïeutique (faire accoucher) socratique : par la remise en cause, on acouche d’une pensée vraie. But : la ´ ´ .   sophistes : fait un usage persuasif du language indépendamment du vrai et du faux : démagogie. Ironie socratique : dissoudre la doxa en nous faisant prendre conscience que nous ne savons pas, quand nous parlons, ce que nous disons. Socrate > Platon > Aristote :

Les trois grandes parties La culture -art -technique -échanges La raison et la vérité -la méthode scientifique -la vérité -foi et raison La liberté -état et société -droit et justice -moral et politique ÉPOQUES : Antiquité : Socrate et Platon Modernité : Descartes → invite la modernité 1637 : Discours de la méthode 1641 : Méditation métaphysique 18éme siècle : Les Lumières : Rousseau Voltaire Les Révolutionnaire : Marx Freud Nitch ← critique

Introduction Dans ce qu'il est convenu d'appeler les « dialogues socratiques », c'est-à-dire les dialogues où Platon met en scène Socrate dialoguant avec les Athéniens, on remarque que ce qui en fait la trame constante est la discussion presque sans fin, souvent aporétique (c'est-à-dire sans issue), dans laquelle Socrate s'engage avec ses interlocuteurs au sujet de telle ou telle notion. Dans le dialogue l’Alcibiade il s'agit de savoir ce qu'est la beauté, comme d'ailleurs dans le Banquet on

sensible n’est pas une vraie connaissance car on ne peut rien saisir de définitif, d’universel à travers l’expérience des sens. La méthode par laquelle l’esprit s’élève à la vérité c’est la dialectique (au sens premier : art de discuter), il désigne plus précisément la montée progressive de l’esprit vers le monde intelligible. Livre VIII, La République « la méthode dialectique est la seule qui rejetant les hypothèses s’élève jusqu’au principe même pour établir solidement des conclusions et qui