Norbert Elias Du Temps

lire obligatoirement : Max Weber « L’objectivité de la connaissance dans les sciences et la politique sociales » (in Essai sur la théorie des sciences) Emile Durkheim « Préface de la seconde édition » (in Les règles de la méthode sociologique) Norbert Elias « La société des individus » (in La société des individus) Marcel Mauss « Les techniques du corps » (in Sociologie et anthropologie) Howard S. Becker« Le double sens des Outsiders » http://classiques.uqac.ca/classiques/ S’inscrire sur le groupe: « 

considérer extérieur à la société. La sociologie doit conquérir cette extériorité. Norbert Elias dit qu’il faut rompre avec une série de choses (parler, concevoir le monde) mais surtout avec une vision égocentré du monde c'est-à-dire « j’existe et puis il y a les autres ». Cette vision ne s’interroge pas assez sur les liens « l’individu n’est rien sans la société et la société n’est rien sans l’individu ». Norbert Elias prend l’exemple de La société de cour de Louis 14 : l’ego serait le roi et la cour

L’« esthétique sociologique » : l’art ET la société (début 20ème) - premier courant, assez ancien, mais novateur - quel est le lien entre l’art et la société : deux sphères ? [pic] l’architecture gothique et Elias - exemple : dans les mémoires de Norbert Elias : le développement de l’architecture gothique : les clochers sont de plus en plus hauts non pas par un souci d’élévation spirituelle mais à cause d’une concurrence entre villes : puissance affirmée par la visibilité du lieu

les citoyens ont intériorisé la nécessité d'obéir aux autorités, si bien que l'usage de la force est inutile.    Norbert Elias parle du processus de civilisation. Pour lui, la civilisation n'est pas une propriété qui nous est offerte, c'est une processus au long court dont nous sommes nous même les sujets et qui amène à une diminution du degré de violence dans nos société. Pour Elias, la civilisation relève de la pacification. La monopolisation de la violence par l’État et l'auto-contrainte (qui

animales dans un premier temps : Marx, la condition 1ère de l'histoire humaine c'est l'existence d'individus vivants, d'organismes qui doivent répondre aux contraintes biologiques fondamentales. Homme incomplet qui a besoin du secours des autres. Socius = l'associé, le partenaire dans un échange, le complémentaire. Malgré tout il y a une différence centrale : la société humaine se perpétue par la tradition externe, repose sur le langage et, de ce fait, évolue dans le temps. Alors que les sociétés

violence est particulièrement complexe à étudier car ses formes ont varié selon le temps et les cultures. Dans certains groupes, la violence est tolérée, alors que dans d’autres, elle est totalement prohibée, bannie. La violence dérange et devient alors scandaleuse. Dans la société occidentale, la violence a été évacuée selon un processus lent et long ; c’est ce qui est communément appelé civilisation. Norbert Elias s’est penché sur ce problème de la prohibition de la violence. Dans l’évolution de

multiples fonctions conscientes ou inconscientes... Une découverte et un acte social Manger est toujours resté symbole du maintien de la vie et un processus de civilisation, particulièrement évident lorsqu’on nourrit un petit enfant. En effet selon norbert elias, manger est un moment privilège ou l’enfant incorpore les codes de cultures et les normes sociales au niveau familiale et collectivement dans le cadre scolaire…C’est le maintien d’une bonne forme et d’une bonne santé, notion de plus en plus présente

l’économie Albin Michel, 2009 Daniel Cohen, spécialiste français de l'économie, restitue dans son ouvrage nommé La prospérité du vice la crise qui touche nos sociétés actuelles en analysant l'évolution du capitalisme au fil du temps, tandis que les puissances émergentes rattrapent leur retard considérable face aux pays de l'Occident, il y a de cela plusieurs siècles. C'est avec justesse et sobriété qu'il nous invite à voyager dans l'histoire de l'économie occidentale afin de mieux

est ainsi déposséder des anciens fondements de sa puissance. A ) La « curialisation » et l’équilibre des tensions. Il s’agit de la transformation d’une aristocratie guerrière en une noblesse de cour. Cette « curialisation » est selon Norbert Elias à l’origine de ce qu’il appelle le « procès de civilisation », c’est-à-dire la pacification des conduites et le contrôle des affects. On a une intériorisation de la violence. En effet, les nobles doivent choisir entre deux types de vie : soit ils

designer ceux qui contrairement aux grands notables étaient issus de ces couches moins favorisées et pour lesquels la politique ne pouvait être autre chose qu’une profession car il leur fallait un revenu. Ils ne pouvaient faire de la politique à plein temps. Le statut de professionnel de la politique arrive en puissance avec l’arrivée des nouvelles élites moins fortunées. Apparition d’acteurs aux origines plus modestes. Dans le cadre du suffrage censitaire, une élection avec un grand aristocrate s’apparentait