Nietzsche Peine

Concept faussement familier et particulièrement flou, la notion de réalisme fait généralement l'objet, dans les manuels littéraires, d'analyses centrées sur les problèmes historiques. On revient sur la double entente du terme - on peut le considérer soit comme une tendance transhistorique (la vocation mimétique de l'art), soit comme un concept historique précisément situé (« l'école réaliste » du XIXe siècle) -, et l'on présente l'évolution du réalisme au cours du XIXe siècle, auteur par auteur.

Lecture Analytique : paraphrase du psaume CXLV I vanité de la vie: -Le monde terrestre est un leurre, un mensonge: il ne faut pas croire aux promesses, ce n'est qu'illusion "promesses" "vanités" "envies" -Ce monde est fragile ("verre, onde") instable "empêche de calmer", toujours perturbé "une onde que tjs qq veut... -Le dernier vers de la 2é strophe évoque le thème de la mort qui renvoie à cette vanité de la vie qui passe vite, qui n'est pas éternelle contrairement à Dieu. II L'exemple

Philosophie 1er partie Dans cette partie on pourra ce demander si le travail est une activité nécessaire pour l’homme. Quand un homme pense au travail, il lui arrive d’être fainéant, et donc de ne pas avoir envie de travailler. Kant reprend cette idée dans idée d’une histoire universelle. Pour cela il prend l’exemple des bergers d’Arcadie en expliquant qu’un berger qui se satisferait dans le repos, dans le loisir, ne pourrait

des deux, il n’y a pas d’autres situations possibles. L'inconscient est un concept utilisé par Sigmund Freud (1856-1939) dans sa théorie psychanalytique. Avant lui, ce concept était déjà utilisé dans un sens voisin par des philosophes comme Nietzsche et Hartmann. Il avait déjà été perçu par Leibniz au XVIIe siècle et par Schopenhauer dont Freud fut un lecteur attentif.

malheureux ! s’écria le Sirien avec indignation, peut-on concevoir cet excès de rage forcenée ! Il me prend envie de faire trois pas, et d’écraser de trois coups de pied toute cette fourmilière d’assassins ridicules. — Ne vous en donnez pas la peine, lui répondit-on ; ils travaillent assez à leur ruine. Sachez qu’au bout de dix ans, il ne reste jamais la centième partie de ces misérables ; sachez que, quand même ils n’auraient pas tiré l’épée, la faim, la fatigue ou l’intempérance, les emportent

Le mensonge : médium de communication Le mensonge exprime une vérité qui ne peut être formulée autrement que par ce biais pour de multiples raisons. Pour l’enfant qui a fait une bêtise, la peur d’être puni peut déclencher le mensonge. Il exprime alors deux vérités, deux réalités : la première est un aveu indirect de sa faute, la deuxième est la peur des conséquences de celle-ci. Le parent lui va prendre le mensonge au premier degré comme une négation de la vérité et va donc justifier sa peur : la

ce sens, n’est absolument probante. Contre les préjugés, l’important c’est une éducation qui développerait l'esprit scientifique et pas seulement l'acquisition de connaissances. "L'esprit scientifique se forme en se réformant." Bachelard Cf. Nietzsche importance de l'apprentissage de la méthode scientifique: il faut développer l'esprit scientifique contre le fanatisme

problèmes philosophiques seraient le produit d’une culture donnée). Réponse de Kant : Le « JE » n’est pas seulement une catégorie verbale ou linguistique. C’est une faculté de l’esprit, universellement partagé. ® faculté de penser. Cf. page 18, Nietzsche Eveil de la conscience L’enfance est un stade d’apprentissage, une prise de cause de soi-même et du monde ou moyen de langage. Phase impersonnelle 2 phases Structuration du sujet

"Celui dont les désirs ont atteint leur terme ne peut pas davantage vivre que celui chez qui les sensations et les imaginations sont arrêtées. La félicité est une continuelle marche en avant du désir, d'un objet à un autre, la saisie du premier n'étant encore que la route qui mène au second. La cause en est que l'objet du désir de l'homme n'est pas de jouir une seule fois et pendant un seul instant, mais de rendre à jamais sûre la route de son désir futur. Aussi les actions volontaires et les inclinations

Fiche méthode : Le commentaire littéraire Le commentaire est un développement argumenté : il procède par affirmations appuyées sur des arguments, eux-mêmes illustrés par des exemples tirés du texte et commentés. A partir des axes de lecture dégagés au cours de l’analyse, est élaboré le plan détaillé qui assure la progression logique du commentaire. Vient ensuite la rédaction. Le plan organise les analyses qui seront développées dans le devoir rédigé. Il donne au commentaire sa cohérence