Neologisme Ponge

langue française, publié en avril 1549 par Joachim Du Bellay, comme le manifeste des idées de la Pléiade. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue et la littérature française par des emprunts, la fabrication de néologismes (création de nouveaux mots), le rappel de mots disparus, et plus globalement enrichir la culture française par la redécouverte de la culture antique, de ses arts et de son savoir. Les membres de la Pléiade entrent ainsi dans une logique de rupture

l’objet poétique devrait être laid, il exposa ainsi son point de vue dans la  Préface de Mademoiselle de Maupin : « Tout ce qui est utile est laid. ». Lamartine pour sa part avait un avis bien différent : « La poésie est l'émotion par le beau. ». Et Ponge conciliant les deux dit : « N'importe quel objet du monde est apte à constituer pour quiconque une base de fascination et d'illumination ». Ainsi il n’y a pas d’objet poétique privilégié, qu’il soit repoussant ou attirant, le poète arrivera toujours

Apollinaire réactualise le calligramme, crée des néologismes, privilégie le motif du quotidien, la banalité en poésie, mélange les genres dans un même poème comme dans « Adieu ».  Les surréalistes, quant à eux, inventent l’écriture automatique, les mots-valises. Les Oulipiens réactualisent le lipogramme, créent de nouvelles contraintes poétiques comme le cadavre exquis.  Dans Le Parti pris des choses , Francis Ponge rend hommage aux objets. GCM slame en mélangeant

poétique serait donc réservé aux être sensibles. Mallarmé a choisi dans son poème d'utiliser par exemple des mots rares: "Sur les crédences, au salon vide: nul ptyx,/ Aboli bibelot d'inanité sonore...". Il en est de même pour René Char, ou Francis Ponge, qui reconnaissaient que certains pans de leurs poèmes ne pouvaient être compris. Proust parle également, dans Sodome et Gomorrhe "des poèmes admirables mais obscurs de Saint-Léger Léger". Le poème peut donc être obscur et diffcile à comprendre; sa

quotidienne qu’il peint parfois de façon très réaliste. Il trouve ses sujets dans les objets, les choses de la vie même et dans les lieux coutumiers qui émaillent notre existence. Après le surréalisme qui dédaigne le réel dans sa forme immédiate, Ponge revient dans Le Parti pris des choses aux réalités les plus usuelles : le pain, le cageot… Dans « Fenêtres ouvertes », Hugo rend compte des bruits de la vie quotidienne qu’il perçoit de sa chambre. Cadou consacre un poème à « La maison du poète ».

correction de la langue, c’est-à-dire à votre orthographe, à la syntaxe, ainsi qu’à l’utilisation correcte des signes de ponctuation. - Attention à recourir à un niveau de langue approprié, ainsi qu’à un vocabulaire précis, sans impropriétés ni néologismes. - Attention à l’utilisation précise des termes littéraires techniques. - Veillez à ce que votre commentaire réponde bien à la problématique. - N’hésitez pas, dans le cours de votre développement, à rappeler régulièrement la problématique

n'entends pas tu rêves la main sur le poème que tu viens d'écrire)". Raymond Queneau exprime l'art du poète et sa difficulté de manière humoristique en présentant le poème comme un petit animal à attraper et en jouant sur des mots, en créant des néologismes ludiques; "viens ici que je t'enpapouète/ et que je t'enrythme/ et que je t'enlyre/ et que je t'enpégase/ et que je t' enverse / et que je t'enprose.// la vache / il a foutu le camp". Les poètes sont dès lors ceux qui grâce au pouvoir de leur imagination

Paris, Rimbaud, Les Illuminations ; Gustave Kahn écrit le premier recueil en vers libres. La poésie décadente - thèmes : dégoût de la réalité banale, recherche exacerbée de sensations rares - formes : désarticulation du vers et de la syntaxe, néologismes, mélange du trivial et du raffiné XXe siècle Le poète assume son statut marginal et réussit à le concilier avec une vie ordinaire ; il travaille avec d’autres artistes (peintres, musiciens…) Chaque poète est libre de créer comme il veut Le

détail. Idée que l'invention doit dominer et les actions s'enchaîner sans trop s'attarder, le passage plutôt que la pause. Idée classique que l'écriture suit la pensée. Barbarisme/solécisme : néologisme par faute de langue / faute de syntaxe. Refus de l'époque classique des mots nouveaux, des néologismes. « Ajoutez quelquefois [...] » : plus de ratures que d'additions, // avec la critique génétique des écrivains qui est une réflexion sur les ratures (« lis tes ratures »). Du Marsais, Traité

paroles de Verlaine ou les Calligrammes d’Apollinaire ; – pour la Séquence 4 enfin : le choix est très vaste. En cohérence avec les textes du manuel, on pourrait donner la préférence à Éloges ou Vents de Saint-John Perse, au Parti pris des choses de Ponge ou, en Première L, à un recueil de Char ou de Michaux. 2. Le travail en séquences Comment organiser, dans le respect de ce programme et en disposant de la matière anthologique du manuel, le travail en séquences ? Dans les recommandations qui suivent