Note De Refléxion Violence

permet par ailleurs de prendre en considération plus facilement le croisement du genre avec des rapports de pouvoir fondés sur d’autres constructions de la différence (race, classe, sexualité, âge, handicap, etc.), croisement qui est au coeur des réflexions féministes actuelles (Crenshaw, 2005 ; EFiGiES, 2005 ; Fenstermaker et West, 2002 ; Lépinard, 2005). Ainsi, le genre, en tant que construction sociale et rapport de pouvoir, n’est « jamais fixe, mais continuellement constitué et 6 — terrains

intégrale est encouragée, nous voudrions proposer pour une fois l’étude de l’œuvre intégrale plutôt qu’un groupement de textes. Il n’est pas possible de systématiser cette pratique puisqu’il faut varier les documents dans la perspective du sujet de réflexion. Mais cela permet aussi de montrer aux étudiants qu’on ne passe pas d’un texte à l’autre. - Etudier une œuvre contemporaine qui permettra, grâce à des références explicites ou à des phénomènes d’intertextualité, de rappeler aussi de grands noms

DIDEROT : SUPPLEMENT AU VOYAGE DE BOUGAINVILLE Note : Cet extrait s'appelle aussi "Dialogue entre A et B". • • • • • Bougainville navigateur parti de Nantes, est revenu en mars 1769. Il a ensuite écrit une œuvre intitulée Voyage autour du Monde en 1771 (goût de l'aventure mais en même temps esprit scientifique animé par les Lumières). Il avait ramené un tahitien appelé Aotourou qu'il a fait connaître à tout Paris (engouement des parisiens). Mais Diderot est resté de glace (Philosophe

C'est l'évocation de la violente dispute entre Electre et sa mère Clytemnestre concernant un épisode passé: La chute d'Oreste et le partage des responsabilités. Le mendiant se fait ici, le commentaire amusé et privilégié de la scène. Comment la violence de la dispute s'exprime t'elle ici? Quel rôle le mendiant joue t'il dans cette scène? Afin de répondre a ces questions, nous verrons le rôle que joue le mendiant puis nous nous pencherons sur la violente dispute entre les 2 personnages principaux:

Les Justes Apre, tendue et profondément lyrique, elle traduit son désir de créer une véritable tragédie moderne tout en croyant que l’époque s’y prêtait. En pleine guerre froide, Camus poursuit une réflexion sur la question de la violence qui s’impose à lui en termes de conscience intellectuelle et morale. L’antagonisme de deux notions positives, l’amour de la vie dans toute sa plénitude et la justice sociale, lui paraît alors essentiel. La pièce s’écrit pendant la longue élaboration de L’Homme

partie intégrante de nos vies. Cette portée médiatique n’a pas toujours bonne réputation. En effet beaucoup de personnes s’interrogent sur l’impact de la télévision sur l’être humain. A travers un article de la revue Télérama du 30 Octobre 1996 « Violence à la télé : ras-le-bol ! » Jean-Claude Raspiengeas nous propose une approche expliquant les différents regards portés sur la télévision. Gilles Perrault aborde lui aussi ce sujet en en faisant une critique plus sévère grâce à un extrait paru en 1988

pour s’arracher à cette violence primitive, respecter les lois.
Pourtant, nombreux furent en Allemagne les nazis, ou en France les collaborateurs, qui invoquèrent le respect des lois pour justifier leurs actes. Ils n’ont fait « qu’obéir aux lois » : telle fut souvent, à l’heure de leurs procès, leur seule défense. Si le respect, ou en tout cas l’obéissance aux lois, [ distinction conceptuelle respecter les lois / obéir aux lois, que vous devez expliciter en intro, cf note 2] peut être le moyen de

dans Sport et Civilisation : la violence maitrisée, que le sport est la clef de la connaissance de la société. On peut alors s’attacher à considérer le sport comme un reflet de société afin de mieux la comprendre. A présent, étudions ainsi la représentation de la société au sein du sport. Dans un premier temps, on peut supposer qu’il existe dans le sport une certaine perversité du culte de la performance. C’est en ce sens que Bertrand Arcand nous propose la réflexion suivante : « Le sport mesure

l’endroit des pulsions ? L’Éros peut-il vaincre les forces destructrices qui sévicent au sein de la civilisation? La violence est-elle naturelle ou culturelle ? La civilisation (culture) peut-elle nous aider à surmonter la souffrance? L’homme peut-il être libre ? Quels sont les « malaises » de notre époque? La Commission Charbonneau : une illustration des idées de Freud ? La violence au cinéma et dans les jeux vidéo : une chose nécessaire ? La civilisation est-elle la cause des névroses ? Pourquoi

débats. Ainsi, bien souvent, ceux-ci sont basés sur la guerre, les combats… en résumé sur la violence. Et bien que ce ne soit pas le cas de tous, c'est toutefois la majorité des jeux-vidéos qui sont concernés. Évidemment, cela pose des problèmes, la polémique la plus persistante est celle de l'influence de ces jeux-vidéos sur le comportement de l'individu, du joueur. Cette document va apporter une réflexion sur ce problème social en se basant sur deux questions. Quelle est la polémique existante ?