Neuropathie périphérique

radiographie. Les organes sont étudiés dans les trois plans corporels, on obtient des coupes axiales mais aussi des coupes sagittales et coronales. Le logiciel peut reconstituer des images en 3D. II/ Etude du système nerveux 2.1. Le système nerveux périphérique est constitué de 12 paires de nerfs crâniens et 31 paires de nerfs rachidiens. Le système nerveux central est constitué de l'encéphale situé dans la boîte crânienne et de la moelle épinière située dans le canal rachidien. 2.2. La communication

environnemental. Les décollages et les atterrissages d'avions, la circulation à proximité de Roissy-CDG sont source de pollutions. Selon Airparif, qui surveille la qualité de l'air en Ile-de-France, l'aéroport polluerait autant que le boulevard périphérique de Paris, axe routier le plus fréquenté du pays. Les nuisances sont enfin sonores et nécessitent pour les particuliers habitant à proximité des pistes de lourds investissements pour l'insonorisation de leurs logements. La qualité de vie s'en trouve

du corps. La moelle épinière réagit également à certaines stimulations externes par réflexe médullaire. Chapitre 2 - Biologie et psychologie Introduction à la psychologie © Groupe Modulo inc., 2011 15 + Le système nerveux périphérique Le système nerveux périphérique est composé des nerfs, c’est-à-dire des axones des neurones sensoriels (afférents) et des axones des neurones moteurs (efférents). Chapitre 2 - Biologie et psychologie Introduction à la psychologie © Groupe Modulo inc., 2011

saturées (A1 et A3, trajet de ½ heure à 2 heures…) d’où création ligne de métro qui relie à Paris est à l’étude.  2) Environnement avec pollution liée aux décollages et atterrissages + circulation voitures (l’aéroport = pollution du boulevard périphérique de Paris, axe routier le plus fréquenté) + nuisances sonores d’où lourds investissements pour l'insonorisation des particuliers à proximité + qualité de vie altérée  collectifs s'organisent pour réclamer une règlementation des flux soucieuse des

Hypoglycémie : glycémie mesurée ˂ glycémie normale Hyperglycémie : glycémie mesurée ˃ glycémie normale Neuropathie diabétique : dommage aux nerfs du système nerveux périphériques causés par l’hyperglycémie (souvent les membres), perte de sensibilité Rétinopathie diabétique la maladie la plus associé au diabète Perte d’acuité visuelle, sensibilité a l’éblouissement PD avec neuropathie donne une difficulté à identifier des changements de terrains, de textures, difficulté à fléchir le pied

douleurs neuropathiques traduisent un dysfonctionnement des nerfs périphériques ou du système nerveux central, les douleurs idiopathiques se manifestent en l’absence d’atteinte organique connue, ou de façon disproportionnée par rapport à cette dernière (Lebovitz, 1989 ; O’Neill, 1993 ; Rozenbaum, 1993 ; Singer, 1993). Tableau 1. Syndromes douloureux couramment observés au cours du SIDA/VIH s s s s s DOULEUR ABDOMINALE NEUROPATHIE PÉRIPHÉRIQUE DOULEUR LARYNGÉE CÉPHALÉES LIÉES AU VIH CÉPHALÉES NON LIÉES

symétrie : les parties droite et gauche de la VOS sont symétriques par rapport au plan médian. La fasciculation : un certain nombre de faisceaux se retrouvent tout au long de la VOS, ce qui permet de distinguer des faisceaux maculaires, des faisceaux périphériques moyens et le faisceau de la demi-lune. L’organisation avec le passage à partir de la décussation chiasmatique d’une organisation monoculaire à un nerf hémiopique par conjugaison et non fusion des 1 Représentation schématique des voies optiques

LA MALADIE DE PARKINSON INTRODUCTION La maladie de Parkinson est la plus fréquente des neuropathies dégénératives. Elle est d'installation progressive. EPIDEMIOLOGIE A. Age: Généralement entre 55 et 60 ans. B. Sexe – Race: Touche toutes les races et les 2 sexes sans distinction. C. Etiologie: Inconnue. ANATOMIE PATHOLOGIQUE La lésion fondamentale est la perte des neurones pigmentés dopaminergiques, responsable de l'effondrement du taux cérébral en Dopamine. DIAGNOSTIC CLINIQUE A. Phase

muqueuse digestive, la moelle osseuse, et le système nerveux. Expliquant les anomalies hématologiques, les troubles digestifs et neurologiques habituellement rencontrés. Le syndrome de sclérose combinée de la moelle SCM (très évocateur) et la neuropathie périphérique en particulier sensitive sont de loinles troubles neurologiques classiques de cette carence vitaminique, d’autres sont plus rares comme les atteintes cognitives ou les troubles dysautonomiques. Les causes de la carence en vitamine B12 sont

transthyrétine ou ATTR (tableau II). Deux signes cliniques sont très évocateurs d’amylose, bien que non pathognomoniques : le purpura facial « en lunettes » et la macroglossie. D’autres sont assez évocateurs : le syndrome du canal carpien et la neuropathie végétative. L’association d’au moins deux de ces quatre signes est probablement beaucoup plus spécifique. En fait, l’amylose est une affection polysystémique et peut donc quasiment toucher tous les organes. Les signes rénaux sont les plus fréquents