Nazisme Et Fascisme Au 20ème Siecle

à organiser une coexistence pacifique entre les pouvoirs et la liberté. Il est l’expression de cette liberté. Note : Historiquement le mot « constitution » dans son sens contemporain est apparu au 18° siècle en Europe. Il y a d’abord eu une propagation jusqu’aux Etats-Unis puis au 20° siècle il y eut une généralisation par vagues successives de décolonisation. L’Europe est le berceau de la constitution en particulier l’Angleterre qui fut le premier pays à mettre en place une institution parlementaire

Suisse à toujours été présente dans leur développement. En effet, on peut voir que la configuration montagnarde a été utilisée et maîtrisée par les suisses au fil des siècles, leur apportant d’une part, un rôle important de muraille protectrice, en permettant aux peuples résidents de se protéger autant des attaques romaines au 2ème siècle avant J.C, que des attaques nazies durant la seconde guerre mondiale. Cela a ainsi donné aux suisses une mentalité de résistant et un besoin de se protéger du monde

de livres à retenir de B. Moore est les origines sociales de la dictature et de la démocratie. Perry Anderson : il travaille sur cette forme particulière (toujours dans la sociologie historique de l’Etat) que prend le pouvoir politique au 16-17e siècle et qui est l’Etat absolutiste. Son livre : l’Etat absolutiste, 1978. Condition d’apparition ou non apparition de l’Etat absolutiste. Charles Tilly : s’interroge sur la genèse de l’Etat-nation, notamment dans «La Vendée. Révolution et contre révolution»

germano-soviétique) est passée sous silence. Jusqu’en juin 1941, le parti derrière Jacques Duclos condamne Vichy mais ne préconise pas la lutte contre l’occupant. Avec l’invasion de l’URSS par la Wehrmacht, le PCF prend un nouveau tournant : la lutte contre le nazisme. Le PCF se forge l’image d’un parti martyr en s‘intitulant « le parti des 75 000 fusillés » alors que le total des français fusillés par les allemands ne dépasse pas 30 000. Cependant, grand prestige sur le plan politique, première formation politique

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constitutionnelles, on part du plus général pour aller au plus spécifique. II. Le droit constitutionnel Le droit constitutionnel est une discipline jeune, dans la mesure où il naît le même jour que les constitutions qui naissent à la fin du 18e siècle. Pour la première fois, volontairement, on décide que pour créer un Etat il faut rédiger un texte où on va fixer les règles d’organisation de l’Etat. C’est l’acte de naissance de l’Etat moderne. C’est la période du constitutionnalisme, période pendant

porter l'attention sur le présent, lui accorder une surcroit de valeur. Ce moment illustre assez bien la modernité en tant que rupture avec l'ancien (position d'Hamlet) et un appel à la nouveauté: idée de Perrot que la nouveauté est un siècle de Louis par rapport au siècle d'Auguste. Cela coïncide bien avec une dynamique de l'occident « comprendre d'un côté, dominer de l'autre ». Cette attitude de compréhension, cette recherche de domination (politique, mais aussi sur la nature...), ce sont deux impulsions

droit mais en même temps on peut attaquer l’état et il devient sujet. Ce droit public apparaît avec la naissance de l’état suite à sa reconstitution par la royauté vers le 16eme siècle. L’état dispose d’une autorité et donc il a besoin d’un droit spéciale. L’autonomie de cette discipline s’affirme vers le 19eme siècles, on est face a un état efficace, organisé donc l’état s’affirme d’avantage et ce qui va fonder l’action de l’état c’est qu’il poursuit, il vise a satisfaire l’intérêt général, l’intérêt

encadraient les corps de métiers, visant à réglementer l’accès aux professions artisanales, réglementer les conditions de travail et de production (qualité). Structuré par les différentes provinces, détentrices de privilèges, tout particulièrement au 18° siècle, cette structure sociale a été de plus en plus critiquée, car perçue comme un encadrement excessif des individus. Cette structure de société porte atteinte aux libertés et est également source d’inégalités de naissance perçue bientôt comme insupportable

autrement dit à la politique. En effet le problème de Machiavel n'était plus de trouver la meilleure forme de gouvernement, mais de trouver des solutions à l'instabilité et au désordre politique qui régnait dans les cités italiennes aux 15 ème et 16 ème siècles. C'est dans cet objectif qu'il rédige Le Prince, ouvrage rédigé en 1513 dans lequel il développe l'idée que la politique renvoie à l'attitude que doit avoir le prince pour garder le pouvoir et assurer la stabilité de l'état. L'amoralisme de ce dernier