Narcissisme

Philosophie: L’humilité. Intro: Le terme humilité vient du mot humus, qui en est la source étymologique, et qui a donné par ailleurs le terme homme. Cela signifie que l’humilité consiste, pour l’homme, à se rappeler qu’il est poussière. Cela semble indiquer aussi que l’humilité est une attitude proprement humaine. Selon Spinoza « l’humilité a lieu lorsque quelqu’un, sans aller jusqu’au mépris de soi-même, connaît sa propre imperfection; cette passion ne s’étend pas non plus au-delà de nous

psychopathies : développement en commun avec la névrose mais le complexe d'œdipe n'a pas suffisamment été résolu L'angoisse de séparation et de perte d’objet  Pour elle, au départ de la vie, il n'y a pas d'indifférenciation moi-objet comme pour Freud (narcissisme primaire), car selon Mélanie Klein la perception du moi et celle de l'objet existent depuis la naissance,et l'angoisse est une réponse directe au travail interne de la pulsion de mort.  Cette angoisse prend deux formes d'après elle : une angoisse

Analyse du délire « Cette mère inassouvie, insatisfaite, autour de laquelle se construit toute la montée de l'enfant dans le chemin du narcissisme, c'est quelqu'un de réel, elle est là, et comme tous les êtres inassouvis, elle cherche ce qu'elle va dévorer, quaerens quem devoret... » Jacques Lacan - Le séminaire livre IV « Tel Dante prenant la main de Virgile pour s'avancer dans les cercles de l'Enfer, Lacan prenait celle de James Joyce, l'illisible Irlandais, et, à la suite de ce fluet

que repère spatial (+ 10 à 15cm par an) • Corps = fierté ou sentiment de culpabilité • Notion de narcissisme : ado conforte son image en passant des heures devant le miroir • Corps = sentiment d’identité Quête d’identité → qui suis-je ? Travail de deuil Deuil de l’enfance : quitter le cocon dans lequel on vivait / se détacher des parents Narcissisme et l’idéal du moi : inflation du narcissisme = toute puissance Ado pense qu’il peut être le meilleur mais quand il est confronté à la réalité

remarquer » R. (17 ans, lycéenne) « La frime, c'est un fantasme de richesse, un complexe d'infériorité » P. (20 ans, étudiante) Fierté, narcissisme « Frimer, c'est se sentir supérieur aux autres » T. (16 ans, lycéen) « Frimer pour montrer que l'on a réussi » A.(40 ans, fonctionnaire) Cette notion de frime rapporte au narcissisme, en effet, le narcissisme est le fait d'être amoureux de soi-même, ce qui peut nous rapporter à l’orgueil qui lui est le fait de tomber amoureux de l’image que

empruntés aux conduites alimentaires renvoient à la période du stade oral. Narcissisme : l'alcoolique a un narcissisme fragile, blessé. L'alcool, par l'effet euphorisant qu'il procure, va tenter de combler cette faille. A jeun, l'alcoolique satisfait à l'idéal du moi, et saoul au Moi idéal. L'idéal du Moi est une représentation de l'image parentale à laquelle le sujet cherche à ressembler. Sous alcool, il retrouve le narcissisme de toute-puissance infantile (le Moi idéal est la période la plus précoce

d’une mère portante qui est agrippée par le cramponnement du bébé » = dimension réciproque. Reprend la dynamique du miroir winnicottien qui fonde le narcissisme de la mère & de l’enfant. La mère investie le bébé mais c’est le bébé qui fait mère sa mère. Existence de 4 types d’enfants dans la tête de la mère, qui vont venir se mailler au narcissisme parental pour assurer le développement du Self de l’enfant : 1. Le bébé imaginé = représentation consciente, pré-consciente que la mère à de son

subite, La Fontaine nous présente une morale implicite. En effet, La Fontaine n’exprime pas clairement la leçon à retenir de ce récit, mais nous laisse tout de même plusieurs indices équivoques. Ici, le fabuliste nous présente une réelle critique du narcissisme. Pour y parvenir, il utilise le mythe de Narcisse mais le généralise à l’ensemble des hommes. L’indéfini « un homme » du 1er vers est étendu à l’ensemble de l’humanité. Les pronoms indéfinis « chacun » vers 23 et 28 et « autrui » vers 25 contribuent

la mort. L’expression de Freud, “ l’ombre qui tombe sur le moi ” pour décrire ce qui se passe pour le sujet atteint de mélancolie, montre bien l’étouffement du sujet par son narcissisme : l’objet du sujet mélancolique devient un second moi. Le mélancolique est alors dans l’incapacité à faire le deuil de son narcissisme, à assumer la séparation et à investir dans une autre relation : cela le conduit à la perte de soi. L’état de mélancolie survient souvent après la perte d’un “ être cher ” et l’incapacité

rêve par redoublement ou multiplication du symbole génital. [cf L'interprétation du rêve]. [En Egypte elle motive l'art de modeler l'image du défunt dans une matière durable]. Ces représentations ont poussé sur le terrain illimité de soi, celui du narcissisme primaire, lequel domine la vie psychique de l'enfant comme du primitif; avec le dépassement de cette phase , le signe dont est affecté le double se modifie; d'assurance de survie qu'il était, il devient l'inquiétant avant coureur de la mort.