Nietzsche Démocrite

éprouvera le même sentiment. De plus, lorsque l'on trouve un objet beau, on le reconnaît comme l'objet d'une satisfaction nécessaire du Beau, c'est-à-dire qu'il ne peut en être autrement que ce que j'éprouve. Nous nous accordons avec la pensée de Nietzsche, en disant que si l'on ne sort jamais du jugement de connaissance, de la recherche logique et de la Raison, nous devenons des hommes lourds et sérieux. Il disait « nous avons l'art de ne pas périr devant la vérité » c'est-à-dire que l'art allège

le plaisir de vous addresser quelques mots pour exprimer soi même au dessous. D’abord, parmi plusieurs citations qui sont déduits par les célébrités et philosophes, j’en ai parfaitement trouvé les deux qui sont correspondants à mes caractères. Nietzsche a écrit: “Tout ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort”. J’ai trouvé moi – même répéter plusieurs fois cette phrase en se heurtant contre les divers obstacles dans la vie quotidienne. Ca m’encourage en donnant une raison pour tous les difficultés

Une satisfaction des désirs et un plaisir désintéressé B- L'art comme source de délivrance et d'épanouissement III) L'art, un langage, une source de vérité A- L'art tend vers la vérité B- L'art est un langage Extrait du document: Pour Nietzsche, l'art est une affirmation de l'existence. Il permet un total épanouissement, il exprime le mouvement de la vie ou encore une volonté de puissance, qui est une énergie conquérante et créatrice. C'est une force qui pousse l'homme à s'enrichir, à se

fortement que c’est la société qui nous définit en tant qu’être humain et qu’elle nous permet d’être libre. Nietzsche, soutient que la société est une contrainte pour l’être humain. Selon moi, la société permet l’émancipation d’un individu superficiellement, mais nous empêche d’être réellement libre et de s’accomplir. La définition approfondie de l’être humain d’après Nietzsche serait que l’être humain est en devenir, à l’écoute du mouvement du corps, des passions, des besoins corporelles

Nietzsche : sur la glorification du travail Dans la glorification du "travail", dans les infatigables discours sur la "bénédiction du travail", je vois la même arrière pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est individuel. Au fond, ce qu’on sent aujourd’hui, à la vue du travail – on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir -, qu’un tel travail constitue la meilleure des polices, qu’il tient chacun en bride

Anouilh, Antigone (1944) LECTURE ANALYTIQUE (pistes). Etudiez l'affrontement entre les deux personnages. I/ Créon. a) Sa conception du bonheur. La vie de famille, enfant, maison -> petits plaisirs concrets, tranquilité, stabilité du quotidien. (cf Régularité dans la symétrie de construction) b) Comment apparait le personnage. Quelqu'un de raisonnable : - par sa conception de la vie - par son attitude envers Antigone au début du texte

Dans son texte, Nietzsche oppose les conséquences que peuvent avoir les vertus pour un homme lui-même ou pour les autres. Il critique par là-même les moralistes qui font l’éloge de la vertu sans s’apercevoir que les vertus ne sont en fait que des passions qui sont la source des nos dérèglements les plus nuisibles. En fait qu’appelle-on vertu ? Nietzsche entend inverser, par une étude du vocabulaire, le sens que l’on donne à ce mot. Il montre que loin d’être sujet d’éloge, la vertu n’est autre que

King Lear, tragédie d’une grande violence tant par son sujet et les thèmes abordés que par son lexique et sa prosodie, s’appuie sur un système de reprises lexicales, de termes ambivalents, de métaphores filées et de ruptures rythmiques et syntaxiques qui sont autant de facteurs de cohésion au sein du texte. La cohérence textuelle et théâtrale qui en découle ouvre sur des possibilités de jeu mettant en œuvre le corps de l’acteur tant du point de vue du geste que de la diction. Cette cohérence est-elle

Dissertation de Littérature niveau Lycée à partir d'une citation d'Albert Camus : "Le monde romanesque n'est que la correction de ce monde-ci, suivant le désir profond de l'homme. Car il s'agit bien du même monde. La souffrance est la même, le mensonge et l'amour. Les héros ont notre langage, nos faiblesses, nos forces. Mais eux, du moins, courent jusqu'au bout de leur destin et il n'est même jamais de si bouleversants héros que ceux qui vont jusqu'à l'extrémité de leur passion.". Extrait:

Note de lecture : un monde vulnérable, pour une politique du care. L’avant propos de Liane Mozer est exellent, mais malheureusement je ne m’en souviens plus. Pour ce qui est du premier chapitre, l’auteur explique le développement de la division sentiments moraux et morale rationnel. Pour ce faire, elle montre un parallèle entre le dévelloppement du marché capitalste corrupteur, et le besoins de conserver un nminimum de morale contextualiste à l’aide du foyé, dernier rempart contre la cupidité