Métrique Dans Les Fables

décembre 1851). - 1853 : compose le recueil de poèmes Les Châtiments-> dénonce l'ambition et les crimes de Napoléon III. Œuvre : Le recueil de poèmes Les Châtiments mélange les pièces courtes et mordantes, les discours prophétiques, les chansons et les fables dans une grande liberté de ton. Dans le court texte Fable ou histoire, inspirée de "Le Loup devenu Berger" de La Fontaine ou « L'Âne vêtu de la peau du Lion » (V, 21), Victor Hugo renvoie à un fait historique : le coup d'état Napoléon III de 1851

bonheur toujours menacé D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ; D’Aubigné (Les Tragiques, 1616) ; Corneille (L’Illusion Comique,1636) ;Viau (Œuvres poétiques,1621) Corneille (Le Cid,1637), Racine(Andromaque,1667), Molière (L’Avare,1668), La Fontaine (Fables, 1668-1693), La Bruyère (Les Caractères,1688) LES LUMIÈRES Env. 1715- 1789 Les écrivains des Lumières s’engagent afin de répandre le savoir et de favoriser l’exercice de la raison, contre les ténèbres de l’ignorance et du despotisme. Ils

 NOTIONS DE VERSIFICATION La versification ou métrique désigne l’ensemble des codes et règles employés dans la poésie en vers réguliers. Sa connaissance est indispensable pour apprécier la matière sensible du poème et ne pas le réduire à une idée. 1- LA MESURE DU VERS Le vers est marqué par le retour à la ligne et la majuscule initiale. Pour déterminer la mesure du vers, on compte le nombre de syllabes prononcées. La syllabe  est constituée d’une suite de phonèmes dont

dire qu'un sonnet, qu'un roman d'apprentissage, ou que la poésie lyrique sont des genres. Mais évidemment on fait allusion dans ces différents cas à des propriétés textuelles très différentes. Le sonnet est une forme fixe dont les caractéristiques métriques sont strictement codifiées. En revanche son contenu est assez indifférent à son genre. C'est exactement le contraire pour le roman d'apprentissage, qui ne constitue un genre que par son contenu vague (impliquant un héros ou une héroïne jeune et inexpérimentée

choisissent l'apologue, un court récit chargé d’illustrer une thèse explicite. Ce qui est exactement la définition d’une fable qui veut instruire et plaire, en illustrant une leçon, comme dans la fable de la fontaine: « Le chène et le Roseau » des Fables dans laquel La fontaine fustige un des defaut humain: la vanité, exprimé a travers le Chène, qui va se faire déraciner car il est trop sur de lui. Les poètes utilisent également des poèmes épiques comme le poème « heureux qui comme Ulysse » du recueil

Rome, 1558), Baillif, Jodelle.. D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ; D’Aubigné (Les Tragiques, 1616) ; Corneille (L’Illusion Comique,1636) ;Viau (Œuvres poétiques,1621) Corneille (Le Cid,1637), Racine(Andromaque,1667), Molière (L’Avare,1668), La Fontaine (Fables, 1668-1693), La Bruyère (Les Caractères,1688)  l’exaltation du sentiment amoureux  la fuite du temps et la mélancolie  la beauté féminine, reflet de la splendeur de l’univers  l’immortalité de la poésie  l’illusion et l’instabilité, les

question rhétorique qui suit le disculpe en ce qu’elle est hors-sujet : Que m’avaient-ils fait ? Nulle offense. Manger n’est pas défendre son honneur…Le comble est atteint avec l’alexandrin suivi d’un rejet de trois syllabes (loin des règles de la métrique classique) : Même il m’est arrivé quelquefois de manger Le berger. La tournure impersonnelle il m’est arrivé disculpe le Lion : elle équivaut au latin « accidit » : ce qui survient (en français, un accident). Ainsi, ce n’était pas volontaire ou

genre de la tragédie. Les classiques s'inspirent des auteurs grecs, comme Eschyle, Sophocle ou Euripide et latins comme Sénèque. Au contraire, les auteurs baroques voulaient créer un genre moderne, la tragi-comédie. La Fontaine, lorsqu'il rédige ses fables, choisit également des modèles antiques, comme Esope. 2. Une expression claire, reflet de la raison Pour Boileau, théoricien du classicisme, l'expression est le reflet de la pensée. Il écrit : « ce qui se conçoit bien s'énonce clairement ». il faut

apparaît certes comme une limitation du rôle de l’écrivain, devenu simple passeur, mais elle est aussi paradoxalement un exercice de virtuosité, en particulier pour ce qui est du texte poétique, puisqu’il s’agit de faire épouser à un texte source une métrique et à une langue nouvelles. D’ailleurs, les formes fixes en poésie ne sont-elles pas aussi à ce titre une variété de réécriture ? Se contraindre à écrire un sonnet, c’est emprunter une forme médiévale et renaissante, pour reproduire son rythme et

apparaît certes comme une limitation du rôle de l’écrivain, devenu simple passeur, mais elle est aussi paradoxalement un exercice de virtuosité, en particulier pour ce qui est du texte poétique, puisqu’il s’agit de faire épouser à un texte source une métrique et à une langue nouvelles. D’ailleurs, les formes fixes en poésie ne sont-elles pas aussi à ce titre une variété de réécriture ? Se contraindre à écrire un sonnet, c’est emprunter une forme médiévale et renaissante, pour reproduire son rythme et