Nietzsche Morale Du Fort Et Du Faible

contraires. Protagoras Toute généralisation est une hypothèse. Poincaré Caton l'ancien disait : " Quant à moi, j'aime mieux qu'on me demande pourquoi il n'y a pas de statue de Caton, que s'il on me demandait pourquoi on lui en a élevé. Plutarque Oeuvres Morales 125 ap. JC jeudi 27 juillet 2000 © 2000 kratiroff / ad'valorem Page 3 sur 20 Citations N'attaquez jamais un homme pour les idées qu'il n'a pas ; vous les lui donneriez. Pierre-Paul Royer-Collard Il y a deux manières d'être malheureux

le meilleur parti de l'Etat, cette structure toujours prête à sacrifier ses sujets lorsque ses intérêts propres sont en jeu, cette structure que Nietzsche qualifiait de "plus froid de tous les monstres froids" ? Les principaux problèmes :           La force de l'Etat est-elle nécessaire à la liberté des citoyens ? Ce que la morale interdit, l'Etat peut-il le prescrire ? Les intérêts de l'Etat justifient-ils le recours à des pratiques immorales ? L'Etat doit-il reconnaître des

république chrétienne Rome = Jérusalem de la chrétienté Latin = langue européenne. Novalis va proposer un retour à un politique européenne tournée autour de la morale chrétienne Construction de ces sociétés de paix dans des sociétés politiques Société de la morale chrétienne en France Revendications : amélioration des condition d'incarcération en Europe, abolition de l’esclavage, appel à l'unité européenne

le scepticisme. Le cynisme est le fait de nier l'existence de motivations désintéressées, le scepticisme est celui de dire qu'on ne saura jamais si une action est réellement désintéressée. Le soupçon lui a surtout été introduit par Marx, Freud et Nietzsche et est avant tout un principe méthodologique. Il s'agit de douter du mobile désintéressé de l'agent et d'y voir un hypothétique intéressement. Les actes désintéressés faits devant un public peuvent facilement être soupçonner d'être accompli dans

l’improvisation artistique au regard de l’idée choisie avec peine et sérieux pour une œuvre. Tous les grands hommes étaient de grands travailleurs, infatigables quand il s’agissait d’inventer, mais aussi de rejeter, de trier, de remanier, d’arranger. NIETZSCHE (1) « un rayon de la grâce » : une intervention divine. (2) Beethoven : compositeur allemand (1770-1827). QUESTIONS : 1° Formulez la thèse de ce texte et montrez comment elle est établie. 2° Expliquez : a) « l’imagination du bon artiste (...) ne

sublime dans la morale. - Proudhon. - Pas de genèse morale dans le trade unionisme. - Le sublime en Allemagne et la notion catastrophique CHAPITRE VII. - La morale des producteurs I. - Morale et religion. - Mépris des démocraties pour la morale. - Préoccupations morales de la nouvelle école II. - Inquiétudes de Renan sur l'avenir du monde. - Ses prévisions. - Besoin du sublime III. - La morale de Nietzsche. - Rôle de la famille dans la genèse de la morale, théorie de Proudhon

par le refoulement, se dressent contre le Moi, et la tâche de l'analyse consiste à supprimer les résistances que le Moi nous oppose dans nos tentatives d'aborder les tendances refoulées. Or, on constate au cours de l'analyse que le malade se trouve fort embarrassé lorsqu'on lui impose certaines tâches, que ses associations se trouvent en défaut toutes les fois qu'elles se rapprochent de ce qui est refoulé. Nous lui disons alors qu'il subit l'influence d'une résistance, mais il n'en sait rien lui-même ;

dont 31% d’ouvriers, 28% de paysans, 25% de bourgeois, 8,5% d’aristocrates et 6,5% de prêtres. La volonté d’imposer par la force les notions républicaines de Liberté, d'Égalité et de Fraternité, finit dans un bain de sang “terrible”. Le droit et la morale n’ont pas fait bon ménage. Quelle est l’originalité de La Terreur durant la Révolution française ? Si Terreur et violences semblent indissociables, le récit des violences intenses de la Terreur a souvent servi à la stigmatiser en tant que “Terreur”

espèce : la mésange avec la mésange, le pinson avec le pinson, la cigogne avec la cigogne, le campagnol avec le campagnol, la souris avec la souris, le loup avec la louve, etc. » [...] La lutte pour le pain quotidien amène la défaite de tout être faible ou maladif, ou doué de moins de courage, tandis que le combat que livre le mâle pour conquérir la femelle n'accorde le droit d'engendrer qu'à l'individu le plus sain, ou du moins lui fournit la possibilité de le faire. Mais le combat est toujours

avec ses fonctions et ses pouvoirs, devient ainsi le centre d'intérêt de l'homme qui réfléchit. Les développements politiques qui ont eu lieu dans toutes les nations civilisées nous amènent à nous poser ces questions: voulons-nous d'un gouvernement fort? Devons nous préférer la démocratie et le parlementarisme? Le fascisme, sous une forme ou sous une autre, la dictature qu'elle soit monarchique, bourgeoise ou prolétarienne offrent-ils des solutions aux maux ou aux difficultés qui assaillent notre