Nietzsche Dieu Est Mort

soi mais déterminé, et qu'en réalité « Je est un autre » (Rimbaud) : Pour Marx, la conscience est soumise à des déterminismes matériels que sont les « conditions matérielles d'existence », comme la classe sociale ou le mode de production. Pour Nietzsche, l'idée du sujet n'est qu'une illusion du langage, issue de l'habitude que l'on a de dire « je » (alors que l'on devrait dire « il » ou « soi »). Pour Freud, le sujet est gouverné par son inconscient (un « ça ») constitué de pulsions refoulées et

................ L’HUMANISME SADIEN…….....................................……............................................................. LE SADISME COMME UNE PHILOSOPHIE DU TRAGIQUE…….......................................... SADISME, ÉROTISME ET MORT : ÉROS ET THANATOS……................................................ …….....................................…….....................................……........................................................ …….....................................……

situation. Ainsi les émotions « passe, repasse et très passe ». La conscience n’a donc pas d’identité ni n’entité elle est pure illusion, elle n’est plus statique mais dynamique c’est une « non entité ». II. LE SUJET, LE CORP ET LE MONDE * Nietzsche pense que le corps est le fil conducteur de l’analyse. Il conçoit la conscience : comme le reflet du corps, sans autonomie = épiphénomène (phénomène accessoire inessentiel accompagnant le corps). Pour lui la vie est une « volonté de puissance »

conjonction de la valeur avec l'être ou avec le vrai. Les valeurs, qui sont objectives et absolues, sont objets de connaissance et même de démonstration. Nous retrouvons ici Platon (le Bien en soi), Aristote (le Premier Principe), Augustin et Thomas d'Aquin (Dieu), Hegel (la Raison), Marx (l'Histoire)... 2) La disjonction de la valeur et de l'être ou du vrai. À la différence des vérités objectives, les valeurs sont subjectives et relatives à notre désir et à notre volonté de les défendre. Et ce n'est pas la

rôles pour un même statut. QUAND ? Les temps de la socialisation La socialisation est un processus qui débute à notre naissance et se termine à notre mort. On distingue deux temps de socialisation : · La socialisation primaire intervient en premier dans la vie de l’individu · La socialisation secondaire se fait à l’âge adulte jusqu’à la mort. La socialisation Processus par lequel la personne humaine apprend et intériorise, tout au cours de sa vie, les éléments socioculturels de son milieu

CHAPITRE VII LIBERTE « ...L’aspect d’un être sans liberté empoisonnerait mes plus grandes joies ». Nietzsche, Humain, trop humain Long est le chemin vers la liberté… Pour l’homme primitif, il existait une seule prison - la Nature. Afin de gagner sa liberté envers elle, il s’est allié à d’autres hommes et a créé ainsi sa deuxième prison - la Société. Mais pour survivre dans cette prison il a dû inventer encore son ultime cellule - la Morale. Prison invisible, et donc celle dont l’homme

nous aborder comme un sujet, capable de penser le rapport aux autres et au monde. Capable, plus ou moins, car là se pose toute la question du déterminisme et de la liberté. De pressentir la question du sentiment de l’existence, et de la pensée de la mort. Conscience de soi, des autres, du monde ; la conscience humaine devient conscience de sa condition d’homme. Pascal, dans ses Pensées, écrira : « l’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant. » Que nous permettrait

sont-ils toujours absurdes ? (Ø TES, TS) Leçon non élaborée, voir notes manuscrites et textes. "Si Dieu n'existait pas, tout serait permis." Dostoïevski I. Définition Étymologie : le mot "religion" vient de relegere, lat. qui signifie "respecter", "vouer un culte", pour d'autres, il vient de "religare" - "relier" : la religion constitue un lien qui unit l'homme à Dieu comme à la source de son existence (Gilson). "Le sentiment religieux - dont les premières manifestations remontent

BLONDEAU Dominique, Demain, c'est l'Orient : « Le rire est un excès préférable à l'incertitude  du silence. Il choque toujours les êtres très intelligents. » 16. CARRIER Roch, Il n'y a pas de pays sans grand-père : « Le glas, c'est le rire de la mort. » 17. CARROLL Lewis : «  Le rire de la joie, à l'encontre du rire de l'amusement, est en  pleine harmonie avec la vie intérieure. » 18. CASANOVA Giacomo, Histoire de ma vie : « C'est un grand malheur pour une femme jolie que le rire l'enlaidisse ;

volonté qui constitue notre être en soi est de nature simple: elle ne fait que vouloir et ne connaît pas". Résultat: l'homme mène une vie sans fin, sans finalité , dépourvue de toute signification. Vivre sans raison, une abîme de souffrance vouée à la mort: même l'amour perd son sens , simple acte générateur , il n'aboutit qu'à vouer au malheur et à la misère de l'existence un être qui n'a pas demandé à naître. Puisque la vie est abîme de malheur, la contemplation des choses et des idées grâce à l'art