Notation de Leibniz

etc.)  Dont on étudie l’influence (avant une prise de médicament par ex), Les variables dépendantes (V.D.)  Dont on étudie la variation en fonction des facteurs (temps de réaction, type de comportement, performance à un test...) b) Notation des V.I. Par une lettre majuscule, Accompagnée du nombre de modalités. Exemple : S5 pour 5 sujets de s1 à s5, A3 pour trois âges étudiés de a1 à a3. Les modalités sont en lettres minuscules : s1, s2… Le type de méthodologie d’analyse

. . . . . . . . 5.1.1 5.1.2 5.2 5.2.1 5.2.2 5.3 5.3.1 5.3.2 5.3.3 5.3.4 5.4 5.4.1 5.4.2 5.4.3 5.4.4 5.5 5.5.1 5.5.2 5.5.3 5.5.4 Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Un peu de vocabulaire et des notations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Charge totale et charge spécifique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Courbes de remous obtenues par l’équation de Bernoulli . . . . . . . . . . . . . Relation d’équilibre pour un régime permanent

19e siècle, la logique moderne reprend systématiquement et à nouveaux frais la question de l'articulation entre le sens, en particulier les valeurs de vérité (vrai/faux), et les notations, particulièrement dans le domaine mathématique. Dans un premier temps, suivant des principes remontant à l'arithmétique binaire de Leibniz (17e s: 1646-1716) et aux diagrammes d'Euler (18e s: 1707-1783), les travaux de George Boole (19e s: 1815-1864) définissent une algèbre, un calcul, des valeurs de vérité. Ces travaux

compl´mentaire de F e e e dans E que l’on note CE F (ou simplement C F si E est sous-entendu) comme l’ensemble des ´l´ments de E qui n’appartiennent pas ` F : ee a / CE F := {x ∈ E | x ∈ F } Si F n’est plus n´cessairement un sous-ensemble de E on emploiera la notation : E \ F e pour d´signer {x ∈ E | x ∈ F }. e / Par exemple le compl´mentaire de P dans N est l’ensemble des nombres impairs : e CN P = I := {x ∈ N | ∃y ∈ N, x = 2y + 1} Intersection : si E et F sont deux ensembles on peut former un ensemble appel´

Conception et organisation de la formation . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3.1 Organisation du travail de la classe . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3.2 Organisation du travail personnel des ´tudiants . . . . . . . . . . . e ´ 1.3.3 Evaluation et notation des ´tudiants . . . . . . . . . . . . . . . . . e 1.3.4 Interpr´tation et d´limitation des programmes . . . . . . . . . . . e e 1.4 Organisation du texte des programmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5 Connaissances et capacit´s exigibles

rôle7. Descartes souligne, dans le Discours de la méthode, l'attrait des mathématiques, « à cause de la certitude et de l'évidence de leurs raisons ». Le calcul algébrique se développe alors à la suite des travaux de Viète et de Descartes. Newton et Leibniz, indépendamment, inventent le calcul infinitésimal. Au XVIIe siècle, Galilée se rend compte que les mathématiques sont l'outil idéal pour décrire le monde physique, ce qu'on peut résumer en disant que les lois de la Nature sont écrites en langage

des approximations 9 de plus en plus précises. Pour cela, ils ont notamment utilisé des suites (ou, plus exactement, des séries qui sont des sommes de termes d’une suite), dont la limite est fonction de π, par exemple : ( ) Σ n – la formule de Leibniz ( lim n→+∞ k=0 (–1) k 2k + 1 =1– 1 1 1 π + – + ... = ) ; 3 5 7 4 Π Σ n – le produit de Wallis ( 2 2 4 4 6 6 × × × × × × ... = lim n→+∞ 1 3 3 5 5 7 k=1 n (2k) × (2k) π = ); (2k – 1) (2k + 1) 2 1 π2 1 1 1 + + + ... = lim = ) et de nombreuses

envisage d'abord la somme des aires des rectangles. Si on partage en n "indivisibles", les abscisses sont 0, i, 2i, ….,(n-1)i ; l'aire du kième rectangle est i × ( k 2 i 2 ) et la somme des aire des n rectangles est Σ 2 = iS 2 14 ; en reprenant la notation ci-dessus dans la formule (b) avec r = i il vient : iS 2 = 0 + i( i 2 ) + i( 2i ) 2 +..........+ i( n − 1)2 i 2 3iS 2 = n 3i 3 − ni 3 − 3i 2S1 ; ni = 1 donc ( ni )3 = 1 et 3iS 2 = 1 − i 2 (1 − 3S1 ) donc 3Σ 2 = 1 − i 2 + 3i 2S1 En passant à la

baccalauréat____________________________________________________________________________ • Les sujets___________________________________________________________________________ • La correction ________________________________________________________________________ • La notation et les notes ________________________________________________________________ • La distribution des notes et la nature des épreuves ___________________________________________ La voie technologique ______________________________________________________________________

optimisme, dérivé du latin optimus, est un terme du langage philosophique, qui s’applique au système de Leibniz. Son emploi en français est attesté en 1737 mais il n’entre dans la langue courante qu’à la fin du XVIIIe siècle. En 1710, le mathématicien et philosophe Gottfried Wilhelm Leibniz (1646-1716) publie ses Essais de théodicée sur la bonté de Dieu, la liberté de l’homme et l’origine du mal. Selon Leibniz, il ne faut pas voir l’existence du mal d’un point de vue individuel, mais du point de vue de Dieu