Nietzsche Crepuscule Des Idoles

ni fausseté mais un jugement erroné sur la réalité …Si oui alors la liberté= simple croyance. Quid de son mécanisme ? 2.Oui la liberté n’est qu’une illusion mais nécessaire : Nietzsche : «  De quelle volonté procède l’affirmation du libre-arbitre ou encore d’une libre-volonté ? », Texte, Le crépuscule des idoles, § 7 : « Erreur du libre arbitre. — Il ne nous reste aujourd’hui plus aucune espèce de compassion avec l’idée du « libre arbitre » : nous savons trop bien ce que c’est — le tour de

représentations du monde différentes. Nietzsche, par exemple, en considérant la vie comme volonté de puissance, force à la fois destructrice et créatrice qui meut sans but, déloge la vérité de tout lieu. Nietzsche ne se demande plus qu'est-ce que la vérité, mais pour qui y-a-t-il vérité, c'est-à-dire qui a besoin de l'idée d'une vérité éternelle et absolue?  La vérité n'est plus une réalité, mais elle est un besoin créé. Ce besoin d'un arrière-monde nous dit Nietzsche remonte à Socrate et à la philosophie

notre nature sociale, développe en nous une sensibilité superficielle, égoïste et destructrice, une sensibilité pervertie...Pour ces raisons, le travail social nous coupe de nous-même etc. (policer les mœurs et désindividualiser les individus, Nietzsche)...Transition : La fonction de l'art en général, et de la littérature en particulier est d'éveiller et de révéler, mais de manière plus profonde, n'est-elle pas d'embellir ou de transfigurer une sensibilité qui est toujours informe,

montrer une voie pour en sortir tout en n'évacuant jamais de ses raisonnements sa méfiance constante vis-à-vis de la nature humaine, c'est la naissance d'un point de vue unique d'un homme de terrain, d'un théoricien de génie, d'un écrivain dont Nietzsche fera l'éloge stylistique2, et d'une honnêteté pratique et intellectuelle complète. Althusser dira de lui qu'il était pour toutes ces raisons un penseur de l'impossible3. Malgré cette réputation entachée par la méconnaissance et l’Église, Machiavel

montrer une voie pour en sortir tout en n'évacuant jamais de ses raisonnements sa méfiance constante vis-àvis de la nature humaine, c'est la naissance d'un point de vue unique d'un homme de terrain, d'un théoricien de génie, d'un 3 écrivain dont Nietzsche fera l'éloge stylistique , et d'une honnêteté pratique et intellectuelle complète. Althusser dira de lui qu'il 4 était pour toutes ces raisons un penseur de l'impossible . file:///C:/Users/PUECH/AppData/Local/Temp/Low/76GAUX3W.htm 13/12/2014 Nicolas

humanité et être culpabilisé. Pour éviter cette horrible culpabilité, il faut donc agir en suivant ses préceptes moraux. ! Nietzsche, dans Le Crépuscule des idoles, écrit que «partout où lʼon cherche à établir des responsabilités, cʼest généralement lʼinstinct de punir et de juger qui est à lʼoeuvre». On peut interpréter cela comme étant lʼeffet de lʼinstauration de la morale. Nietzsche construit un lien de causalité : si on ne suit pas les lois morales, alors on sera responsable des malheurs quʼon aura

montrer une voie pour en sortir tout en n'évacuant jamais de ses raisonnements sa méfiance constante vis-àvis de la nature humaine, c'est la naissance d'un point de vue unique d'un homme de terrain, d'un théoricien de génie, d'un 3 écrivain dont Nietzsche fera l'éloge stylistique , et d'une honnêteté pratique et intellectuelle complète. Althusser dira de lui qu'il 4 était pour toutes ces raisons un penseur de l'impossible . file:///C:/Users/PUECH/AppData/Local/Temp/Low/76GAUX3W.htm 13/12/2014 Nicolas

sur l’extirpation (de la sensualité, de l’orgueil, de la passion de dominer, de posséder et de se venger). Or attaquer les passions à la racine, c’est attaquer la vie à la racine : la pratique de l’Église est hostile à la vie... » Nietzsche, Le Crépuscule des idoles « Tant qu'on désire on peut se passer d'être heureux; on s'attend à le devenir : si le bonheur ne vient point, l'espoir se prolonge, et le charme de l'illusion dure autant que la passion qui le cause. Ainsi cet état se suffit à lui-même

qui se retrouve dans les sectes orphiques et pythagoriques dont Platon a subi l'influence. Mais revenons à cette hiérarchisation par la beauté. On ne doit pas être surpris de trouver ici le beau surgir (comme Nietzsche se demande, dans "le cas Socrate" du Crépuscule des idoles, "par quelle idiosyncrasie a-t-il pu en arriver à l'équation vrai = bien = beau"). Effectivement, nous sommes ici dans le cadre de la vue : quoi de plus naturel, dès lors, que le vrai émanant du bien et vu par l'âme

du beau reconnaissait d’ailleurs entre le sublime et la laideur une certaine compatibilité quand celle-ci se trouve unie à des qualités capables de susciter une forte terreur transmuée en délice. Ce que d’une certaine manière Nietzsche reprendra dans le Crépuscule des idoles quand il dira que c’est par la laideur que l’art est profond. On pourrait toutefois se demander si certains facteurs n’ont pas contribué à la naissance d’une autonomie du laid. Dans ce cas, ne faudrait-il pas défendre que le