Nihilisme

idéologie dans Le Mythe de Sisyphe (1942) ; l'Homme révolté (1951) Il doit au contraire puiser dans le sentiment de l'absurde le courage de la révolte qui refuse à la fois le nihilisme autodestructeur et l'illusion religieuse (cf père Paneloux dans la Peste qui est persuadé que le fléau est un châtiment divin). Nihilisme : Idéologie qui rejette toute croyance. Autodestructeur : Destruction de soi par soi-même. - Dans La Nausée (1938) de Sartre, Roquentin se demande despérément ce qu'est

pas du tout de faits moraux »10. Nietzsche s’intéresse au christianisme. Le christianisme est fondamentalement un nihilisme. Le chrétien se réfugie lui aussi dans un arrière-monde : le paradis. Au lieu de chercher le bonheur en ce monde, il se réfugie dans l’illusoire consolation d’une autre réalité à venir dans lequel il sera heureux. Le christianisme, tout comme le nihilisme, prend donc pour point de départ que rien (ici-bas) n’a de valeur. discipliner domestiquer, dompter, éduquer, redresser

française aux goulags soviétiques, la révolte­ semble conduire trop souvent au crime d’État, justifiant le meurtre au profit de la raison révolutionnaire. « Ce n’est pas la révolte ni sa noblesse qui rayonnent aujourd’hui sur le monde, mais le nihilisme ». Dans un monde sans Dieu et dépourvu de sens, l’être humain est destiné à porter la souffrance de l’humanité comme un fardeau. Au nom de sa propre identité, l’homme s’oppose à l’absurde. « La révolte ne demande pas la vie, mais les raisons de

l’humanisme est une forme de nihilisme et l’on comprend pourquoi l’antihumanisme s’est développé, bien que l’humanisme semblait partir de bons sentiments. Cependant, le mot n’a pas disparu de notre environnement quotidien aujourd’hui. Alors comment concevoir un autre humanisme ? Comment a-t-il pu être repensé de manière à ce qu’il fasse sens ? Du fait de l’impossibilité de répondre à la question « qu’est-ce que l’homme ? », l’humanisme est l’artefact du nihilisme. L’homme est homme, certes, mais

bon ou mauvais, la règle sera de se montrer le plus efficace, c’est-à-dire le plus fort. Le monde alors de sera plus partagé en justes et injustes, mais en maîtres et esclaves. Ainsi, de quelque côté qu’on se tourne, au cœur de la négation et du nihilisme, le meurtre a sa place privilégiée. Si donc nous prétendons nous installer dans l’attitude absurde, nous devons nous préparer à tuer, donnant ainsi le pas à la logique sur des scrupules que nous estimerons illusoires. Bien entendu, il y faudrait

dire ce que cela veut dire avant de le dire. C’est le tournant linguistique dans la philosophie du 20ème siècle en réponse au nihilisme. On prend conscience de la difficulté de comprendre les énoncés, dans la continuité de Nietzsche. Dieu, Amour, en soi, ne signifient rien. Par la critique du langage on élimine certains problèmes de la philosophie. Sortir du nihilisme et par une démarche de pensée, donner de la signification aux mots, Dieu le 1er. Wittgenstein écrit comme un mathématicien

féconde d'un cirque universel dans les puissances réelles et la fantaisie de chaque individu »16. Philosophie, logique, science, morale, ou encore religion sont autant de domaines dénigrés par les dadaïstes.Le mouvement Dada se distingue par le nihilisme radical : « Nous déchirons, ventfurieux, le linge des nuages et des prières et préparons le grand spectacle de désastre,l’incendie, la décomposition. » proclame le Manifeste Dada 1918. Cette prise de positionpréfigure une négation de l’art sous toutes

catégorie sociales. Tentative d'imposer un mécanisme de la société. Dumezil et Vernant qui sont des références de philosphes de la psychologie historique, Affrontement des valeurs, égalité qui produit un épuisement des valeurs, et produisent le nihilisme qui est le culte du néant. Dieu a été mit a .ort pzs les athées qui sont des assassints inconscient, ils l'auraient enterré vivant. "Nietzsche est le médecin qui va eutanasier dieu" mort létale pour qu'il n'y ai plus d'ombres qu'on ne peut laisser

existantes et à la fois négations d’elle-même, inexistantes ou étant en devenir d’existence. A l’opposé de Sartre, l’impossibilité d’existence d’un monde parfait apporte la theorie du nihilisme : destruction toute pensée ordonnée , désespoir anéantissement Des figures emblématiques de ce nihilisme furent évoquées au cours des temps notamment par Céline, Nietzsche ou les Huns, dont « l’herbe ne repousse jamais là où il passe Quant à L'eschatologie elle est l'étude de la fin du monde

réalité, coupe la grandiloquence à laquelle aboutiraient fatalement les personnages principaux. Il y a chez Musset le refus du héros. Ce refus est très net dans le personnage de Lorenzo à la fois héros et crapule, lui-même sublime et grotesque. Le nihilisme que le possède est l'essence même du tragique de la pièce. Lorenzo sait qui le meurtre d'Alexandre sera inutile et pourtant il l'accomplit et aux paroles de Philippe qui lui demande pourquoi il n'était pas sorti avec la tête d'Alexandre dans ses