Nef

intervenu dans des monuments religieux l’artiste accepte et termine le projet deux jours avant sa mort. L’installation sera réalisée le jour du premier anniversaire de sa mort. Les tubes de couleurs redessinent totalement l’espace : la voute de la nef s’illumine d’un bleu intense qui se dégrade sur les nefs latérales. Une lumière rouge inonde le transept tandis que l’abside et l’autel rayonnent d’or. Les jeux de lumières évoquent les motifs des mosaïques byzantines et l’éclat des couleurs rappelle

conçue en 1902 par l'architecte Jules-Godefroy Astruc. Séduit par les nouvelles techniques de la tour de Mr Eiffel, il réalisa une structure métallique, avant tout pour des raisons économiques. L'édifice est constitué de trois nefs métalliques, la nef centrale, les nefs latérales et le chœur sont couverts de voûtes de ce même matériau et sont, totalement apparentes. Malgré que cette charpente soit peu conforme au caractère d'une église, elle donne une véritable impression de légèreté et offre un

colonnes ne possèdent pas de cannelure et sont taillées dans le granite. Le granite gris utilisé pour la colonne contraste magnifiquement avec leur chapiteau et leur base, tous deux en marbre blanc. La colonnade ainsi disposée délimite trois nefs, la nef centrale conduit à la porte du temple, les deux nefs latérales donnent sur deux niches en demi cercle qui devaient abriter les statues d'Auguste et d'Agrippa.. Le Portique comporte 16 colonnes monolithiques en granit. Sur le tympan est gravé un bas-relief

recueillement ou son oppression. Mais l’habitation confère à l’architecture une propriété beaucoup plus singulière : d’être plurispatiale. La chose est évidente pour les édifices complexes : l’englobement qui m’accueille dans le narthex me dilate dans la nef et m’apaise dans le bas-côté. Or ceci reste vrai quand le bâtiment réalise un enveloppement simple : même si l’on supprimait le chœur de la Chapelle des Pazzi à Florence, son espace ne serait pas le même pour qui se tiendrait en son milieu, se réfugierait

d'ombre qui semblait, comme une voile tombant d'un mât, déferler des cintres. Deux maigres cierges, perchés au tournant de deux piliers de la nef, assez éloignés l'un de l'autre, et la lampe du sanctuaire, piquant sa petite étoile immobile dans le noir du chœur, plus profond que tout ce qui était noir à l'entour, faisaient ramper sur les ténèbres qui noyaient la nef et les bas-côtés, une lueur fantômale plutôt qu'une lumière. A cette filtration de clarté incertaine, il était possible de se voir douteusement

flanquaient les deux petites nefs et soutenaient ce vaisseau, n'y répandaient aucune lumière. Ces fortes murailles présentaient à l'extérieur l'aspect de leurs masses grisâtres, appuyées, de distance en distance, sur d'énormes contreforts. La grande nef et ses deux petites galeries latérales étaient donc uniquement éclairées par la rose à vitraux coloriés, attachée avec un art miraculeux au-dessus du portail, dont l'exposition favorable avait permis le luxe des dentelles de pierre et des beautés particulières

flanquaient les deux petites nefs et soutenaient ce vaisseau, n’y répandaient aucune lumière. Ces fortes murailles présentaient à l’extérieur l’aspect de leurs masses grisâtres, appuyées, de distance en distance, sur d’énormes contreforts. La grande nef et ses deux petites galeries latérales étaient donc uniquement éclairées par la rose à vitraux coloriés, attachée avec un art miraculeux au-dessus du portail, dont l’exposition favorable avait permis le luxe des dentelles de pierre et des beautés particulières

flanquaient les deux petites nefs et soutenaient ce vaisseau, n'y répandaient aucune lumière. Ces fortes murailles présentaient à l'extérieur l'aspect de leurs masses grisâtres, appuyées, de 5 distance en distance, sur d'énormes contreforts. La grande nef et ses deux petites galeries latérales étaient donc uniquement éclairées par la rose à vitraux coloriés, attachée avec un art miraculeux au-dessus du portail, dont l'exposition favorable avait permis le luxe des dentelles de pierre et des beautés particulières

treize. 2. La duchesse de Langeais et soutenaient ce vaisseau, n'y répandaient aucune lumière. Ces fortes murailles présentaient à l'extérieur l'aspect de leurs masses grisâtres, appuyées, de distance en distance, sur d'énormes contreforts. La grande nef et ses deux petites galeries latérales étaient donc uniquement éclairées par la rose à vitraux coloriés, attachée avec un art miraculeux au−dessus du portail, dont l'exposition favorable avait permis le luxe des dentelles de pierre et des beautés particulières

flanquaient les deux petites nefs et soutenaient ce vaisseau, n’y répandaient aucune lumière. Ces fortes murailles présentaient à l’extérieur l’aspect de leurs masses grisâtres, appuyées, de distance en distance, sur d’énormes contreforts. La grande nef et ses deux petites galeries latérales étaient donc uniquement éclairées par la rose à vitraux coloriés, attachée avec un art miraculeux au-dessus du portail, dont l’exposition favorable avait permis le luxe des dentelles de pierre et des beautés particulières