Nietzsche La Voix De La Conscience

La chute, Albert CAMUS La chute est un vrai monologue. C’est un genre littéraire qui est romanesque. C'est un récit très particulier car il est à une seule voix. Le personnage central est Jean baptiste Clamence, il va expliquer que ce n'est pas son vrai nom, c'est une fausse identité. Clamence en latin veut dire celui qui crie. Son prénom est très chrétien. Dans le nom du personnage on a des allusions bibliques. Il s'adresse à un interlocuteur inconnu. Le vol du tableau « l'Agneau mystique » qui

Hugo“Le théâtre est une tribune.” Victor Hugo, Les Burgraves"Le théâtre doit faire de la pensée le pain de la foule". Victor Hugo, extrait de Faits et croyances :« Une pièce de théâtre, c’est quelqu’un. C’est une voix qui parle, c’est un esprit qui éclaire, c’est une conscience qui avertit ». Victor Hugo, Tas de Pierres III ( 1830-1833).« Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant

oublier le travail qui participe à la formation de l'artiste et de l’œuvre elle-même. Critique des thèses de l'inspiration : Nietzsche refuse le présupposé accepté par Platon selon lequel l'artiste serait un être inspiré. > L'artiste, dit Nietzsche, n'est pas un être inspiré, il se fait passer pour inspiré. L’œuvre « ne tombe pas du ciel tel un rayon de grâce » (Nietzsche, Humain trop humain, T.1, chap.4, 155). Dire que l'artiste cherche à nous faire croire qu'il est inspiré, c'est dire qu'il cherche

sens qu’elle ne dépend pas de lui. Le savant la découvre. La seconde est immanente à l’homme, inhérente à sa conscience. Rousseau dit de la conscience qu’elle est « instinct divin », c’est-à-dire comme représentation innée du bien et du mal. Saint Augustin affirme : « Je ne fais pas le bien que je veux, je fais le mal que je ne veux pas », pour dire que ce qui est immanent à la conscience c’est le bien. Socrate disait aussi que « Nul n’est méchant volontairement ». La règle de droit est contraignante

mentaux (Strawson) PAGEREF _Toc185584888 h 3 B. Autrui, mdiateur indispensable pour accder soi-mme PAGEREF _Toc185584889 h 4 1. La conscience de soi requiert la reconnaissance dautrui (Hegel) PAGEREF _Toc185584890 h 4 2. Autrui me permet de me connatre moi-mme (Sartre) PAGEREF _Toc185584891 h 4 3. Autrui est la condition de possibilit de la conscience elle-mme (Nietzsche) PAGEREF _Toc185584892 h 5 C. Autrui est la condition de possibilit de toute connaissance PAGEREF _Toc185584893 h 6 1. Autrui

mal vient des créatures (libre arbitre) 24 c. Dieu n’est pas cause des détails 25 Conclusion 25 C. L’aliénation religieuse (Marx, Nietzsche, Freud) 26 1. Paradoxes éthiques et esthétiques 26 2. La religion est un instrument d’aliénation et de domination sociales (Marx) 26 3. La religion est négation de la vie (Nietzsche) 27 4. La religion est la névrose de l’humanité (Freud) 29 III. La fin de la religion ? 29 A. « Dieu est mort ! » 29 B. Le désenchantement

Pendant la seconde guerre mondiale, il fut un journaliste militant engagé dans la Résistance française. Camus est d'abord témoin de son temps, intransigeant, refusant toute compromission. Il développe dans son œuvre un humanisme fondé sur la prise de conscience de absurdité de la condition humaine mais aussi sur la révolte comme réponse à absurde, révolte qui conduit à l'action et donne un sens au monde et à l'existence. Dans le journal Combat, il prend des positions courageuses sur le totalitarisme soviétique

assez important, parce que, alors, ta conscience te le signale. Et quand dans ton âme tu n’as reçu aucune nouvelle de quelque chose, tu admets en toute confiance que cela n’est pas contenu en elle. Davantage, tu vas jusqu’à tenir « psychique » pour identique à « conscient », c’est-à-dire connu de toi, malgré les preuves les plus patentes que, dans ta vie psychique, il doit en permanence se passer beaucoup plus de choses qu’il n’en peut accéder à ta conscience. Accepte donc sur ce point de te laisser

faut préciser que la « transcendance » du devoir ne signifie pas pour autant séparation puisque cette relation peut se jouer au sein d’un seul et même individu divisé en une partie qui commande et en une autre qui obéit (ce qu’a très bien montré Nietzsche dans ce qu’il appelle la psychologie du commandement). On peut dès lors se poser la question de savoir quelle est l’origine des normes. Ce peut être la religion, ce peut être la société, ce peut encore être l’idée de moralité (ces termes étant

artistique : est-elle fruit du génie ou d’un double travail de la technique et de l’imagination ? I Qu’est-ce que l‘art et d’où provient le besoin d’art ? a) l’art et la conscience Hegel dans son Esthétique parle de « l’universalité du besoin d’art ». Celle-ci a pour origine le fait que « l’homme est un être doué de conscience et qui pense (…) un être pour soi » qu’il oppose à la nature et à l’animal qui « n’existent qu’immédiatement et d’une seule façon ». De façon générale, l’homme se dédouble