Narthex

contre la peste. Il associe un carré à un cercle. On ne sait pas si Alberti avait prévu une coupole ou une voute à arrêtes. L’édifice est situé sur un podium. Dans ce podium se trouve une crypte. De nos jours, deux escaliers latéraux font accéder au narthex. Vraisemblablement, Alberti avait prévu un escalier sur l’ensemble de la façade. On voit une façade scandée par des pilastres qui soutiennent un entablement soutenu par un grand fronton, interrompu par un arc, ce qui marque l’indépendance par rapport

Construite sur le plan grec, en croix, elle est surmontée de cinq majestueuses coupoles bulbeuses, couvertes de plomb, dotées de lucarnes ouvertes, selon le principe oriental. Sur le couronnement, le lion, symbole de Venise Elle est précédée d’un narthex imposant (vestibule d’entrée), dont la coupole en mosaïque d’or détaille la création du monde.       Corto devant la Basilique. Fables de Venise, Hugo Pratt, Casterman Ces maisons appartenaient aux propriétaires des "burchielle" barques de louage

parfois double comme à Cluny III, souligna la plan en forme de croix latine, tandis que la nef (partie qui s’étend du Chœur à la façade principale), simple ou triple, s’ouvrait parfois par un petit sanctuaire, clocher-porche (Saint-Benoît-sur-Loire) ou narthex (vestibule à l’entrée) (Vézelay). La voûte fut la conquête décisive : voûtes en berceau élevées sur des cintres (faits d’un blocage de moellons et de mortier, massives et lourdes), soutenues par des arcs doubleaux (jetés de travée en travée et reposant

important est sans doute l'église de São Pedro de Lourosa, située près d'Oliveira do Hospital, qui porte gravée l'inscription de 912 comme année de sa construction. Cette église est une basilique avec trois nefs séparées par des arcs outrepassés, un narthex en façade et des fenêtres à meneaux et à arc outrepassé d'influence asturienne sur l'aile centrale. Période mauresque[modifier] Vue de Silves et son château mauresque. La conquête de la péninsule Ibérique par les Maures venus du Maghreb en

moines. Au milieu toujours une fontaine et partout des fleurs (pour attirer la vermine loin des légumes). * Exemple typique de l’architecture romane : Saint-Benoît sur Loire (Bourgogne) : assemblages de volumes géométriques, massif, trois nefs, narthex, clocher qui dissimule une coupole au milieu d’un transept, crypte, etc. NB : Il n’y avait pas de plans d’architecte à l’époque, ils construisaient au fur et à mesure et parfois changeaient de style au milieu (d’un côté voûtes en berceau, d’un autre

désespoir eût raison de toute confiance en la Sainte Providence. Puisque Dieu lui-même semblait ne pas vouloir protéger sa demeure, pour¬quoi les hommes s'obstinent-ils à la réédifier?" A la suite de cet incendie, seules les parties voûtées, cryptes et narthex furent protégées. Restèrent intactes aussi les deux clochers et la façade occidentale, le Portail Royal avec ses verrières. A la Révolution, le mobilier fut brisé, le trésor fondu, bien des motifs mutilés, nais, heureusement, sculptures et vitraux

une voûte d’arêtes, mais peut-être qu’Alberti l’avait conçu pour une coupole. Plan centré inspiré des édifices paléochrétiens, construits pour les martyrs : ce sont des martyria (un martyrium¸ desmartyria). Cet édifice est précédé par une sorte de narthex. Façade qui se rapproche de l’Antiquité : scandée par des pilastres, surmontées d’un entablement et d’un fronton. Influence du temple antique, mais qui n’a pas de colonnes : insistance sur le mur. Le fronton est interrompu, au RDC (*), série d’ouvertures

dressées de Stonehenge (4000 ans avant notre ère) sont disposées par rapport aux cycles astronomiques. Dans les cathédrales et églises, le chevet est orienté à l’est et le portail à l’ouest, invitant les fidèles à se diriger vers la lumière divine. Le narthex, en revers de façade, constitue alors une sorte de transition entre les deux mondes. Par leurs caractéristiques constructives, les cathédrales gothiques gagnent en verticalité, élévation et clarté, jusqu’au gothique flamboyant où les vides l’emportent

mêler au latin quelques mots de langue vulgaire. Le succès est considérable. Bientôt, la langue « vernaculaire » (populaire) s’impose partout. Et, en France, le vers (souvent l’octosyllabe) rimé ou assonance. Bientôt le drame s’avance jusqu’au « Narthex » (vestibule « ouvert », porche de l’église), le public se groupant sur le parvis. Les prêtres interprètent les rôles féminins. Certains portent la barbe, mais personne ne songe à rire. Le public médiéval, comme les enfants qui jouent, fera toujours

quelque poète employant des figures de style : Le taureau est père du dra- gon^ et le dragon père du taureau; sur la montagne est Vaiguillon secret gardien des bœufs. L'aiguillon gardien des bœufs, il en fait, je pense, quelque chose comme le narthex que les Bacchants font tourner comme un câble ^ (?) Veux-tu que je te raconte la cueil- lette des fleurs par Phéréphatta et le calathos et l'enlèvement par Aïdonée? » (Clément d'Alexandrie, Protrept., II, dans la Patr. gr., t. 8, p. 76). Le