Nos Desirs Sont Ils Toujours Ceux Des Autres

On nous dit souvent "ne prend pas tes désirs pour des réalités"; cela voudrait il dire que ce que l'on désirs des choses impossible à atteindre? Ou que ce que l'on a n'est pas à la hauteur de nos attentes. Cela nous rendrais frustrer; triste; et à terme malheureux...néanmoins; il semble à première vue que le bonheur provient du fait que l'on a ce que l'on désir. Or il est vrai que désirer peut rendre malheureux au sens ou on atteint jamais l'objet convoité. Faut il alors désirer l'extinction du

'moutons', considérés comme des hommes enchaînés et les moins nombreux qui sont les philosophes, considérés comme des hommes libres. Mais de quoi la philosophie prétend-elle nous libérer ? De notre ignorance, de nos préjugés, de nos pulsions, nos désirs, de notre corps, de nos égarement, de nos erreurs ? C'est ce que pensent les philosophes. Mais la philosophie peut-elle vraiment nous libérer, ou n'a-t-elle au contraire aucun réel impact libérateur sur nous ? I. La philosophie prétend nous libérer

nous défions les valeurs et les normes, où nous outrepassons les règles morales et sociales. On dit de quelqu’un qui a mal agi, qu’il est inconscient ! Mais en définitive qu’elle soit psychologique, physiologique ou moral, l’inconscience évoque toujours ce défaut de vigilance, de lucidité, d’attention à l’environnement et à nous-mêmes. Je reviens donc aux motifs de l’inconscience et insiste sur ce paradoxe : pourquoi désirer consciemment et délibérément plonger dans un état inconscient et involontaire

dehors aussi bien de leur vulgarisation que de leur exégèse savante, de s’astreindre à l’effort de pédagogie qu’il a fait et qu’il nous demande de faire. Notre première récompense sera le plaisir même que nous tirerons de cette lecture : Freud est toujours parfaitement clair, sobre, logique. Il possède à un égal degré de maîtrise l’art de démontrer dans le détail, l’art de ménager l’intérêt pour nous faire attendre la solution qu’il donnera à l’énigme d’un cas de malade, comme si c’était une énigme

dehors aussi bien de leur vulgarisation que de leur exégèse savante, de s’astreindre à l’effort de pédagogie qu’il a fait et qu’il nous demande de faire. Notre première récompense sera le plaisir même que nous tirerons de cette lecture : Freud est toujours parfaitement clair, sobre, logique. Il possède à un égal degré de maîtrise l’art de démontrer dans le détail, l’art de ménager l’intérêt pour nous faire attendre la solution qu’il donnera à l’énigme d’un cas de malade, comme si c’était une énigme

la vie morale est-elle vraiment pertinente ? B- L’action bonne kantienne est-elle possible à l’homme ? C- L'action bonne kantienne est-elle vraiment louable ? En guise de conclusion, un exercice : la fausse promesse est-elle toujours condamnable? Bibliographie Introduction Qu’est-ce qui fait que mon action peut être qualifiée de morale ? Kant, dans ses Fondements de la métaphysique des mœurs, tente de répondre à cette question. Il y répond

seul. De plus, comme on choisit souvent en fonctions de nos désirs et valeurs, on a le sentiment que l’on choisit ce que l’on veut, ce qui nous correspond donc qu’on est libre. De même, on a l’impression d’être maître de nos choix et on prend conscience qu'ils dépendent de nous et nous les considérons comme nôtres, d'où regret et remord. B. D’un autre côté, on sent aussi que des limites multiples nous sont imposées par les autres, la vie en société, l’Etat. On ne peut pas faire tout ce que

proche de ce qu'il serait au moment de l'obtention de l'objet désiré, ou du moins de comment l'homme se serait imaginé cet état. enfin, dans la troisième et dernière partie, des lignes 9 à 12, l'auteur étaye sa thèse: si l'homme obtient l'objet de ses désirs et qu'il peut en jouir, alors toute la magie de l'illusion et de l'imaginaire développé par cette quête disparaît, et arrive alors pour l'homme le malheur décrit à partir de la ligne 4. 2. a) En vous appuyant sur le texte, expliquez « l'on est

les dominer. TEXTE DOLTO : Les désirs des enfants. Distingue les besoins et les désirs. Besoin : Habitude, indispensable, mortifère Désir : Nouveauté (diffère du retour a l’enfance freudien) Les Parents doivent satisfaire les besoins des enfants. Mais pas leurs désirs. Ou quelques rares désirs. Pour qu’ils puissent satisfaire par eux-mêmes leurs désirs (apprendre à vivre, se débrouiller, grandir). Si les parents satisonft tous les désirs, les désirs deviennent des besoins, et leur enlève

« si tu veux te baigner, ne t’offusque pas d’être éclaboussé par ceux qui jouent autour de toi ou chahuté, mais maintient ta volonté dans la direction que tu t’es donnée et ne cède pas à la colère qui n’a aucun sens. » II – La sagesse 1) Le pessimisme de Pascal : la conscience du drame de l’existence. Thème : quelle relation l’homme entretient-il avec le temps ? Thèse : L’homme ne vit jamais dans le présent, il espère toujours de vivre (heureux) et par conséquent ne parvient jamais au bonheur