Norbert Elias Du Temps

refléter les maux de notre société. Il est vrai que l’on retrouve différentes formes de violence dans le sport mais il ne faut pas oublier les valeurs et la discipline inculquées par celui-ci. Dans un premier temps, nous parlerons de la violence chez les sportifs, puis dans un second temps nous nous intéresserons à la violence chez les spectateurs. Dans cette première partie nous allons donc parler de la violence chez les sportifs. En effet de plus en plus de scandales médiatiques éclatent

finalités le sportif s’efforce de développer ses aptitudes et ses talents en vue de son propre épanouissement, selon des règles et dans des cadres librement approuvés par lui. A Non-violent dans ses modalités Le sport est pratiqué dans un espace-temps délimité. Le terrain de jeu un champ clos, la durée de l’entraînement, du jeu ou de l’épreuve est fixée par avance. En ceci, le sport s’oppose à la violence, comme la chasse s’oppose à la guerre par exemple. De plus, l’activité sportive se plie

économique Le PIB n'est plus un bon indicateur pour évaluer la croissance et le bien être, il enregistre toutes les pathologies de la société sous forme de croissance : difficultés pour évaluer des produits qui se transforment très vite dans le temps,l'économie souterraine, les comparaisons international car il ne tien pas compte du prix de la vie locale et sous évaluation des richesse créées (bénévolat) et surévaluation de certaine (externalités négatives). 2 - Le développement, un phénomène

perspectives très négatives. Ainsi, étant donné son immense engouement populaire et le manque de distance critique d’une bonne partie de la presse et de l’opinion publique à son égard, le sport 5 Norbert Elias et Eric Dunning, Sport et civilisation. La violence maîtrisée, trad. Josette Chicheportiche et Fabienne Duvigneau, Paris, Fayard, 1994; Christian Bromberger, Ethnologie d'une passion partisane à Marseille, Naples et Turin, avec la collaboration

La violence politique peut-elle être légitime ? De tout temps, le caractère légitime de la violence est apparut comme une préoccupation constante des hommes en charge de politique. Ainsi que ce soit à travers la célèbre citation de Salluste [1] « Quant à vouloir s’imposer à ses concitoyens par la violence, c’est toujours chose odieuse même si l’on se donne pour but de réformer des abus » ou bien que ce soit actuellement à travers l’affiche « par tous les moyens nécessaires » du Collectif Antifasciste

s’exprime à travers cela c’est l’exercice de la puissance souveraine de l’Etat. Or, au vu de l’UE, on dispose d’une incroyable liberté de circulation : disparition matérielle (et physique : plus de douaniers), juridique et politique des frontières. N. Elias : « Socio-genèse de l’Etat ». Il achève ses analyses sur l’Etat nation en France en 1939, époque à laquelle il n’y a pas vraiment d’optimisme quant à l’idée européenne. Pourtant, il passe d’une analyse socio-historique sur la genèse de l’Etat Nation

aux sports reste encore polémique . Ici je vais distingué la notion de sport en 2 parties , le sport qui se regarde et le sport qui se pratique . Avant de mettre ces 2 termes en évidences , il faut rappeler la définition du sport qui est selon Norbert Elias «  une forme de combat qui donne plaisir sans choquer la conscience » tirée de sport et civilisation . Je peux donc maintenant vous expliquer le sport qui se regarde et le sport qui se pratique. Le sport qui se regarde est l’aspect médiatique

individus ou groupes sociaux. Par conséquent, la déviance n’existe qu’à travers la sanction que la société inflige à celui qui adopte un comportement trop éloigné des modèles dominants. Du reste, les systèmes de valeurs d’une société évoluent dans le temps, de sorte que des comportements jugés autrefois déviants deviennent désormais normaux. C’est par exemple le cas du divorce, de l’avortement ou de l’homosexualité. La déviance ne disparaît pas pour autant. Selon Émile Durkheim, elle est inhérente

la suivante : Pourquoi le sport engendre t’il autant de violence ? Pour traiter cette problématique dans sa globalité il s’agit dans un premier temps de répertorier les données existantes sur la thématique, ce que nous savions déjà, les recherches que nous avons pu effectuer ainsi que répertorier les données scientifiques. Dans un second temps, c’est un travail de conceptualisation que nous avons réalisé dans le but de répondre a la question des enjeux sociaux relatif a la violence dans le

d’une communauté Gitane. Je commencerai par cerner ce quartier afin de le situer dans son contexte d’isolement urbain particulier. Une deuxième partie sera consacrée à l’inscription d’une communauté andalouse gitane dans cet espace. Dans un troisième temps, j’aborderai la question de mon implication sur le terrain. Nous verrons ainsi que cette communauté délaissée dans le quartier de La Mina, considérée comme définitivement étrangère et incapable, nous ouvre ses portes pour modifier notre perception