Nietzsche L Homme Souverain

sacralisés après leur mort. Il n’y a pas de Dieu, mais des hommes qui ont été vénérés comme des dieux. C’est une forme d’athéisme car on dit que les dieux n’existent pas, ce ne sont que des figures historiques exaltées : « Ainsi, Zeus aurait été un souverain sage et bienfaisant, Aphrodite une courtisane du roi de Chypre qui en aurait fait une déesse et Athéna une reine guerrière.” On a donc déjà une désacralisation du monde grec. Le stoïcisme est à nouveau un panthéisme matérialiste : la nature

sublimation,càd le Processus par lequel la pulsion sexuelle échange le but sexuel originaire par un autre, non-sexuel, qui lui est apparenté et change d'objets en faveur d'autres objets socialement plus valorisés. Comme de l’art car par exemple un homme pauvre peut se peindre en costume 3 pièce dans une villa de luxe. Cependant, nos démocraties moderne pousse a l’individualisme et a une logique de compétition car comme Tocqueville l’a expliqué, L’individualisme est d’origine démocratique, et il

un exemple de menace méprisante pour un philosophe, qu'on ne l'écoute pas. A la fin de ce chapitre, le risque de discours totalitaire dans la philosophie est aussi amené par Châtelet, car la philosophie peut être un "instrument redoutable" pour un homme politique d'une direction totalitaire. Le Chapitre deux, " La raison et la réalité" débute avec les les hypothèses de Platon. Platon fais un constat, pour lui les hommes "sont malheureux parce qu'ils souffrent, parce qu'ils comment l'injustice

Un maître d’après la définition première du Larousse est une « Personne exerçant un pouvoir, une domination, une influence »… Le sens commun a souvent tendance à s’arrêter sur les a priori et cela semble en être un. Certes, un maître peut être un Homme de pouvoir et de force comme cette définition nous l’apporte mais celle-ci nous pousserait alors à penser que tous les individus qui auraient reçu un enseignement auraient été soumis à une autorité restrictive et donc intolérable pour l’Homme qui aspire

philosophie de la morale de Nietzsche PAGEREF _Toc194758045 h 16 1. La vie, source de toute valeur PAGEREF _Toc194758046 h 16 2. Lvaluation des valeurs PAGEREF _Toc194758047 h 17 3. La gnalogie de la morale morale des forts et morale des faibles PAGEREF _Toc194758048 h 17 4. Par-del bien et mal PAGEREF _Toc194758049 h 18 a. La sagesse tragique PAGEREF _Toc194758050 h 18 b. Lternel retour PAGEREF _Toc194758051 h 19 c. Le surhomme PAGEREF _Toc194758052 h 19 5. Nietzsche et le nazisme PAGEREF _Toc194758053

cette liberté sans loi ? A quoi « ressemble-t-elle » ?  Est-ce un état naturel, la vérité de l’homme avant les contraintes des lois de la cité ? Est-ce l’homme d’avant la propriété, ce « funeste hasard » qui l’a corrompu en réclamant des lois ? Cet homme naturellement libre, rousseauiste, n’est-il pas un mythe, celui du « bon sauvage » ?  Car même le tahitien du  Supplément au Voyage de Bougainville  (Diderot), au-delà d’un apparente liberté de mœurs, vit dans un cadre très hiérarchisé par les lois

corporelle. Nous n'avons pas conscience de la cause de nos attirances (« nos inclinations secrètes »), dans la mesure où les mécanismes du corps se produisent indépendamment de notre pensée. Descartes définit ce que doit être l'attitude d'une « homme sage » à l'égard de l'amour. D'une part, il ne faut pas se laisser dominer par des attirances irrationnelles. A elle seule, une inclination ne permet pas de justifier un sentiment amoureux. Il est souhaitable que le sentiment amoureux puisse se fonder

l’homme à l’état de nature ne peut lui vouloir ni bien ni mal. Sa « bonté » est donc purement négative: il y a une absence de mal, absence d'immoralité, due à son amoralité (absence de morale). L’homme de l’état de nature est donc loin d’être cet homme méchant, craintif et avide de violence comme certains se plaisent à le décrire. Mais comment a-t-il fait pour devenir l’homme tel que nous le connaissons? Rousseau refuse d’attribuer à l’homme une sociabilité naturelle. Avant même les premières communautés

6 et 7 : c. Etablir une hiérarchie entre les désirs. · Emmanuel Kant, Fondements de la Métaphysique des Mœurs. 3. Le bonheur dans l’oubli et le divertissement. A. Est-ce l’heure de s’enivrer ? · Texte 4 : Nietzsche Considérations inactuelles, II (1874), § 1 B. Le devoir s’oppose au désir du bonheur, le désir du bonheur s’oppose au devoir… Si on veut donner une définition formelle du bonheur on dira d'abord que c'est une satisfaction, car on

compte de la question rhétorique. 6° § Exemple 2 - Résumé complet. Le philosophe qui vivait dans un jardin La pensée d'Épicure dit, sous les formes les plus variées, le retranchement, la recherche de l'enclos et du rempart. La réponse de l homme épicurien à la vie sociale pleine de périls est le refuge derrière les hauts murs d 'un jardin et le renoncement à toute activité politique, à toute charge dans la Cité : « Ce fut un grand bonheur pour moi de ne m'être jamais mêlé aux troubles de l'État