Négation logique

hypothétique : deuxième paragraphe, 1ère partie. Enfin l'auteur évoque une hypothèse, il utilise le temps du conditionnel (Verrait l.12 / Marqueraient l.12 / Saisiraient l.14) ainsi que l'emploi de « si » (l.11) et il renforce le tout par des négations pour insister et marquer plus facilement le lecteur en niant des actions négatives. Cette situation hypothétique est idéale voire utopique et est centrée autour de la « raison » des hommes (maître-mot des Lumières). II. Le blâme de la Guerre :

s’appuie sur un vocabulaire objectif, l’absence de réaction du nègre: aucune contestation sur le fait qu’il y ait des catégories d’humains. La neutralité ce base aussi sur la priorité de la logique sur les sentiments:”C’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe” (ligne 31), c’est un raisonnement logique, il n’y a pas d’émotions, c’est juste une constatation des faits. Le nègre parait passif et peu concerné par son destin, c’est le décalage que Voltaire utilise lorsqu’il nous présente des faits

sujet est posé sous forme de question, le problème ne se confond pas avec la question. On ne peut donc reprendre la question en guise de problème. Ainsi, le sujet penser, est-ce dire non ?, conduit après analyse, au problème suivant : Le pouvoir de négation est-il un obstacle ou la condition d'une pensée authentiquement libre ? Notez qu'il ne faut poser qu'un seul problème, même si, comme c'est souvent le cas, plusieurs problèmes sont envisageables. Enfin, en raison de l'exigence précédente, il faut

l'Homme, selon l'énonciateur. Il s'effectue grâce à une énumération (lignes 2 à 5 « je ne sais […] le reste ») qui fait usage de virgules et points-virgules, d'une anaphore « que » et la répétition « ni ». On remarque aussi un usage fréquent de la négation, qui connote donc négativement le texte. Ces deux éléments incitent à faire penser au lecteur que l'homme ne possède aucune connaissance et qu'il est perdu (« je suis dans une ignorance terrible de toutes choses » l.2). Le second paragraphe de

LA DÉMONSTRATION La démonstration est un raisonnement nécessaire. Problématiques : • La démonstration s'appuie sur des prémisses (point de départ d'une démonstration). On fait des déductions, des inférences (des liens, étapes logiques) et on abouti à une conclusion. Le but de la démonstration est d'établir avec certitude que la conclusion non seulement est vraie mais est aussi fondée (on sait pourquoi elle est vrai) par le raisonnement. >> Comment savoir que les prémices sont vrais

impose au plus libéré des athées des devoirs qu'il ne sait pas éviter... Je suis tout aise, pour ma part, d'avoir, à côté de mon athéisme logique une conscience morale résultant d'une quantité d'erreurs ancestrales, et qui me dicte ma conduite dans des cas où ma raison me laisserait noyer. » • L'athéisme théorique. — Il consiste, semble-t-il, en la négation explicite de Dieu, au refus de reconnaître tout principe d'unité, transcendant ou immanent à l'univers empirique. — La difficulté, lorsqu'on

que l'on pense afin d'amener le lecteur à se poser des questions. Il a pour but de critiquer ou de dénoncer certaines pratiques, en recourant à l'antiphrase. - L'absurde : propos déroutants par leur absence de logique et où la relation entre cause à effet est défectueuse. - Le registre polémique : expression d'échange d'opinions contradictoires. - Le registre oratoire: expression entraînant l'adhésion du lecteur et qui

le second état : PN = F {S1 — (S2 n O)} (PN conjonctif) ou PN = F {S1 — (S2 U O)} (PN disjonctif). Une structure de PN est constituée d’au moins deux PN dont on rend compte d’au moins une relation temporelle (succession, simultanéité) ou logique (présupposition, exclusion mutuelle, etc.) instaurée entre eux. Dans un second temps, J. Courtés a examiné quelques-unes des possibilités de complexification de l’organisation narrative élémentaire, en tenant compte des deux axes syntagmatique et

“pensée” ? et que signifie “complet” ? Ce sont là les domaines de la psychologie et de la logique, non de la linguistique ! Et, comme on l’a vu un même sens peut s’exprimer par une seule phrase ou par deux : « je suis malade..) 2. critère “mélodique” : la phr. serait une unité mélodique entre deux pauses ( mais les arrêts ? les hésitations ? les silences ?) 3. critère “logique” : sur le modèle de la Logique d’Aristote, la phrase serait l’union d’un sujet (ce dont on dit quelque chose) et d’un prédicat

second temps nous verrons que l'auteur nous met en garde contre l'imagination. I- La raison A- La distinction corps/ esprit *la répétition du mot «âme» l10-19 âme< animus=esprit esprit=raison être capable de prendre des raisons *l23: lien logique d'opposition «tandis que» --> montre les caractéristiques de l'esprit et du corps en les séparant *c.l de la vérité l8-9 --> pour être heureux il faut être lucide l10 «  la rectitude et la fixité du jugement » l28 « jugement droit » B-Les voluptés