Nietzsche La Volonté De Vérité Le Gai Savoir

La philosophie de la religion est la partie de la philosophie qui pose la question de savoir ce qu'est une religion[1]. Selon le concept de religion qui est posé et selon la question fondamentale que l'on se pose sur la religion, la philosophie de la religion peut correspondre à différentes démarches. La principale distinction entre les diverses approches de la philosophie de la religion se fait entre les approches dites « essentialistes » et les approches dites « fonctionnalistes »[2]. La philosophie

affecte une créature intelligente et sensible ; le mal métaphysique, ou imperfection de la créature ; le mal moral, comme faute. Parmi les problèmes que suscite l'existence du mal, deux ont une importance particulière : savoir ce qu'il est et pourquoi il existe ; savoir s'il est possible de vouloir le mal. WIKIPEDIA Sommaire [masquer] 1 Difficultés de la définition 2 Nature et causes du mal 3 Histoire du mal 3.1 Zoroastre 3.2 Pythagore et Platon 3.3 Premières occurrences du mal dans les

Bonvarlet Aymée T°S1 DEVOIR MAISON DE PHILOSOPHIE Les sciences satisfont-elles notre désir de vérité? Les sciences désignent l'ensemble des connaissances portant sur le donné, permettant la prévision et l'action éfficace. Corps de connaissances constituées, articulées par déduction logique et susceptibles d'être vérifiées par l'expérience. Le désir provoque un tension vers un objet que l'on se représente comme

............................................8 D. Alternative ......................................................................8 E. Remords et regrets ..........................................................8 F. Relation entre bonheur et savoir.......................................8 3. Le problème ...............................................................................8 4. La solution...................................................................................9 A. Présentation

| |1638-1715 | | | | | |De la recherche de la vérité, 1674-75 |V, P | | | |Conversations chrétiennes, 1677 |Fo |

l’œuvre au-delà du travail de subsistance est devenu selon nous pertinent. 2 – Où est l’éthique ? Travailler pour gagner plus ou travailler pour créer ? Contrairement à ceux qui comme Kant associe l’ennui à une absence de vérité morale, dans Le gai savoir, § 42, Nietzsche écrit que : « Se trouver un travail pour avoir un salaire […]. Or, il y a des hommes rares qui préfèrent périr plutôt que de travailler sans plaisir […]. De cette espèce d’hommes rares font partie les artistes et les contemplatifs

pensée épicurienne est fondamentalement matérialiste, contingente. Il n’y a dans cet univers aucun dieu, aucun démiurge. Pas de création, pas de créateur. Il n’y a dans l’univers aucun but, aucune intention, aucun sentiment hostile ou favorable. La vérité du monde est muette. Le monde ne renvoie à rien d’autre qu’à lui-même. Cela dit, Epicure maintient l’existence quelque part dans l’univers de certains dieux. Ces dieux ne sont pas des démiurges, ils ne se soucient pas de nous, ne nous jugent pas.

L'amitié est-elle une passion comme les autres? (Amitié) Les égoïstes sont-ils les seuls de nos amis pour qui notre amitié soit désintéressée? (Amitié) L'amitié est-elle une vertu masculine ? (Amitié) Peut-on etre l'ami du genre humain ? Friedrich Nietzsche écrit dans Ainsi parlait Zarathoustra : "je et moi sont engagés dans un dialogue trop véhément? Comment serait-il supportable, s'il n'y avait l'ami?". (Amitié) La ressemblance est elle une condition de l'amitié ? (Amitié) "On parle du lien que l'amitié

et l’activité des hommes » (Leibniz). (Si l’homme était entièrement bon, son activité pourrait être motivée par quelque chose d’entièrement positif ; comme ce n’est pas le cas, il faut un principe négatif à l’action).  «  Ce qui détermine la volonté à agir n’est pas le plus grand bien(…), mais plutôt quelque inquiétude actuelle » L’inquiétude n’est pas une douleur qui irait jusqu’à nous incommoder ; c’est quelque chose  comme le début d’une douleur (« les rudiments de la douleur »).Cette inquiétude

3 A. La logique 3 1. Présentation 3 a. La logique d’Aristote 3 b. Frege et le formalisme logique 5 [cette partie peut être considérée comme un autre « exemple » ou un développement de ce que nous apprend la logique aristotélicienne] 5 2. Vérité n’est pas validité 5 3. Les limites de la démonstration 6 a) Elle repose sur des principes logiques 6 b) ces principes ne peuvent pas être démontrés 6 4. L’intuition, principe des principes 7 5. Wittgenstein : la logique ne dit rien sur le monde