Néant

Jean-Paul Sartre est né à Paris en 1905 et mort en 1980. C'est un philosophe et écrivain français, il a élaboré une théorie sur le rapport de l'homme à sa liberté. Dans cet extrait de L’Être et le Néant publié en 1943, Sartre parle des choix que les hommes doivent faire dans la vie à travers l'exemple de la guerre. Il explique dans sa thèse qu'il faut assumer la responsabilité des ses actions et que « on a la guerre qu'on mérite ». Le texte commence par une introduction qui est la première phrase

misère de la condition humaine. Et cette théorie peut-être résumée en une seule pensée : « Rien n’est si insupportable à l’homme que d’être dans un plein repos, sans passions, sans affaire, sans divertissement, sans application. Il sent alors son néant, son abandon, son insuffisance, sa dépendance, son impuissance, son vide. Incontinent il sortira du fond de son âme l’ennui, la noirceur, la tristesse, le chagrin, le dépit, le désespoir. ». L’homme ne cesse de s’agiter et de courir, de vivre

son but et sa dignité, pourquoi, pourquoi existe t-il? Comment peut-il exister si son sens n'est plus que néant obscur? Pourtant, il est là, le fait est qu'il subsiste, qu'il persiste à vivre, il vit. Cette constatation est intéressante dans le sens où il nous fait réfléchir au sens de chaque chose, et à la raison d'être de tout objet ou être vivant. Qu'apporte ton topic au monde, à part du néant? L'existence même de ton topic ne représente rien. Ton topic n'est rien, il n'est que chaos froid, désolation

cette impossible vie. Lorsqu’ Hamm parle du dehors, le néant est omniprésent, la mort ,le vide aussi. « Hors d’ici, c’est la mort. » On ne peut être plus explicit. La nature aussi est évoquée, par Clov cette fois ci, et le bilan n’est pas plus positif : « Il n’y a plus de nature. » Quant à l’espace scénique, qui s’oppose au-dehors, il a deux aspects contradictoires. Le premier serait de le voir comme un refuge face au dehors où règne le néant. En effet lorsque Hamm dit qu’ « Hors d’ici, c’est la

phénomène de gradation croissante - par exemple "on naît, on grandit, on est heureux, on attend et puis on meurt" - sont à l’image de son angoisse. b) Le "neant illimite" Il n’existe nulle solution face à la mort, et elle est d’autant plus terrible et inéluctable chez lui qu’elle est exempte de caractère mystique ou religieux. Elle est ce "néant illimité"(ne pas etre, ne pas exister) que rien ne peut arrêter, elle est totale, universelle. c)Le particulier vers le general Au fil du passage : nous

Blaise Pascal montre que – en etudiant le ciron – l’homme fait exeperience d’une mise en abime qui l’emmene à retrouver un ciron dans le ciron, et ceci est une metaphore pour montre le caracter infini du neant. Devant le nature l’homme est “un néant à l’egard de l’infini, un tout à l’égard du néant“. Cela est un chiasme et un parallelisme qui renforcent l’idée de l’homme placé au milieu de deux extremes de l’univers. Cette conception de l’infiniment grand et de l’infiniment petit est presentée à

1/ Quelle est la thèse défendue par l'auteur ? Le sujet est un néant : ce qui ne veut pas dire qu'il n'est rien, mais qu'il a la possibilité de tout devenir. Il est donc condamné à être libre, mais la plupart du temps, il cherche à s'en échapper face à l'angoisse de cette liberté. C'est ainsi que le garçon de café devient garçon de café : à travers le mode d'être que Sartre appelle "mauvaise foi". Dans la mauvaise foi, nous sommes ce que nous ne sommes pas réellement : c'est un écart entre

crée lui-même son propre espace » Si l’espace se crée avec l’univers, l’univers crée lui-même son propre espace. Définissez NEANT- VIDE – ESPACE NEANT : concept d’absence absolue ou de nullité absolue. Lié à la non existence de quoique ce soit. L’univers est issu de néant. Celui-ci se situe donc avant les origines de l’univers. Il ne faut pas confondre néant et vide qui sont deux notions différentes. La seconde est relative à la notion d'espace. VIDE : Absence de matière dans une zone

Sartre, L’être et le néant Ma mort Jean-Paul Sartre L’être et le néant Quatrième partie AVOIR, FAIRE ET ÊTRE Chapitre premier Être et faire : la liberté II.— Liberté et facticité : La Situation E) Ma mort [p. 615] Après que la mort ait paru l’inhumain par excellence puisque c’était ce qu’il y a de l’autre côté du « mur », on s’est avisé tout à coup de la considérer d’un tout autre point de vue, c’est-à-dire comme un événement de la vie humaine. Ce changement s’explique fort bien : la mort

Toutes ses parties du corps et tous ses sens sans cesse placé sous le signe de la disparition mots positifs de cette strophe ont une connotation négative forte présence de l’obscurité (v.3) accumulation de négation rapport avec le KO, le néant seule sensation qui persiste le froid (v.21) celui de la mort absence de ponctuation + raccourcissement des vers (1ère et 3ème strophe) l’épuisement et la disparition de tout ; de lui et donc de sa vie II.c) négation restrictive « rien