Nietzsche On Dit Avec Juste Raison

Dans les temps classiques, on dit que « le vrai caractérise la chose immédiate où encore l'exactitude de l'énoncé ». Alors que le mouvement du réalisme fait son apparition à cette époque, on constate que son éminent représentant est sans aucun doute Platon. Cicéron avait déclaré que Platon fut « le philosophe grec le plus grand ». Platon croit que la philosophie ne s'enseigne pas, qu'elle ne peut être appris avec la lecture d'œuvres et c'est pourquoi qu'il fut dit lors de son existence: « Nul n'entre

que vous avez à commenter et qui constitue le début du livre 7 de la République, à savoir l’allégorie de la caverne. Platon nous dit alors que ce qui confère la vérité aux objets connaissables c’est la forme du bien. Quel rapport peut-il bien y avoir alors entre la vérité et le bien. Pour mieux le comprendre, vous pouvez vous reporter à la suite du texte. Platon nous dit alors qu’on peut reconnaître à la connaissance et à la vérité une certaine beauté. Il faut remarquer alors en quoi il y a une harmonie

c'est-à-dire qu'elle apprécie nos manières d'être ou d'agir en fonction de normes qui vont définir ce que doit être notre conduite (quand on reprend un enfant on lui dit c'est mal, on est préscriptif, puis qu'on ne fait pas si, on est normatif). Néanmoins, ramener la morale aux mœurs, aux manières d'être, qu'est-ce que cela nous dit sur la morale? Les mœurs, (usages et coutumes, pratiques sociales, culturelles) on en rencontre autant qu'il y a de culture, les mœurs sont bien relatives à une culture

invisible, ce n'est pas elle que l'on voit mais l'objet. Barthes décide de comprendre la photographie à partie du référent, du sujet, à partir des photographies qui existent "pour moi". Comment une photo nous advient-elle? Il tente de comprendre la raison de l'attrait (cette aventure) d'une photo, pourquoi telle photo "l'anime" et que telle autre le laisse indifférent. Il tente d'extraire l'essence de la photo de l'affect. C'est en ça que le corps est une mesure du savoir photographique; c'est lui

philosophes n’ont pas hésité de taxer d’irrationnel l’activité de l’artiste. Un philosophe comme Gilles-Gaston GRANGER par exemple n’hésite pas de distinguer l’œuvre de la raison telle qu’elle s’accomplit principalement dans l’activité du philosophe et celle du scientifique de l’activité artistique. Si en science, l’œuvre de la raison se déploie à travers des opérations réglées qui conduisent à la construction des modèles permettant d’expliquer les faits ; si la philosophie, bien qu’elle n’ait jamais

"Donc c'est la loi morale, dont nous avons immédiatement conscience (dès que nous formulons des maximes de la volonté), qui souffre d'abord à nous et nous mène directement au concept de la liberté, en tant qu'elle est représentée par la raison comme un principe de détermination, que ne peut dominer aucune condition sensible et qui, bien plus, en est totalement indépendant. [...] Supposons que quelqu'un affirme, en parlant de son penchant au plaisir, qu'il lui est tout à fait impossible d'y

sorte d'instinct divin, de Nietzsche, pour qui elle reflète un mode d'une hiérarchie d'instincts, etc. Un plan dialectique semble le plus approprié à ce sujet. "Nos écoles manquent presque totalement d'une chose qui serait très utile pour former les enfants à l'honnêteté, je veux dire un catéchisme du droit. Il devrait comprendre des cas, qui seraient populaires et se présenteraient dans la vie quotidienne et qui soulèveraient naturellement la question : cela est-il juste ou non ?" (Emmanuel Kant

Arnaud et Nicole mettent en question cette approche désintéressée de la vérité, et soutiennent paradoxalement que nos opinions sont généralement dictées par des mobiles d'ordre subjectif (« amour propre »,« intérêts » ou « passions »). Autrement dit, notre rapport à la vérité est intéressé : nous ne cherchons pas la vérité de façon rationnelle et objective, mais nous sélectionnons les vérités en fonction de ce qu'elles sont susceptibles de nous apporter ( utilité) . Ce texte dénonce donc la conception

la conquête .................................................................................. 21 Puissance et joie (Deleuze et Spinoza) ............................................................................. 21 Du devoir à la création (Nietzsche) ou comment créer contre la peur ............................. 22 La ritournelle du désir (Deleuze) ou comment aller à la rencontre du public .................. 23 V. Le plaisir du partage avec le public .......................................

| Origine du mot « philosophe » Héraclide du Pont (340 av. J.-C.) attribue la création du mot « philosophe » à Pythagore (530 av. J.-C.), lequel ne se présentait pas comme un sage, mais comme « amoureux de la sagesse » (φιλόσοφος) : « Pythagore, dit Aétius, fut le premier à employer le terme de 'philosophie' [φιλοσοφία : amour de la sagesse]. » — Aétius, Opinions (VIes.), I, 3, 8, trad. du grec Jean-Paul Dumont1/ « Léon lui demanda sur quel art il s'appuyait ; Pythagore répondit qu'il ne connaissait